Sagesse

ainsi on distingue les vertus théologales visant la divinité , la foi ,l’espérance ,la charité  , la croyance etc. ..; et les vertus morales visant plus particulièrement le comportement de l’Homme , la justice ,le courage , la prudence , la sagesse , l’honnêteté , la fidélité etc.…. ; par exemple pratiquer la prudence c'est prévoir ou l’on va se diriger pour emprunter le chemin le mieux orienté. La vertu spirituelle est donc bien différente des habituelles vertus naturelles : l’Homme est

Il y diffuse son savoir et ses conceptions philosophiques qui prendront le nom d’épicurisme. Epicure meurt en -270. L’épicurisme, en concurrence avec l’autre grande pensée de l’époque le stoïcisme, est axé sur la recherche d’un bonheur et d’une sagesse dont le but ultime est l’atteinte de l’ataraxie. C’est une doctrine matérialiste et atomiste. Epicure a écrit de nombreux ouvrages mais très peu traverseront les siècles. Il laisse seulement trois célèbres lettres dont la Lettre à Menécée. II

avec les parents...Tout ceci donne un sens à la vie. Mais pour obtenir un résultat positif, fruit de la réflexion, de la créativité de l'homme, il faut s'armer de patience car la patience finit par payer. La patience, c'est un signe de sagesse.Et la sagesse c'est la chose la plus recherchée par le philosophe et par syllogisme Jean Paul Sartre lui-mêmeIl faut partir du fait que Jean Paul Sartre est un philosophe existentialiste, c'est à dire que .

L'épicurisme est une école philosophique fondée à Athènes par Épicure en 306 av. J.-C. Elle entrait en concurrence avec l'autre grande pensée de l'époque, le stoïcisme, fondé en 301 av. J-C. L'épicurisme est axé sur la recherche d'un bonheur et d'une sagesse dont le but est l'atteinte de l'ataraxie, la tranquillité de l'âme. C'est une doctrine matérialiste et atomiste. Son héritage a été revendiqué par le matérialisme moderne (Marx notamment). Le but de l'épicurisme est d'arriver à un état de bonheur

: il était impossible de les amalgamer ; la notion de rationalité s’oppose ainsi à l’émotion, et il fait allusion aux tentatives de théoriser les lois, par le biais du Code Pénal par exemple, tandis que le terme de raisonnable fait allusion à la sagesse (d’où une allusion possible à Athéna). On pouvait ainsi appliquer cette distinction à l’exemple de la loi du Talion, qui est rationnelle, mais absolument pas raisonnable.

. Le XVIII siecle commence apres la mort de  Louis XIV et fini apres la mort de Napoleon 1er en 1815. A cette epoque de l´histoire c´est  une monarchie absolue, les philosophes a cet epoque change la mentaliter de ces personne.      Memnon ou la sagesse humaine ecrit par Voltaire en 1748 et un conte philosophique. Ce  conte raconte l´histoire de Memnon, un apprenti philosophe qui veut devenir parfaitement  sage. Ce texte presente au premier abord un shema narratif tres simple ou les actions  s´enchaine rapidement

inaccessible. Or tout désir vise la réalisation d'un événement. Donc ne vais-je pas souffrir de l’échec de la réalisation de mon désir ? S’il est déraisonnable de s’en tenir au possible, alors il faut désirer l’impossible. D’après Descartes et les sagesses antiques (épicuriens et stoïciens), réduire le désir à une volonté raisonnable ou aux besoins, ce n’est plus vraiment un désir. Dès lors, le seul vrai désir est celui de l’impossible. D’après Epicure, le « désir moteur » permet de désirer l’impossible

moyen d’accorder ses désirs avec ses possibilités en se rendant compte que tout ne dépend pas de nous, que certains désirs sont hors de notre portée et que s’obstiner à vouloir les réaliser, c’est se condamner à souffrir. C’est ce qu’on appelle la sagesse et qui est le résultat de l’exercice de la pensée 3. penser, c’est être davantage maître de soi, de ses représentations et par là être moins soumis à des peurs ou des angoisses infondées qui troublent notre âme. - pour certains Platon, Aristote

proposer une cité idéale orientée vers la vertu (science du bien et du mal ; ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire). Socrate dira dans la République « si notre cité a été bien organisée, on doit trouver en elle quatre vertus indispensables : sagesse, courage, discipline et justice » . Or ce qu’on aperçoit clairement dans les individus, c’est un état d’esprit qui donne naissance à des désordres. Une réforme des idées et des mœurs devient une condition nécessaire d’une bonne politique qui passe

qu'elle n'est pas dirigée par des idées claires touchant ces notions, que son attitude n'est ni rationnelle, ni raisonnable. À l’opposé, la sagesse se manifeste par un certain équilibre : le sage “ne fait pas fi de la vie et ne craint pas la mort”. Il ne maudit pas la vie telle qu'elle est donnée à l'homme, il ne cherche pas à s'en détacher (comme dans certaines sagesses orientales) et accepte qu'elle ait un terme (cf. plus haut) : ce qui compte, et cela est appuyé par l'exemple de la nourriture, ce n'est