Résumé Idéologie Et Terreur Arendt

l’affirmation du roi de France. Les guerres permettent de légitimer l’impôt, elles le rendent nécessaires pour préserver l’intégrité du territoire national. Pour que l’impôt soit accepté, il faut que les prélèvements fiscaux soient justifiés par une idéologie qui établit la légitimité de l’impôt à être prélevé. On constate qu’il va y avoir d’importante résistance à l’impôt comme en 1548, des taxes qui portaient sur le commerce du sel (la gabelle). Ce processus de consentement à l’impôt va mettre un

référence au Christ, être transcendant l’histoire, annule toute historicité. C’est aussi le sens de l’analyse d’un philosophe américain contemporain, Francis Fukuyama, qui fixe comme « fin » à l’histoire la réalisation d’une démocratie libérale : « ce résumé de l’histoire selon la doctrine chrétienne montre clairement qu’une « fin de l’histoire » est implicite dans l’idée même de l’écriture de toute histoire universelle. Les événements particuliers de cette histoire ne peuvent être signifiants que dans

chose qui pouvait vrmt menacer le pv royal ; comme en Espagne etc… Enjeux réel pour un souverain comme Louis 14, donc ce monopole royal qui s’est constitué durablement doit être appréhendé d’un pt de vue d’une analyse sociale et aussi psycho. En résumé: L’apparition de l’Etat moderne et l’apparition des structures féodal n’a été possible que quand les grands féodaux se sont ralliés aux dynasties royales (en France, les capétiens). Au 13ième siècle, qu’est ce qui les distingue? Ce n’est pas

faille entre la collaboration et la résistance. Pr bcp, le régime de Vichy est une revanche contre le front pop de 1936. Après les Arméniens, les Mandchouriens, Espagnols, juifs, les Fr ont été directement confrontés à la brutalité de ce siècle, à la terreur de masse. è le syndrome de Vichy est l’enble hétérogène des symptômes, des manif’ surtt de la vie culturelle, pol et sociale qui révèlent l’existence du traumatisme engendré par l’Occupation. La mise en ordre historique distingue 4 phases: - 1944-1954:

rejet de la culpabilité collective) b) Le mal moral (innocence de l'homme, culpabilité de l'homme) B. La condition historique I. « L'Histoire » II. Les idéologies 1. La raison faussée 2. La logique historique 3. L'intelligence légitimatrice 4. Une idéologie-type III. Le contenu de l'Histoire 1. Le meurtre 2. La peine de mort 3. Le mensonge 4. La violence a) La violence légitimée

collective) b) Le mal moral (innocence de l'homme, culpabilité de l'homme) Marcel J. Mélançon, Albert Camus. Analyse de sa pensée (1976) 10 B. La condition historique I. II. « L'Histoire » Les idéologies 1. 2. 3. 4. La raison faussée La logique historique L'intelligence légitimatrice Une idéologie-type III. Le contenu de l'Histoire 1. 2. 3. 4. Le meurtre La peine de mort Le mensonge La violence a) La violence légitimée b) La dictature c) La guerre Chapitre III. La révolte contre la condition

51 B. Le modèle représentatif 57 C. Le modèle délibératif 62 I La confrontation de l’Ancien et du Moderne à l’origine des doctrines politiques contemporaines Liminaire Dans les démocraties occidentales, le conflit des idéologies concurrentes : libérales ou socialistes, républicaines ou anarchistes, révolutionnaires ou conservatrices, constitue la trame du débat politique contemporain. Mais au-delà de l'actualité en mouvement, l'affrontement des doctrines politiques s'enracine

documents comme signe de triomphe. Il y a une sorte de compréhension linéaire. Dans la culture romanesque, les ouvrages de Jules Verne magnifient le progrès. Ils s’ancrent dans cette idéologie de changement de la vie humaine. C’est également le début de la conception du monde par le darwinisme social, qui deviendra une idéologie, qui deviendra une base pour les socialistes et les nationalistes. Le concept de survivance du plus apte servira beaucoup aux racistes. Il y a trois manières de se poser face au

plus large avec lequel elle fait système. Donc toute société fait partie d’un système monde. Ce champ est systémique. Aucun système ne peut marcher sans adhésion, sans croyances. Aujourd’hui, notre système social d’adhésion ce sont les valeurs : idéologies, religions. Tout société appartient zone historique, économique, idéologique, chaque zone est un système monde. .vie / travail / langage .+ surplus / loisirs (expression artistique, intellectuelle mais aussi compétition, donc de prestige avec

l'indifférence générale des gouvernés. I Les caractéristiques des régimes autoritaires Ces régimes ont quatre caractéristiques communes: le contrôle des institutions politiques, un pluralisme limité, une faiblesse des mobilisations et des idéologies politiques, un recours décomplexé à la violence. A Le contrôle des institutions politiques Les régimes autoritaires se caractérisent en premier lieu par un étroit verrouillage institutionnel. · Ce verrouillage peut éventuellement résulter