Sadisme

rationalité pathique des conduites humaines est la rationalité mise au jour et étudiée par la psychodynamique du travail. Travail prescrit, travail réel : Le soin des grands brûlés met en scène, chez le soignant, deux sentiments : le sadisme et l’altruisme. Autant de sadisme chez le soignant que de douleur chez le soigné. L’organisation du travail comprend la division technique et la division sociale et hiérarchique du travail. Cependant cette organisation ne contraint pas le travailleur dans l’absolu

protagonistes. Ceux-ci sont caractérisés tout le long de la pièce comme étant des lâches et des salauds. En plus d’être salaud, Garcin est conscient de sa lâcheté pour avoir déserté: « Ils pensent : Garcin est un lâche » (p. 80) et Inès, par son sadisme envers autrui et sa lâcheté de ne pas vouloir changer se qu’elle est, qui est, selon les existentialistes, de la mauvaise foi. Estelle, elle, refuse d’accepter qu’elle est en Enfer après avoir été Idée secondaire 3 : Enfin, la servitude est aussi

la mer, Qui vers elle montait comme vers sa falaise. Dans Le Léthé, la « crinière » ne laisse personne dupe : Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants Dans l’épaisseur de ta crinière lourde ; Dans tes jupons remplis de ton parfum Le sadisme de À celle qui est trop gaie est sans détour et les lèvres en question trop sexuellement évidentes : Ainsi je voudrais, une nuit, (…) Comme un lâche, ramper sans bruit, (…) Et faire à ton flanc étonné Une blessure large et creuse, Et, vertigineuse

gloire persul du médecin : débine ses confrères, concurrence -         Profite du narcissisme du patient( je sens x2, j’ai un voile, j’ai…) et de ses peurs et douleurs, mêmes fantasmées (douleurs x2, voile, maux, lassitudes) + peut aller jusqu’au sadisme (dernières prescriptions; tyrannie des médecins)   ® La médecine n’est pas affaire de science mais de croyance (Cf. querelle du Tartuffe ; parodie de St Marc) -         réponse évidente a Q. ( même fonctionnement que astrologie : fausse divination ;

lecteur dans la prison du regard. Le thème religieux qu’on retrouve dans « sacrilège » évoque le maléfice inerrant de la femme séductrice et tire la peinture de Moreau vers le mal et la peinture, réseau dansant qui unifie AR en complétant le sadisme de la décapitation « l’horrible tête qui flamboie » Mise en scène d’une dramatisation = procédé de Flaubert qu’utilise Huysmans Préface ou autobiographie ? Huysmans utilise les prolepses Subversion de l’ordre chronologique Huysmans réussi

« on » (l 4 à 8) sa femme (l 12) « les français » (l 18) * Faiblesse intellectuelle (=incohérence) « je ne sais pourquoi » Les français sont fort humain (torture) ≠ Anglais inhumain car prise du canada. * Faiblesse morale (l 6, 14, 20, 29) sadisme contre sont égale * Conclusion polémique (l 32, 33) France en retard Conclusion : Voltaire ne se contente pas pour dénoncé la torture de décrire la souffrance il cherche à responsabiliser les français en montrant leur complicité. Il dénonce

d'élection pour le poète, car sans le danger que l'Albatros subis, il n'aurait pas eu de valeur poétique. Toutes ces qualités qui indiquent sa supériorité (beau, virtuose, mais aussi "compagnon" fidèle) ne peuvent que faire l'objet d'humiliation et de sadisme de la part de l'homme. Pour conclure : Baudelaire compare la place du poète dans la société à un albatros : majestueux dans le ciel mais ridicule sur terre et au contact des hommes. De même, le poète se situe au-dessus du commun des mortels

des sentiments. Poésie Baudelairienne : ll repousse tout d'abord la volonté d'unir l'art et la science. Fleurs du Mal : Le mal fait référence à quatre types de mal :     - mal social (être déchu)     - mal moral (goût pour le crime et le sadisme)     - mal physique     - mal métaphysique (âme angoissé car il ne croit pas en Dieu) Oxymore : Fleurs/mal Spleen : Baudelaire invente une forme de désespoir radicalement nouveau, de mélancolie qui ne ressemble à aucune autre et qui est la source

donne une impression choquante voir sanguinaire aux lecteurs, il n’hésite pas a employer les mots les plus forts pour montrer l’horreur que subissaient les indiens. Il dénonce les sauvages Espagnols et prend la défense des Indiens, le sadisme des Espagnols, leur cruauté. Las Casas se pose en témoin : « j’ai vu », « je l’ai vu » lignes 21, 22. Il parle à la première personne ce qui donne du poids a ses propos. Cette barbarie se fait paradoxalement au

ruine: Océanie, Nigeria, Nyassaland. Je vois moins bien ce qu'elle a apporté. Sécurité? Culture? Juridisme ? En attendant, je regarde et je vois, partout où il y a, face à face, colonisateurs et colo-nisés, la force, la brutalité, la cruauté, le sadisme, le heurt et, en parodie de la formation culturelle, la fabrication hâtive de quelques milliers de fonctionnaires subalternes, de boys, d'artisans, d'employés de commerce et d'inter-prètes nécessaires à la bonne marche des affaires. J'ai parlé de