Sagesse

exactement comme à l’égard des enfants des autres. (Mencius 1A, 7) Texte 5 : Les hommes honorables commencent par appliquer ce qu’ils veulent enseigner et enseignent ensuite conformément à leurs actes. (Confucius, Entretiens 2,13) Texte 6 : Les hommes sages qui aspirent aux richesses y parviennent par des moyens honnêtes et éthiques. (Confucius, Entretiens 4,2) Texte 7 : Quiconque pèche à l’égard du ciel, n’a personne qu’il puisse prier. (Confucius, Entretiens 3,3) Texte 8 : L’honnêteté du cœur génère

La philosophie est apparue avant Jésus-Christ au sixième siècle à Athènes. Le mot philosophie vient du grec « philo », aimé, et « sophie », la sagesse. Il signifie donc « l’amour de la sagesse ». La philosophie a germé au moment ou plus précisément, dans les cités grecques, là où les gens devaient à tout pris pensez comme la religion. Alors, c’est à ce moment que serait née cette nouvelle forme de pensée. Les gens ont donc commencé à s’interroger sur le monde, pensé par eux-mêmes, prendre leur

également le bonheur dans la sagesse, mais, contrairement à Aristote, écarte de cette sagesse et du bonheur qu?elle permet tout rôle des circonstances et de la chance. La distinction fondamentale du stoïcisme sépare en effet les choses qui dépendent de nous et celles qui n?en dépendent pas : les circonstances extérieures, richesse, santé, carrière, sont gouvernées par la Providence qui cherche non pas le bien des individus, mais le bien du tout. La liberté humaine et la sagesse consistent alors à accepter

paraît donc comme important. Effectivement selon Epicure "la raison doit administrer les désirs", il explique que selon lui pour que l'homme abandonne toute peur de la mort, mauvaise passion etc il doit atteindre le bonheur en se rapprochant de la sagesse par la philosophie, vivre en autarcie et effectuer un prompt retour à la nature. Cet abandon des maux paraît tout à fait raisonnable pour que l'individu ne puisse qu'éprouver des désirs qui ne sont que raisonnables et qui ne risquent pas d'affecter

quelque autre manière ? SOCRATE. Jusqu’à présent, Menon, les Thessaliens étaient renommés entre les Grecs, et admirés pour leur adresse à manier un cheval et pour leurs richesses ; mais aujourd’hui ils sont renommés encore, ce me semble, pour leur sagesse, principalement les concitoyens de ton ami Aristippe de Larisse[3]. C’est à Gorgias que vous en êtes redevables ; car, étant allé dans cette ville, il s’est attaché par son savoir les principaux des Aleüades[4], du nombre desquels est ton ami Aristippe

leur portable; entre une définition de la vérité et leur comportement si par hasard ils trompaient leur petit(e) ami(e); entre le cours théorique sur la raison et cette part de la « raison qui disparaît dans une soirée bien arrosée ». Vers une sagesse pratique Ces succès actuels de librairie - qui doivent être distingués de la simple vulgarisation philosophique puisqu'ils consacrent l'épanouissement plus spécifique d'une philosophie avant tout pratique - s'inscrivent dans la lignée d'ouvrages

postulat de Condorcet. C'est bien la raison qui permet à l'homme de différencier le bien du mal et le vrai du faux. Ce discernement est une des bases de la sagesse, en effet sans lui aucune décision et aucun choix ne sont justifiés. Or la philosophie trouve sa signification dans le mot grec « philosophos », signifiant « ami de la sagesse ». La raison est donc un pilier de la philosphie, mais est-elle présente dans les écrits des philosophes des Lumières, et en appliquent-ils les principes ?

d’angle, il semble donc vrai de dire que seul un philosophe est capable d’amour, car l’amour c’est philosopher et un philosophe est un personne qui pratique la philosophie. L’étymologie du mot philosophe viens du grec et voudrais dire « amour de la sagesse » littéralement. Il est donc amusant de se rende compte que la racine même de la philosophie parle d’amour.

jamais ni riche ni pauvre. Il tient aussi le milieu entre la sagesse et l'ignorance, car aucun dieu ne philosophe ni ne désire devenir sage, puisque la sagesse est le propre de la nature divine; et, en général, quiconque est sage ne philosophe pas. Il en est de même des ignorants : aucun d'eux ne philosophe ni ne désire devenir sage, car l'ignorance a précisément le fâcheux effet de persuader ceux qui ne sont ni beaux, ni bons, ni sages, qu'ils possèdent ces qualités; or nul ne désire les choses dont

Au premier abord, les termes de sagesse et révolution semblent s'opposer complètement. En effet la sagesse est définie comme une maîtrise de soi issue d'un long cheminement et nécessitant donc une réflexion. A l'opposé, la révolution apparaît comme un changement brusque, un véritablement bouleversement, guidé par les passions. Si la sagesse est définie comme le caractère de ce qui demeure traditionnel, éloigné des audaces et des outrances, la révolution se caractérise par sa volonté de remise en