Réécriture Des Mythes Dans Le Théâtre

textes no 1) Rire sur scène (groupement de textes no 2) La mise en scène Images du vaudeville au XIXe siècle 111 115 117 129 140 146 PRÉSENTATION La comédie du vaudeville Labiche et Feydeau ont principalement écrit des pièces de théâtre – c’est-à-dire des œuvres destinées à être jouées sur scène par des acteurs devant des spectateurs. La plupart de leurs pièces appartiennent au genre de la comédie, et plus précisément du vaudeville. À la différence de la tragédie, qui représente

> Le théâtre, Objet d’étude : Objectifs : d’Eschyle aux Deschiens - Théâtre : genres et registres (comique et tragique) - Approche de l’histoire littéraire - Étude des effets sur les destinataires histoire littéraire et culturelle Perspective dominante : Perspective complémentaire : Textes et œuvres : Lecture cursive : groupement de textes étude des genres et registres Antigone, Jean Anouilh La séquence suivante illustrera les acquis sur le théâtre par la lecture analytique de

écrivain a retranscrit le mythe de cette mère infanticide selon son époque, sa perception personnelle, sa sensibilité[3]. Ce sont pour la plupart des pièces de théâtre, sauf bien sûr Pasolini qui en a fait un film. On peut dire que c’est au cours des XIXème et XXème siècles que le mythe de Médée a fait l’objet du plus grand nombre de réécritures. Nous remarquerons au travers de la Médée de Rouquette, écrite en 1989, que les auteurs contemporains, contrairement à leurs prédécesseurs, réhabilitent

portera en outre dans l’Académie d’Orléans-Tours le message de cette politique. La peinture de Braun-Vega, au travers d’une vision qui lui est propre et qui appartient à un autre continent, reflète notre patrimoine, nos références culturelles, nos mythes. En ce sens, elle nous renvoie notre image et nous engage à une réflexion sur notre identité. Elle est aussi une invitation à comprendre l’Autre. C’est en quoi elle nous intéresse aujourd’hui. L’Art et la Culture sont là porteurs où règne d’une

tragédie attique et la tragédie latine impériale, nous choisissons de ne pas aborder le rapport des deux pièces en termes de filiation. Assumant ici une perspec- tive plus synchronique que diachronique, nous pointerons simplement quelques écarts de la réécriture sénéquienneen précisant les plans sur lesquels ils jouent. Aban- donnant tout jugement de valeur sur la fidélité ou l’infidélité de sénèque à euripide, nous nous concentrerons sur leseffets de ses démarcations. À quels niveaux, donc, mener la comparaison

qui vante est lui-même vanté, tandis qu’il se réclame, il est réclamé ; il allume le feu pareillement et se consume. 1 Métamorphoses, Livre III, v.415-424, Ovide Traduction Régine David pour le Cned Notes : * Bacchus : dieu du théâtre, de la fête, de la vigne. Bacchus et Apollon sont toujours représentés beaux et éternellement jeunes. 1. étancher : apaiser. 2. s’extasier : s’émerveiller. 3. impassible : sans expression. 4. imberbes : sans barbe. 5. éburnéen : d’ivoire.

empreinte le théâtre français. Molière est né le 15 Janvier 1622 à Paris d’une famille issu de la bourgeoisie (charge de tapissier royal) et dont la famille fréquentait aussi toute la haute aristocratie parisienne. De ses années d’enfance et d’études, on ne sait que peu de choses, les témoignages furent assez contradictoires. C’est vers l’âge de 21 ans qu’il se mit au théâtre en prenant le nom de scène de Molière. Un nom lui aussi à l’origine incertaine. Il fonde la compagnie de l’Illustre-Théâtre en 1643

œuvre comme L'oiseau bleu (1906) de Maurice Maeterlinck n'a été publiée en France qu'en 1909 par les éditions Fasquelle. Et surtout, c'est grâce au relais d'une mise en scène …russe, celle de Constantin Stanislavski, qu'elle fut jouée à Paris, au théâtre Réjane, en 1911. En effet -- et ici les notions proposées par Jauss jouent à plein-- cette féerie, conçue par le poète comme un conte de Noël pour enfants, fut certes bien servie par la mise en scène de Stanislavski,mais surtout elle était en parfaite

plus forte raison chez Maeterlinck, Crommelynck ou Ghelderode, l'on a affaire à du théâtre. C'est finalement sur les tréteaux que l'exotisme belge a le mieux révélé sa nature irréaliste. Moins historique et paysagère que dans le pittoresque de De Coster ou dans le lyrisme épique de Verhaeren, pas du tout idyllique et naïve comme dans les vers de Max Elskamp, la Flandre (pas toujours nommée d'ailleurs) du premier théâtre de Maeterlinck, du Cocu magnifique ou de Hop signor est évidemment toute imaginée

décadente ?[70] que ce type de préoccupation de tenter de se retrouver à travers le temps est celle de toute une fin de siècle, travaillée par certains auteurs. Schwob fait partie de ceux là. En effet, dans chacun de ses recueils, il réactualise les mythes, on retrouve une ou plusieurs parties de la Genèse, "L’incendie terrestre" fait la mention d’une Eve et d’un Adam après la destruction d’un Eden ; "La machine à parler" reprend cette phrase de la Bible, dans la Genèse : "au commencement fut le verbe"