Sagesse

peux donc mettre fin à mon désir impossible. D’après la pensée d’Epictète, c’est le chemin vers l’Ataraxie. En effet, en supprimant mon désir de l’impossible, et tous les autres désirs qui m’agitent, et qui me font souffrir, je me dirige vers la sagesse, l’absence de souffrance. Dans ce cas, pouvant ne pas désirer l’impossible, je peux dire que le fait de désirer l’impossible n’était pas nécessaire. La lutte entre la volonté de réaliser le désir, et son impossibilité à être satisfait,

de la connaissance puisque le désir sera déçu de sagesse (désir de savoir, désir de ne pas rester dans l'ignorance). Grâce à son père, il tendra toujours vers la plénitude, on pourrait dire qu'à cause de sa mère, il est faible (manque...) pourtant c'est grâce à cela qu'il cherche la plénitude. Ainsi pour Platon, Eros est philosophe, il se situe entre l'ignorance et la connaissance du sage cf. ethymologie de la philosophie "amour/désir de la sagesse" = le désir promet l'ascension à la connaissance

dit, si nous ne sommes pas capable de répondre en questionnant et non, comme c'est très souvent le cas, en affirmant, alors nous ne pouvons prétendre accédés à une certaine forme de connaissance et de vérité, et avec elle à tendre vers une forme de sagesse ne serait – elle que partielle. Afin de servir sa thèse, l'auteur déploie un certains nombre d'arguments, tout d'abord, il avance que les erreurs que l'on commets sont dus au fait que l'on a trop souvent peur de les reconnaître. Afin d'y remédier

Platon (où l'on trouve un usage abondant du mot), qui fixera le type de recherche et de questionnement en quoi consiste encore aujourd'hui la philosophie4. Le terme est composé des mots « ami » (philos) et « sagesse, savoir » (sophía), la « philosophie » signifiant ainsi : « amour de la sagesse » ou « amour du savoir ». La philosophie est à plusieurs reprises définie par Platon comme étant en opposition avec les désirs « humains » : philo-hèdonos (amour du plaisir), philo-sómatos (amour du corps),

n'y en a pas ». Le mot « philosophie » (du grec ancien φιλοσοφία - composé de φιλεῖν : « aimer », et de σοφία : 1. habileté manuelle ; 2. savoir, science ; 3. sagesse pratique ; d'où : 1. sagesse [en général] ; 2. habileté, ruse [en mauvaise part] ; donc, « la sagesse » -, c'est-à-dire littéralement : « l'amour de la sagesse ») désigne une activité et une discipline existant depuis l'Antiquité en Occident et se présentant comme un questionnement, une interprétation et une réflexion sur le

Socrate : (v. 470-399) philosophe grec. Deux armes redoutables (ironie socratique et la maïeutique) Socrate constate que ceux qui passent pour sages aux yeux de la multitude ne le sont pas. Ces gens pensent tout connaître alors qu’en regard de la vérité ils ne savent rien. La véritable sagesse, selon lui, consiste plutôt à reconnaître notre ignorance devant l’immensité de la réalité. La pire ignorance dont une dont un humain puisse être affligé est l’ignorer qu’il ignore. Les sophistes

l’examen, que le mouvement de la recherche qui va, en discriminant entre le vrai et le faux, nous conduit sur le seuil de ce que nous nous cherchons à découvrir. 2) Ainsi s’éclaire le passage de l’Apologie dans lequel est examiné le statut de la sagesse de Socrate. L’Oracle de Delphes avait dit que Socrate était l’homme le plus sage de la Grèce. Mais qu’est-ce que cela signifie ? Qu’il était le plus grand savant de son époque ? Qu’il était une encyclopédie vivante ? Qu’il savait tout et pouvait enseigner

comblé ; la nostalgie des étoiles. Mais satisfaire un désir conduit à en créer un autre, car l'Homme est un être désirant de nature. Le désir domine et régit les Hommes. Les sagesses antiques, tel la philosophie d'Epicure, se propose de poser des limites rationnelles et naturelles au désir, source de malheur. La sagesse Epicurienne cherche à remédier au désir en proposant un remède visant à aider l'Homme à savoir se comporterface aux désirs. pour cela les désirs sont classés en trois parties :

Cette façon d’appréhender le monde s’appelle une cosmologie. La nature est régie par un ordre divin, un ordre parfait. Le beau, le juste et le vraie sont des catégories pérennes, qui durent, qui restent, chaque terme a une seule définition et la sagesse consiste à vivre en osmose avec la nature. On appelle ce monde, le monde prémoderne. C. Les caractéristiques de la pré modernité : l’ordre est la fin de toute chose 1. L’ordre est le référent absolu pour les Anciens Ce qui est ordonné selon

quête, la sagesse. Ce personnage, devenu borgne, est donc en recherche de lucidité ! Les interrogations de Memnon (lignes 131, 142) montrent qu’il est en attente d’une solution, puisqu’il a compris que son plan de vie avait été un échec. Il a besoin de ce génie pour connaître ce qu’est la sagesse. Le message du génie permet donc d’évoquer, dans ce débat philosophique, une réponse qui se compose de 4 phases. ▪ La première intervention (ligne 132) permet de définir la sagesse comme une