Résistance Et Obéissance

dois créer un climat inclusif où tous se sentent valorisés et acceptés. L’environnement de l’organisation : Système ouvert (système qui transforme les ressources humaines et matérielles en produit finis) Faire obéir les gens? 1e approche  Obéissance, encadrement La peur La motivation / récompense Deux visions : 1. Lorsqu’on est qu’une ressource obéissante. VS 2. Lorsqu’on est un capital que l’on fait fructifier

une régle fixe qui fut adoptée. Saint Bernard (1090-1153) propagandiste de la foi cistercienne fondateur de l'abbaye de Clairvaux et prédicateur de la II° croisade à Véselay en 1146 ; fut séduit par la vocation des Templiers (pauvreté, chasteté, obéissance et protection des pélerins en Terre Sainte). Il rédigea pour une grande partie leur régle en 1128 et écrivit pour les encourager et diffuser leur idéal "la louange de la nouvelle milice" (De laudae novae militiae ad milites templi). C'est à dater

protégé. A partir du 11ème s, l’Eglise se détache de la féodalité en lançant la reforme grégorienne. L’Eglise féodal souffre de plusieurs maux dont les causes sont de 3 sortes : L’investiture aux prises des laïcs, Le nicolaïsme, La simonie. La résistance des monastères : Les moines grâce à leur intellect parviennent à lutter contre l’emprise des laïcs = monastère de Cluny qui à réussi a développé une forme militante du monachisme. Ces institutions ont pour but de pallier la carence du roi. Qd il

guerre mondiale. Il est inscrit dans la lignée du dadaïsme et il prêche une rupture avec le conformisme et la politique de l'époque. Le chef de file du mouvement dadaïsme est Tristan Tzara qui veut faire table rase de toutes les valeurs (patrie, obéissance, convention...) qui ont conduits aux violences de la Première guerre mondiale. La génération du mouvement surréaliste Plusieurs théories sont mise au jour et de nombreuses découvertes aussi comme les Freudiennes qui porte sur l'inconscient

sagesse.Instrumentales (Modes de conduites et façons d’agir pour réaliser ses buts). Ambition, ouverture d ’esprit, compétence, bon vivant, ordre, courage, tolérance, serviabilité, honnêteté, imagination, autonomie, intelligence, logique, affection, obéissance, sociabilité, responsabilité, maîtrise de soi.32AttitudeLes attitudes constituent une autre dimension du comportement au travail que les spécialistes du CO étudient abondamment. Les attitudes sont des prédisposition apprises à répondre favorablement

ironiques contre elle) au point qu’on a pu dire de lui que, ne croyant à rien, il est le vrai anarchiste de la pièce. Mais il est fidèle à une sorte de morale laïque fondée sur l’honnêteté, sur l’altruisme. C’est pourquoi il fait son métier de roi, par obéissance à un devoir purement pragmatique, en connaissant la vanité du pouvoir, en dépouillant sa fonction de toute espèce de sublime. Il sert l’État, mais en lui refusant tout caractère sacré (il est l’antithèse d’Oedipe). C’est pourquoi aussi il cherche

imposé à nous du dehors. «  toute éducation consiste ds un effort continu pr imposer à l'enfant des manières de voir, de sentir et d'agir auxquelles il ne serait pas spontanément arrivé. »( respect usages, convenances, travail, propreté, calme , obéissance etc) Contrainte plus sentie ac le tps car donne naissance à des habitudes « Éducation a pr objet de faire l'être social. » «  cette pression de tous les instants que subit l'enfant, c'est la pression même du milieu social qui tend à le façonner

justifient? Sont-ils vrmt fondés en raison? N’y-a-t-il pas des lois qui ont un fndmt autre que rationnel, qui pvent au contraire sbler arbitraires? Pas fondées en raison, mais sur habitude, coutumes.. -“force” renvoie aussi à l’idée de durée, de résistance, de solidité : on pourrait s’interroger sur ce qui fait la pérennité du droit. La force d’une loi se mesurerait dans sa capacité à durer, à demeurer inchangée. Or, cette conception immobiliste se heurte à une difficulté : le droit semble au contraire

nécessité d’un Code. Voltaire n’en parle pas, Montesquieu y est plutôt hostile : « Faire une coutume générale de touts les coutumes particulières serait une chose inconsidérée » (Esprit des lois, livre XXVIII, ch. 37). A cela s’ajoutent de nombreuses résistances politiques. L’Eglise craint la sécularisation d’un certain nombre d’institutions, comme l’état civil, alors sous son autorité. Les parlementaires sont opposés à une unification du droit qui porterait atteinte à leur pouvoir d’appréciation des droits

d’influencer le comportement des Chinois. -Elle commence à l’automne 1965, par une attaque des maoïstes contre les milieux littéraires de Pékin. Il faut extirper l’individualisme, hérité de la tradition, et lutter contre l’embourgeoisement. -Face à la résistance des cadres « révisionnistes » ou à des débordements « gauchistes » comme à Shanghai en 1967, Mao fait finalement appel à l’armée pour rétablir l’ordre dans une Chine en pleine anarchie. -Théoriquement achevée en 1969, la Révolution culturelle ne