Sartre Nous Sommes Ce Que Nous Faisons

raison ? Lorsque nous choisissons telle ou telle action,, c'est en raison de tel ou tel mobile (goût, intérêts, passions...) de telle sorte que ces motivations paraissent avoir force de cause dès lors, le choix est illusoire, on croit choisir mais nous sommes déterminés par des mobiles qui expliquent le choix. Les mobiles nous sont imposés, on ne les choisit pas. Pour être libre, peut-être faudrait-il choisir les mobiles de ses actions mais on voit alors qu'on s'engage dans une régression à l'infini. Il

expérience des autres, au sens où dans la vie quotidienne, lorsque nous agissons, parlons, et éprouvons des émotions et des désirs, nous sommes toujours déjà impliqués dans une relation avec les autres et nous considérons par conséquent que leur existence va de soi. Pourtant dès que nous tentons de penser cette expérience que nous faisons quotidiennement d'autrui, nous sommes confrontés à des problèmes. Il en va de l'expérience d'autrui comme de celle du temps, car comme St Augustin l'a fort bien exprimé

mourir comme un simple mortel alors qu’il était roi. La mort est la perte définitive par une entité vivante des propriétés caractéristiques à la vie, entrainant sa destruction. La mort est générale et universelle, aucun individu n’y échappe. Nous sommes tous égaux face à la mort, nous finirons tous par mourir. Paul Valéry exprime pourtant le contraire, pour chacun, mourir ne nous concerne pas personnellement. « La mort, c’est ce qui arrive aux autres » au sens propre, c’est Gilgamesh qui incarne

puisque nous avons la même origine, il y a une parenté, une ressemblance que l'on ne partage pas avec les animaux. Cependant si on a tous la même nature on a pas tous la même histoire, nous avons un model de développement différent. Cependant nous faisons toujours en sorte que chacun se retrouve ( mondialisation, prohibition de l'inceste & du cannibalisme … ). Ce serait penser en dictateur que de dire qu'il y a une différence totale entre les êtres. Il existe donc une communauté cosmopolite qui partage

notion d’apparence manifeste l’aspect sensible, la perception du réel, par opposition à la réalité en soi. Cependant, les apparences dépendent toujours d’une image extérieure, d’un aspect physique d’une chose ou d’une personne. Communément, nous faisons des jugements à autrui par leur apparence, mais, est-ce que l’on peut se fier aux apparences? Pour répondre à cette problématique nous allons voir dans une première partie qu’il faut se méfier des apparences, puis, que les apparences ne sont pas

l'intentionnalité, contredit Descartes dans sa théorie de la conscience comme seule vérité non sujette au doute. Selon Husserl, la conscience n'existe pas sans matière extérieure : elle est un mouvement vers le monde qui s'emplit de perceptions et d'émotions – Sartre parle de "l'éclatement de la conscience". La conscience est donc toujours occupée par les choses extérieures à elle-même. Elle n'existe pas seule est n'est donc pas substantielle. Dans le prolongement de cette thèse, on peut affirmer que la conscience

Vade-mecum sur la liberté Considérations préliminaires Il convient tout d’abord de bien se rappeler que la liberté n’est pas une réalité concrète. Le mot désigne une abstraction qui se tire de la qualité de certains de nos actes. 1 – nous sommes, voilà le concret ; 2 – nous posons des actes concrets ; 3 – certains de ces actes sont des actes libres. Nous appelons liberté la qualité des actes libres. En tant que capables de poser des actes libres nous pouvons nous-mêmes être qualifiés de libres

moderne, découverte approfondie de l’astronomie. C’est le siècle d’une très forte progression scientifique et technologique. 2 guerres mondiales. Mondialisation (cf. la chute du Mur de Berlin). Philosophes : Freud, Bergson, Bachelard, Popper, Husserl, Sartre, Heidegger, Wittgenstein - - - - - - - - - - 1) L’homme comme être conscient Conscience : cum-scienta => avec, accompagné de - savoir, connaissance Chez l’être humain, il existe d’abord la conscience de quelque chose. L’animal est doté

Définir les termes du sujet  Choisit-on L’expression pose la question de la liberté et de la responsabilité du sujet : avons-nous le choix, c’est-à-dire la possibilité de faire autrement ? Sommes-nous déterminés à faire nécessairement quelque chose ou bien sommes-nous face à une alternative dont l’issue relèverait de notre décision ?  Être celui qu’on est Cette expression pourrait se présenter comme une évidence dans la mesure où on ne voit pas ce que l’on pourrait être d’autre

Dans l'éthique hédoniste, (la personne du côté du plaisir), ce théoricien va faire une sorte d'équation dans la mesure ou on est dans le plaisir, on est dans le bonheur, équation = quand nous sommes dans un état de plaisir nous sommes heureux. Beaucoup sur le côté matériel et sensuel des choses. Nous sommes obligé de faire des choix dans différents plaisirs, un tri sélectif de ses désirs, a fin de parvenir a un état de repos et d'équilibre authentique. Épicure : théorie dans la «  lettre à ménécée »