Résumé De Menon Platon

l’autre comme signe. Dès lors, on peut s’interroger sur ce qui est attesté 1 2 par les productions de la parole humaine, par ce qu’elle dit et invente. Invention n’étant pas ici chimère mais découverte, reconnaissance, voire origine, pour résumer le latin de Cicéron sur le sujet. D’autre part, le statut de la parole est historique, c'est-à-dire connexe des formes sociales de sa circulation. Or, ces formes sont toujours et en quelques façons, hiérarchisées par le juridique, l’économique, le

Alain (Émile Chartier) (1868-1951) (1939) Idées Introduction à la philosophie PLATON – DESCARTES – HEGEL - COMTE Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

critères se déduisent facilement : 1° Nombre des éléments en acte et degré de la force d’intégration. 2° Plus ou moins grand accord des parties entre elles : harmonie. Chez les Stoïciens, la perfection du sage est l’accord entre soi-même & l’univers. Platon écrit dans le Phèdre (248d) que le sage est musikòs, non pas musicien mais disciple des muses. Dans le Philèbe (14-16) que vrai & bien c’est de l’un avec plusieurs. Leibniz écrit « Plus une force est grande plus se manifeste en elle la pluralité dans

réalité et transforme cette réalité. Ici contrairement à ce qu’on va trouver chez les modernes, il n’y a pas de scission entre la vérité et la réalité. Leçon inaugurale du collège de France : « L’Ordre du discours », Foucault : entre Hésiode et Platon : s’est opéré un nouveau partage à travers lequel la vérité s’est trouvé redéfini. L’idée sur laquelle insiste Foucault c’est que dans un premier temps avec ces rois de vérité, le discours vaut par son énonciation et donc pour pouvoir valoir, ce discours

Introduction 1. Définition de la science 2. Principaux courants épistémologiques 2.1. Rationalisme (17e siècle) 2.2. Empirisme (18e siècle) 2.3. Positivisme (19e siècle) 2.4. Constructivisme (20e siècle) 2.5. Réalisme (20e siècle) 2.6. Résumé des principaux courants épistémologiques 3. Convergence historique de la classification proposée 4. Limites de la classification proposée 5. Conclusion 6. Sources documentaires Martin Riopel (2005) M.Sc. astrophysique, M.A. didactique

affirmer en même temps le bien (agathon) des dieux et la responsabilité des hommes. Socrate, selon Platon dans le Protagoras, professait l’irresponsabilité du méchant : l’action mauvaise ne peut s’entendre que par l’ignorance de son auteur : « Tous ceux qui font des actions honteuses et mauvaises le font involontairement » et aussi dans le Gorgias : « Nul n’est injuste volontairement ». Pour Platon, celui qui fait le mal ne sait pas ce qu’il fait et se trompe : il voudrait faire le bien, mais il

hellénistique, la scène s’est trouvée dominée par une division tripartite de la philosophie en logique, éthique et physique. Cette division, comme le fait remarquer Jacques Brunschwig[1], avait sans doute été introduite par les premiers disciples de Platon pour mettre de l’ordre dans les questions traitées par leur maître, alors qu’Aristote ne l’avait pas adoptée. Elle ne s’était pas encore imposée au moment où Epicure et les Stoïciens firent leur entrée en scène. La division de leurs propres doctrines

l’éveil qu’il peut connaître lors d’une prise de conscience furent l’occasion, à l’aube de la philosophie, d’un récit, qui a pour nous valeur de mythe et qui est celui que fait Platon au tout début du livre VII de La République, récit connu aussi sous le nom de «l’allégorie de la caverne». Nous ne pensons pas trahir le texte de Platon en l’élevant, d’allégorie qu’il est au départ, au niveau d’un mythe et en en faisant une interprétation qui n’est pas la simple mise en image de la théorie platonicienne des

épistémologique qui considère que « toute connaissance valide provient soit exclusivement, soit essentiellement de l'usage de la raison ». On reconnaît généralement que des philosophes grecs comme Euclide (~300 av J.-C.), Pythagore (569-475 av. J.-C.) et Platon (428-347 av. J.-C.) défendaient des positions rationalistes en accordant la primauté aux idées. Cette association se fait évidemment a posteriori puisque le courant épistémologique rationaliste n'était pas encore défini à l'époque. Plus récemment

l’art chez Aristote est le produit d’une liberté et de la raison humaine. Et ne peux se réaliser en imitant la nature.Toutefois, cette conception est avant Aristote réfutée. Comme dans la pensée platonicienne qui semblerait moins importante. Pour Platon, il y a une censure de la théorie de l’art basée sur la notion de la Mimèsis qui est à la source d’un modèle à reproduire. C’est la raison pour laquelle selon lui, contre les artistes de la cité ; les poètes, l’on doit s’en