Sapere aude

pour mettre en accusation son interlocuteur. Un discours presque prophétique : formule proche du discours biblique « Celui qui » et formules de protée générale : « tout homme » « Il est honteux de » + utilisation de l'impératif « osez penser » = « sapere aude » Fonction impressive du langage de B. ( = chercher nettement à influencer son interlocuteur ). ✖ Medroso, lui est dans le doute : « on dit que » = il rapporte des propos au lieu de s'affirmer = pas de conviction personnelle. Il pose des questions

superstitions. Il remet en cause les croyances infondées et recherche la vérité. La pensée devient la directrice de la critique de l’époque où les penseurs vivent. On retrouve cet esprit au XVIIIème, pendant les Lumières, dont la devise est : « Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! » (Enoncée par Kant dans Qu’est-ce que les Lumières ?). La connaissance est la base sur laquelle s’appuient les raisonnements. Eclairé, le penseur commence à se distinguer des autres hommes

sans la conduite d’un autre. On est soi-même responsable de cet état de tutelle quand la cause tient non pas à une insuffisance de l’entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s’en servir sans la conduite d’un autre. Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Tel est la devise des Lumières. » Les Lumières se basent donc sur la croyance en un monde rationnel, ordonné et compréhensible, exigeant de l’homme l’établissement d’une connaissance également

sans la conduite d’un autre. On est soi-même responsable de cet état de tutelle quand la cause tient non pas à une insuffisance de l’entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s’en servir sans la conduite d’un autre. Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Tel est la devise des Lumières. » Les Lumières se basent donc sur la croyance en un monde rationnel, ordonné et compréhensible, exigeant de l’homme l’établissement d’une connaissance également

libérer le peuple de l’obscurantisme mais aussi montrer pourquoi la liberté de penser est difficile à obtenir et à conserver alors qu’elle est vitale. Mot d’ordre : Penser par soi-même ! ------------------------------------------------- KANT, Sapere aude ! (Qu’est-ce que les Lumières ? §1 et 2, 1784) ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- « Accéder aux Lumières consiste pour l’homme à sortir de la minorité où il se trouve par sa propre

l’argumentation, à l’opposé d’Emmanuel Kant qui, dans son article Qu’est-ce que les Lumières ? publié en 1784 cherche l’attention d’un public restreint par un effort de style et une richesse du vocabulaire qui passe ici par l’emploi du latin : « Sapere aude », « naturaliter maiorennes » etc. pour expliquer la spécificité du mouvement des Lumières. Les messages passent aussi maintenant par les médias comme la télévision, la radio et ont également un impact sur nous, différent selon la forme utilisé

(connaissance des systèmes des philosophes, histoire de la philosophie). Ainsi, l'étude des concepts d'une part, et, d'autre part, l'étude de la logique, forment une initiation complète à la philosophie, dont la finalité est de penser par soi-même : sapere aude. Si cela est juste, alors on peut comprendre pourquoi la philosophie ne s'apprend pas : il n'y a pas un contenu donné et constitué dont on peut dire : voilà toute la philosophie. La philosophie, comme science achevée, n'existe pas. L'apprentissage

affection.Notre pensée ne peut être véritable qu’à partir du moment où nous faisons un usage libre de notre raison, de notre jugement. C’est ce que Kant supporte en disant que, pour lui, la liberté de penser est caractérisé par la maxime des Lumières « Sapere Aude ! » qui signifie aie le courage de te mettre au service de ta propre pensée plutôt que d’attendre que autres pense pour toi. Ici il nous incite à penser avec notre entendement et avec amour.L’amour est nécessaire pour pouvoir philosopher. L’amour

ressent l’homme, mais aussi par la poursuite du bonheur terrestre. Le but de l’homme n’est plus de gagner son ciel, mais bien de vivre heureux le temps qu’il devra passer dans cette vie. Le projet des lumières est tout de même plus vaste que cela. «Sapere aude ! (ose penser) Aie le courage de te servir de ton propre entendement.»2 Tel est le credo des lumières selon Kant. L’homme doit maintenant s’en remettre qu’à sa raison et non à une autorité surnaturelle quelconque pour faire, dire et penser. Il a

l’obligation choisie ; - entre le plaisir sensible, immédiat ou pulsionnel (Calliclès) et le plaisir réfléchi et modéré (Epicure). Ou encore entre - le fait de déléguer sa pensée à un tuteur (cf Kant) ou - le fait d’essayer de penser par soi-même (le « sapere aude » de Kant – or, vous aviez tous lu “qu’est-ce que les lumières ?” de Kant, mais cette référence n’a jamais inspiré votre analyse !) ; enfin concernat l’Etat : vous deviez aussi vous interroger pour différencier l’obéissance à des lois raisonnables