Résumé Les Contemplations

AbiBac 2012 A la recherche du bonheur Littérature "Candide ou l'Optimiste", Voltaire, 1759 (95 pages) Résumé Candide, un garçon naïf, est élevé au château du baron Thunder-ten-tronckh en Westphalie. Là, Pangloss lui apprend la philosophie de Leibnitz et Candide est fasciné du ‘’meilleur des mondes possibles’’. Bien qu’il soit chassé du château parce qu’il est tombé amoureux de Cunégonde, la fille du baron, il est toujours convaincu de cette philosophie. En traversant le monde

les traiter chacun à leur manière, donnant lieu à autant d'approches voire de réponses différentes et parfois même contradictoires. Un philosophe, comme Jean Grondin, en parle comme d'une « pensée essentielle », fondant la philosophie, et qu'il résume ainsi : « Que faisons-nous ici, pourquoi et pour qui sommes-nous là, que devons-nous, que pouvons-nous y faire, que nous est-il permis d’espérer ? » 1. Selon certains philosophes, cette interrogation serait même inhérente à l'être humain. Arthur Schopenhauer

déjà savoir. Platon la république1 nous amène à réfléchir sur nos fausses perceptions de la réalité en utilisant une allégorie qui établit un parallèle entre la réalité sensible et la réalité intelligible. L’analyse de cette allégorie, comprend un résumé, l’explication des métaphores qui nous encourage à adopter un comportement philosophique et une conclusion sur les deux réalités qui nous font face. Le texte l’allégorie de la caverne, écrit par Platon est joué par Socrate qui raconte une histoire

conscience sont dans une coïncidence et une transparence parfaites : l’instant de contemplation, dit le Philosophe est la theoria : il s’agit d’une activité qui porte sur les objets les plus hauts, célestes : dans sa continuité elle engendre un plaisir stable qui nous rend parfaitement indépendant, délié du temps : « Ce qu’on appelle la pleine suffisance appartiendra au plus haut point à l’activité de contemplation… L’homme sage, fût-il laissé à lui-même, garde la capacité de contempler. (…) Sans

et des décisions politiques ; mais il en existe une infinité d’autres, qui s’inventent au jour le jour par la seule pratique des agglomérations, à travers les topologies qu’elles instaurent. Ainsi la vie urbaine ne se résume pas à quelques instants de récréation ou de contemplation. L’enjeu que portent les paysages urbains ne se situe pas dans cette multiplication d’horizons distants qui étendent les lieux urbains vers une nature hypothétique. Bien au contraire, car les pratiques de déplacement révèlent

caricatures qui représentes Zola = violence extrême. On l’accusait d’écrire des romans pornographiques. En effet à l’époque le simple de fait de s’intéresser à la réalité amène à cela. Il y a eu beaucoup de caricatures de Zola (plutôt scatologique). Si on résume : Le roman de Nana raconte l’histoire de Nana mais il propose une réflexion esthétique qui est e même temps politique, avec la peinture, la musique mais aussi sur la sociologie de l’art c’est-à-dire comme on peut faire une analyse de la société par

certaine lourdeur, sert en effet les intérêts de Dubois par sa naiveté. C'est lui qui informe les personnages présents de l'activité de Dorante en décrivant son maître comme un être sensible et s'abandonnant à la rêverie amoureuse lors de ses contemplations du tableau : « ôter ce tableau (…) que mon maître considérait », l. 30 ; « l'avait contemplé », l. 32. Dorante, selon la description d'Arlequin, est transi d'amour comme l'indique l'utilisation, à deux reprises, du détérminant indéfini

il aide les Ziman à fuir les nazis. Séparés malgré eux, leurs vies de misérables ne se rejoindront qu’à la fin de la guerre, dans une gargotte tenue par Fortin. Mais une fois de plus, le destin misérable se répètera (...) (Hernani (Les Contemplations (Les Misérables (Les Orientales (Les Feuilles d’Automne Poésie : rime romantique (le courant parnassien (Théophile Gautier, Sully Prudhomme) : Opposé au courant romantique, il se caractérise par l’absence de lyrisme personnel, le choix

une impression insolite de complémentarité. Dans la deuxième strophe le toucher, la vue et l’ouie semblent se combiner dans une sorte devertige de sens : Au niveau de la vue l’homme est fasciné par le spectacle de la mer . le verbe « contempler » résume cette fascination. Au niveau de l’ouie, la figure de l’hypallage se trouvant dans le vers 7 exprime cette fusion du bruit de la vague qui devient la rumeur du coeur. Et finalement au niveau du Toucher nous trouvons le vers : « tu l’embrasses des yeux

néo-platonicienne de Rome en 270, édita les œuvres du maître et écrivit une "Vie de Plotin". Il épousa une veuve nommée "Marcella" à qui il adressa une lettre fort célèbre, la "Lettre à Marcella" qui expose l'essentiel de la doctrine néoplatonicienne. Un résumé d'une "lettre de Jamblique à Porphyre" est aussi donné en annexe. Un des hymnes de Proclus Écoute-moi, ô Athéna, Toi dont le visage rayonne une pure lumière. Conduit à bon port l’errant que je suis sur la Terre. En récompense de mes saints