Résumé Andromaque Euripide

scène beckettienne, le temps compte ici plus que l’espace. Ou plutôt l’espace vide et gris n’est là que pour donner matière à la vertigineuse vacuité d’un temps indéfini : celui d’une vie misérable qui s’éternise en même temps que la souffrance et se résume dans l’attente immobile d’une fin (une mort ?) qui ne vient pas, laissant les personnages englués dans une sorte de « hors temps » (dont le non-lieu de l’action serait la métaphore) qui prend, dans les didascalies, les proportions de l’éternité :

« After a night of pleasure and desolation, all my soul belongs to you ». On peut rapprocher cette phrase d’une formule des carnets de Baudelaire qui figure dans Hygiène I : « Après une débauche, on se sent toujours plus seul, plus abandonné. »[93] Elle résume le contenu du poème qui a suivi. Après l’orgie, l’auteur pris de remords ne trouve le salut de son âme que dans l’image divinisée de la Muse :  Quand chez les débauchés l'aube blanche et vermeille/ Entre en société de l'Idéal rongeur, /Par

entièrement absorbé par son développement personnel, élimine de son récit le contact précis avec le monde extérieur et aussi avec les êtres qui le peuplent. En ce concerne les membres de sa famille - si l’on exclue Jacques -, le pasteur préfère résumer leurs propos plutôt que de les rapporter directement. Cela montre l’égoïsme du héros étant donné qu’en supprimant le style direct des autres, il occupe l’ensemble de la scène. Variations sur le style : De nombreux critiques ont essayé de définir

et théocratique » vers une « société industrielle et scientifique ». Le positivisme de COMTE se décline en 2 règles : - observer les faits à l’écart de tout jugement de valeur et - énoncer des lois. « Savoir pour prévoir et prévoir pour pouvoir » résume l’esprit de la philosophie positiviste. COMTE compare l’objet de la société à un corps où les efforts sont coordonnés afin de réaliser un but unique. Le tout l’emporte sur la partie. « La société se compose de familles et non d’individus… une société

enchâssé dans le récit. Le lecteur suit ainsi directement l’évolution des pensées du personnage auquel il peut s’identifier. Le discours narrativisé se présente sous la forme d’une phrase ou plusieurs phrases narratives qui permet(tent) au narrateur de résumer plus ou moins fidèlement les paroles d’un personnage. Ex. : « Et elle se leva. Coupeau, qui approuvait vivement ses souhaits, était déjà debout, s’inquiétant de l’heure. » Les niveaux de langue Les personnages peuvent utiliser trois niveaux de langue

on transforme les temps verbaux afin de respecter la concordance des temps, et on modifie les adverbes de lieu et de temps. Elle était trop émotive, elle ne pouvait rester avec lui ! Il existe aussi le discours narrativisé qui consiste à résumer les paroles des personnages. Ex : Soudain, troublée, elle annonça son désir de partir. Enfin, la citation peut être employée pour rapporter directement des propos tenus à l’oral. Elle peut porter sur un mot ou un groupe de mots qui sont alors

varie donc en fonction des personnes, des sujets et des conditions matérielles qui les concernent ; selon la passion ressentie, les conséquences seront alors la peine ou le plaisir, mais ces dernières ne sont pas les passions elles-mêmes, Aristote résume ainsi toutes les considérations dont il faut tenir compte afin d’appréhender les passions, et parmi elles se trouvent les caractères selon les prédispositions aux passions, les habitus, les âges et les conditions de fortune. J’entends par passions

1661 Colbert devient ministre 1665 Dom Juan, Molière 1664 ...................................................................................................... 1666 Le Misanthrope, Molière 1672-1678 Guerre contre la Hollande 1667 Andromaque, Racine 1676-1682 Construction de la machine de Marly, ensembles hydrauliques destinés à ravitailler en eau le château de Versailles 1668 L’Avare, Molière – George Dandin créé à Versailles 1678 Paix de Nimègue : fin de la guerre de Hollande

fabulistes grec Ésope (Ve siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie Andromaque. Pour Les fourberies de Scapin, la source de Molière est le Phormion de Térence (auteur comique latin du IIe s. av. J.-C.) ; pour L’avare, il reprend La marmite de Plaute

fabulistes grec Ésope (Ve  siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier  siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie Andromaque. Pour Les fourberies de Scapin, la source de Molière est le Phormion de Térence (auteur comique latin du IIe s. av. J.-C.)  ; pour L’avare, il reprend La marmite de Plaute