Résumé De Menon Platon

Opinion, opinion droite et connaissance Dans le Ménon, Platon fait une différence entre trois ordres. L’opinion, l’opinion droite et la connaissance. Il prend l’exemple du voyageur qui demande la direction de Larissa. Une première personne peut lui réponde « c’est par là je pense, à ce que l’on m’a dit ». Cette réponse n’est qu’une opinion, elle est vague, ne comporte pas de justification, si ce n’est dans le ouï-dire. Platon prend l’image d’un colombier où volent des oiseaux en bandes

bien) b) On trouve aussi : mal commis, subi, mérité, reçu … (principe de l'inventaire des maux dans Candide) J'en profite pour faire un arrêt sur ce que l'on appelle couramment les « catastrophes naturelles » Texte en lecture seule pour BCPST, résumé oral pour PSI, PC et MP. Vous ne tiendrez compte des notes que pour la compréhension). A préparer pour jeudi 8 septembre (interrogation en classe) Hervé Kempf, « Le Monde » du 21 août 99 Il n'y a pas de catastrophes naturelles. « Contemplez ces ruines

Socrate 1/ Vie de Platon 2/ Mort de Socrate 3/ Socrate ou la vie de l’esprit par la parole Séance 2 : Platon ou la parole philosophique Séance3 le Phèdre : un dialogue déroutant 1/ Plan : une structure théâtrale Séance 3 Le prologue 1/ Les personnages présents et évoqués : Phèdre, Socrate, Lysias et sa famille, Isocrate 2/ Le cadre spatio-temporel : lieux, dates, actions. Une géographie théâtrale (Derrida 77). Séance 4 La question des mythes Intro : • mythe et philosophie • Platon décrit le crépuscule

(les mots légèrement familiers sont acceptés) 1) Résumer le roman sans utiliser la lettre a 2) Résumer au maximum le roman en faisant des phrases sans utiliser la lettre e (à la manière de Perec dans La Disparition) • Ecriture sous contrainte syllabique 3) Résumer le chapitre 10 (à la recherche de Gabriel- la conduite intérieure du Sanctimotronais) en utilisant les sons ke/ki/kan/kou/ku/ko/ké/kon autant que possible 4) Résumer ce passage en utilisant les sons be/bi/ban/bou/bu/bo/bé/bon

qui en sont inconscients. Ce même mythe d’oedipe auquel fait référence la thèse de Freud est aussi constitutif d'une autre thèse sur le caractère illusoire de la liberté : le fatalisme. En effet, cette notion qui touche au divin et qui peut se résumer par cette expression « c'est écrit » rend compte d'un destin inévitable malgré tout les efforts mis en place ce que représente la tragédie grecque d’oedipe, puisque le destin du héros se réalise alors même qu'il fait tout pour l'éviter. Ainsi,

vérité d'un jugement n'est pas discutable. L'accès à la vérité ne se fait pas nécessairement par démonstration, mais il peut aussi se faire par hasard, ou encore par répétition de ce que l'on a entendu dire. C'est ce que veut montrer Platon dans un passage du Ménon où Socrate discute de la différence entre science et opinion vraie. Une opinion vraie est un jugement que l'on porte, ici sur la route qu'il faut emprunter pour aller d'Athènes à Larisse, et qui se trouvera ensuite vérifiée par l'expérience

-399), considéré comme l’un des inventeurs de la philosophie morale et politique. Il n’a cependant laissé aucune œuvre écrite ; sa philosophie s’est transmise par l’intermédiaire de témoignages indirects (en particulier par les écrits de ses disciples Platon et Xénophon). Biographie Éléments biographiques Socrate naquit en 469 av. J.-C. (troisième année de la 77e olympiade), à la fin des guerres médiques, sans doute au mois de mai (6 du mois thargélion), près d’Athènes, dans le dème d’Alopèce, dème

République (homonymie). La République Auteur Platon Genre Dialogue philosophique Version originale Titre original Πολιτεία Langue originale Grec ancien Pays d'origine Athènes (Grèce) Version française Traducteur Émile Chambry Lieu de parution Paris Éditeur Les Belles Lettres Collection Collection des universités de France Date de parution 2002 modifier  Papyrus d'Oxyrhynque LII 3679 contenant des fragments de La République de Platon, IIIe siècle La République (en grec Περὶ

pas d’emblée évi- dent de voir en quoi cette traduction réussit à sauver Zénon de la contradiction. Comme cela a été souvent rappelé dans les commen- taires modernes, phronèsis et epistèmè sont utilisés de manière plus ou moins interchangeable chez Platon, notamment dans les dialogues dits socratiques, et on sait que la lecture de ces derniers a indéniablement L’UNITÉ DES VERTUS CHEZ ZÉNON DE CITIUM 237marqué les premiers stoïciens (qui se présentaient d’ailleurs comme « socratiques »). Or, si phronèsis

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 4. Constructivisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 A. Historique résumé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 1. Chronologie du cadre scientifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .