Sartre Nous Sommes Ce Que Nous Faisons

expérimentale et des débuts de la psychiatrie, a été en partie créé parÉmile Zola, qui en devint le chef de file. Le naturalisme est une forte exagération du réalisme. Greil Marcus, Lipstick Traces tao lin Bolano, Le gaucho insupportable nosea, sartre chip kidd/cheese monkeys Olivier de Kersauson/ Le monde comme il me parle georges perec/ espèces d’espaces william blake/ a little boy lost graham swift/ j’aimerais tellement que tu sois la le solitaire / ionesco Neil Strauss The Game :

L’inconscient fait que nous n’avons pas le contrôle total de ce que nous sommes et de ce que nous faisons : par exemple les oublis, les névroses, les rêves, etc. Par la thèse freudienne, le « moi », c’est-à-dire la conscience de soi, n’est plus « maître en sa demeure » : on peut vouloir faire quelque chose et faire autre chose dans la mesure où des désirs inconscients influent sur l’action. Comme, selon Freud, nous ne sommes pas responsables de nos désirs inconscients, on peut donc dire que dans une

nous-mêmes. Ces leitmotivs nous demandent d’être spontanés, authentiques, naturels, donc de ne pas jouer de rôles d’interprétation. Mais qui sommes-nous sinon nous-mêmes ? L’expression « être soi même » n’est elle pas un pléonasme ? car nous ne pouvons être que nous-mêmes. Nul ne peut échapper à la présence de soi. Quand nous disons ‘je », nous faisons systématiquement la différence entre ce qui est « moi » et ce qui ne l’est pas. Nous avons donc conscience de notre identité qui fait de nous

Dire qu’on a changé ne suffit pas à se dédouaner de ses fautes. Dès lors faire appel au poids des événements passés, qui seraient inscrits dans notre inconscient et nous pousseraient à agir à l’encontre de notre volonté, serait affirmer que nous sommes déterminés dans nos actions par une force psychique qui échappe à notre contrôle. Ce déterminisme psychique ferait de l’homme une sorte de marionnette portée par les événements, sans maîtrise de soi. En ce sens, l’homme se présente plus comme un

grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts de Je et de pensée 7 2. Deuxième falsification : l’introduction d’une causalité 8 D. L’intentionnalité (Husserl, Sartre) 8 1. L’idée d’intentionnalité (Husserl) 8 2. Critique de l’intériorité (Husserl, Sartre) 9 3. Le « monde de la vie » (Husserl) 10 4. L’idée de phénoménologie (Husserl) 11 II. Approches existentialistes 11 A. Conscience et temps 12 1. Le temps n’existe que dans notre

interdit dutiliser les concepts de Je et de pense PAGEREF _Toc196743889 h 7 2. Deuxime falsification lintroduction dune causalit PAGEREF _Toc196743890 h 8 D. Lintentionnalit (Husserl, Sartre) PAGEREF _Toc196743891 h 8 1. Lide dintentionnalit (Husserl) PAGEREF _Toc196743892 h 8 2. Critique de lintriorit (Husserl, Sartre) PAGEREF _Toc196743893 h 9 3. Le monde de la vie (Husserl) PAGEREF _Toc196743894 h 10 4. Lide de phnomnologie (Husserl) PAGEREF _Toc196743895 h 11 II. Approches existentialistes

la Structure. En effet, notre culture, notre époque, notre sexe, notre langue, notre âge, tous ces facteurs déterminent notre place, et donc qui nous sommes; car à la place d'un autre, vous feriez et diriez exactement comme lui, vous seriez lui. Notre identité, c'est notre place. Nous ne sommes une "situation intériorisée" dit Sartre. Ainsi sommes nous tous effets de cette Structure, et non sujets comme nous voudrions bien le croire. La Structure produit l'indifférence du sujet. Indifférence totale

empêche les hommes de se faire à l’idée de leur mort. La position empiriste d’Epicure pour qui « tout bien et tout mal réside dans la sensation » montre que la mort n’est rien puisqu’elle échappe à la réalité, c’est-à-dire à la vie dans laquelle nous sommes ancrés. La mort n’est pas un objet de réflexion puisqu’elle revêt un caractère absurde. Les hommes veulent naturellement chercher un sens à la mort mais ils sont confrontés à son non-sens. Ainsi la mort nous surprend à n’importe quel

choisir, c’est une capacité à se déterminer : le libre-arbitre. -          Spinoza : le choix est une illusion dans la mesure où nos rasions d’agir sont elles-mêmes déterminées. La liberté est donc en sens [sens non-politique] une illusion. -          Sartre : le choix n’est pas une ‘option’ pour l’homme. La facticité du choix désigne une détermination de la condition de l’homme. Problèmes de la liberté- Faire preuve d’indifférence, est-ce exercer sa liberté ? [liberté et indifférence] Dans certains

nous rendons alors compte que ce que notre conscience nous donne à observer ne constitue qu’une illusion, tributaire de notre propre point de vue, de nos projections et de nos fantasmes. Dans ce premier cas, nous avons donc l’impression que nous ne sommes pas ce que nous avons conscience d’être, chaque confrontation avec autrui nous donnant l’occasion de mesurer l’écart entre la connaissance que nous avons de nous-mêmes et notre moi profond et véritable. - enfin, nous avons parfois le