Sartre Freud Ressemblances

elle-même il convient de distinguer si elle est entendue comme un pur produit de l’imagination, c’est-à-dire la reproduction d’un objet sensible en son absence. Ou, l’acception désigne une visée de la conscience vers un objet absent ou inexistant (Sartre.) I ] POUR OU CONTRE ? A – EST-ELLE REVOLTE CONTRE LA RAISON ? 1) Les opposants Platon : Il faut remonter aux Idées. L’image est de l’ordre du sensible Elle est donc illusoire car elle mutile la réalité. Montaigne disait de l’imagination

Didi-Huberman, Georges, Devant l’image : question posée aux fins d’une histoire de l’art, Paris, Minuit, 1990. Didi-Huberman, Georges, Le cube et le visage : autour d’une sculpture d’Alberto Giacometti, Paris, Macula, 1993. Didi-Huberman, Georges, La ressemblance par contact, Archéologie, anachronisme et modernité de l’empreinte, Paris, Minuit, 2008. Dubois, Philippe, L’acte photographique et autres essais, Paris, Nathan, 1990. Duborgel, Bruno ed., Figures de la répétition : recherches en esthétique et

grandir en pensant que l’on vivra mieux puis une fois arrivé à un certain âge nous en venons à regretter notre jeunesse brulée (le fameux « de mon temps … »). Nous pouvons donc observer que le Voyage à la cour des Caractères de La bruyère a des ressemblances avec ce que nous observons actuellement, il s’attarde ici à peindre le contraste entre les courtisans de la cour de Louis XIII et ceux de celle de Louis XIV, les anciens sont agréables, mènent une vie sobre tandis que les nouveaux sont aigris,

un acte qui ne relève d’aucun penchant naturel… Mais une telle conception de la liberté semble bien difficile à accepter d’un point de vue scientifique. 3. L’existence précède l’essence (Sartre) Sartre aussi fait partie des philosophes qui semblent avoir opposé déterminisme et liberté. La solution de Sartre consiste à affirmer que l’homme est libre car l’existence précède l’essence : il n’y a pas d’essence (ou de nature) humaine. L’homme n’est pas quelque chose, il est au contraire un néant (cf

demeure de décider et de se juger. » Alain, Définitions, 1953 (posth.) http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 163 Citation 164 « La seule façon d'exister pour la conscience c'est d'avoir conscience qu'elle existe. » Sartre, L'Imagination, 1936. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 164 Citation 167 « La conscience simple, mais empiriquement déterminée, de ma propre existence, prouve l'existence des objets dans l'espace et hors de moi

(surtout initiation à la psychologie et développement humain) B) Explications D’après ce que nous avons appris en sciences humaines, il est possible de comparer les hommes et les femmes selon deux grandes tendances : les différences et les ressemblances d’ordre physiologique (biologique) ainsi que celles d’ordre psychologique (social). Dans le premier cas, le cours d’éducation physique, soit santé et activité physique nous a permis de mettre de l’avant la composition physique des hommes en comparaison

difficile de comprendre cela si on ne suppose pas comme l’a fait Freud l’existence d’un inconscient, ou en tous les cas de manière plus précise l’existence d’une vie psychique qui ne soit pas uniforme et donc pas transparente immédiatement, ie accessible à la conscience. On peut résumer cela par une première phrase freudienne : « qu’une chose se passe dans ton âme ou que tu en sois de plus averti, voilà qui n’est pas la même chose. » (Freud, une difficulté de la vie psychique). Il s’agit là d’une

transcendantale) est ouvert de manière essentielle à l’autre. Tout d’abord sous la forme de l’association passive de mon corps à celui de l’autre. J’ai une expérience immédiate de l’appariement de mon schéma corporel avec celui de l’autre, je perçois les ressemblances entre mes postures, mes attitudes et les siennes. Deuxièmement, je peux me transposer activement, en imagination, dans les vécus d’autrui. Je m’efforce alors, de manière volontaire, d’accéder à sa conscience. Ceci est possible en vertu de la spatialisation

durable. Cependant, au fil des siècles, le personnage séduit de nombreux auteur : -Voltaire, écrit Œdipe (1718) -Coctau, La Machine Infernale (1934) -Anouille, Antigone (1944) De plus, au début du XIXème siècle, le père de la psychanalyse, Sigmund Freud, s’est appuyé sur le mythe d’Œdipe pour illustrer la situation conflictuelle vécu par le jeune enfant, ce que l’on appelle le complexe d’Œdipe : l’attachement jaloux pour le parent du sexe opposé et ambivalence de ses sentiments pour le parent du même

pas seulement dans le monde, mais face au monde). • C'est en ce sens que Husserl écrit : « Toute conscience est conscience de quelque chose » (Méditations cartésiennes, 1929). C'est l'intentionnalité de la conscience. • C'est aussi en ce sens que Freud dit qu'être normal, c'est « aimer et travailler » (puisque le fou inconscient ne peut établir de vraies relations avec autrui, ni même avec la réalité). • La conscience psychologique est-elle fiable ? On peut voir en elle un principe. Pour René Descartes