Réécriture Du Petit Chaperon Rouge

de jeunesse espagnol...9 Génération 70............................................................................................13 L’intericonicité dans les livres illustrés d’Antonio Saura.....................17 Intertextualité: Emprunt, réécriture et plagiat.....................................20 L’utilisation du séminaire dans la création du mémoire.......................23 2 La notion d’intertextualité et d’hypertextualité Définition de l’intertextualité: * Définition de Roland

Dissertation Pensez-vous que la réécriture ne soit qu’une forme de copie ou qu’elle constitue une véritable création ? Si de nos jours il est important, pour un auteur, d’être reconnu créateur de son œuvre, cela ne fut pas toujours le cas. Les contes, les légendes, les mythes, étaient tous transmis par voie orale, et les auteurs connus aujourd’hui ne sont pas les créateurs originaux de ces histoires. Pourtant, ces écrits sont des créations à part entière, et cela malgré la reprise d’un thème

résumant l’oeuvre de Philippe Ariès, historien s’étant penché sur la question de ce qu’il nomme «le sentiment de l’enfance». Or, selon Philippe Ariès, la conception de l’enfance n’a pas toujours existé. Effectivement, les enfants, au Moyen Âge, sont de petits adultes: «Dans la vie quotidienne, les enfants vivent avec les adultes, une vie d’adulte.» Leur rareté dans l’iconographie et leur représentation sous la morphologie adulte démontre qu’on y accorde peu d’intérêt, ce qui implique que la relation parent-enfant

objet de cette liste et écrivez un inventaire de 10 composants. » Lecture du texte de Séi Shônagon : (les élèves ont le texte) Choses désolantes Un chien qui aboie pendant le jour. Une nasse à poissons au printemps. Un vêtement couleur de prunier rouge, au troisième ou au quatrième mois. Une chambre d’accouchement où le bébé est mort. Un brasier sans feu. Un conducteur qui déteste son bœuf. Un savant docteur à qui naissent continuellement des filles. Une maison où l’on n’offre pas de festin à celui

couleurs vives (vert, rose, rouge, jaune-orange,…); Mademoiselle Sauve-qui-peut est une fillette aux cheveux roux vêtue d’une robe verte. Ces couleurs ne sont pas choisies par hasard par l’illustrateur. La vivacité des couleurs permet de reconnaître rapidement Mademoiselle Sauve-qui-peut dans les images insérées dans un cadre et dont les dimensions de chacune sont identiques. Ces couleurs ont peut être aussi été choisies pour traduire la vivacité et l’énergie de la petite fille. D’autre part cet

SOMMAIRE INTRODUCTION 2 I. LES DIFFERENTES VOIES D’ENTREE DANS LA PRODUCTION D’ECRIT 4 A. Petit historique des pratiques d’écriture à l’école 4 1. 1882-1972 4 2. Le plan de rénovation de 1972 5 B. Apprendre à écrire, oui, … mais comment ? 7 1. Les compétences mises en jeu dans les activités d’écriture 7 2. Les difficultés liées à la révision des écrits 8 C. Les démarches pédagogiques 10 1. Faire écrire à partir d’inducteurs 10 2. Les

9 3.2. L'art de raconter et le plaisir de la lecture 11 4. Les contes et la psychanalyse 12 5. L'impact sociologique des contes 15 6. Analyse du "Petit Chaperon rouge" 16 7. Conclusion 18 8. Bibliographie 20 Annexe 1 : Catalogue international de Aarne et Thompson Annexe 2 : Versions du "Petit Chaperon Rouge" Remerciements Nous tenons à remercier tout particulièrement Mme Wijns pour avoir accepté de superviser notre travail ainsi que notre amie Virginie Van

des formes de la lecture littéraire car elle fait appel à ce que Christian Poslaniec appelle « les petits savoirs », c'est-à-dire l’ensemble des connaissances qui permettent de lire un texte avec un « regard cultivé » : reconnaître des éléments qui rappellent un autre ouvrage, retrouver une construction littéraire déjà rencontrée, découvrir des références à des textes « classiques »… Et ces « petits savoirs » se construisent dans la fréquentation des réseaux et des textes littéraires. Ils construisent

l'écriture. Puis, nous verrons que la réécriture présente également des enjeux littéraire. Pour commencer, on peut prendre l'exemple de la célèbre histoire du Petit chaperon rouge de Charles Perrault, cette histoire a été l'objet de plusieurs réécritures, ainsi, Eve Bonfanti et Yves Hunstad ont réécris et adapter l'oeuvre au théâtre. On retrouve alors un tout autre genre qui est le comique ajouté à partir d'une histoire sérieuse comprenant une morale. Cette réécriture a donc un but qui est celui d'innover

majorité des matières enseignées font référence à des événements liés à la guerre. Les outils pédagogiques sont au service de cette propagande par exemple La réécriture du célèbre conte Le petit chaperon rouge dans lequel le loup est représenté par un soldat allemand : on le reconnait grâce à son casque pointu et sa moustache ; et le petit chaperon rouge évoque un soldat français puisqu’il porte un bonnet phrygien. Ce conte est utilisé pour apprendre à lire aux jeunes français tout en leur apprenant à voir