Sartre Rousseau Liberté

La liberté Introduction 1 I. La liberté extérieure 2 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 2 B. La liberté et la loi 3 C. Travail et liberté 6 II. La liberté intérieure 8 A. L’origine du concept de liberté intérieure 8 B. La liberté de vouloir 9 C. La liberté de penser 11 D. L’aliénation 12 III. Liberté et déterminisme 15 A. L’affirmation du libre arbitre 16 B. Le libre arbitre est une illusion 17 C. Liberté et déterminisme ne s’opposent pas 19 IV. Liberté et morale

fut tout d’abord entendue comme norme du bien et du mal, comme instance de jugement. Elle est voix intérieure. Cette première conception est restée prégnante dans toute l’histoire de la philosophie. La conscience morale peut relever du sentiment (Rousseau) mais aussi de la raison (Kant).        -La conscience est une invention récente : L’idée de la conscience comme rapport de la pensée à elle-même et comme fonction de connaissance des activités mentales, de la vie psychique, est née avec la philosophie

L’Homme se plaint souvent de ses obligations et rêve de faire tout ce qui lui plaît. Il pense que ses obligations portent atteinte à sa liberté, c’est-à-dire qu’elles l’altèrent ou qu’elles lui nuisent. Est-il vrai que nos obligations portent atteinte à notre liberté ou bien si au contraire elles en sont l’expression ?   Certes nos obligations se distinguent à la fois des nécessités de l’existence et des contraintes. S’il est nécessaire de manger pour vivre, l’obligation ne pourra aller à l’encontre

Sujet : L’État est-il l’ennemi de la liberté ? Le gendarme est la figure de l’État. Sa présence en manifeste le rôle que l’on pense habituellement comme l’exercice d’un pouvoir contraignant qui limite, voire empêche la liberté. Qu’il soit démocratique ou totalitaire, l’État paraît l’ennemi de la liberté. Et pourtant, on rit de voir Guignol donner des coups de bâton au gendarme sur le théâtre de marionnettes. On loue ceux qui s’y opposent, qui lui résistent. Comment le pourraient-ils

Citations Philosophie L'homme naturel « L'âge d'or était l'âge ou l'or ne régnait pas » Gustave Le Bon « L'homme naît heureux et bon » mais il est « dépravé par la société » Rousseau Le bonheur « Mieux vivre en cherchant à être meilleur » Socrate « Le bonheur n'existe pas. Nous ne pouvons que le désirer » Tchekhov Selon Voltaire dire « tout est bien aujourd'hui » c'est de l'illusion mais dire « un jour tout sera bien » c'est de l'espérance. La Guerre « J'aime mieux une injustice

réflexion sur soi, l’essai toujours renouvellé que fait l’être humain pour arriver à se comprendre. En philo, deux approches possibles : 1. Approche au sens général. • Rousseau : Étudie l’être humain selon son travail • Marx 2. Approche au sens particulier • Freud : l’inconscient • Descartes : la raison • Sartre : liberté / projet L’objectif du cours sera de comparer des concepts. Descartes et la modernité Descartes va construire le premier système philosophique en plus de 1000

« Proportionne ce que tu veux à ce que tu peux » Saint Augustin (354-430) « Posse quod velis velle quod oportet » Pouvoir ce que tu veux Vouloir ce qui convient « Ami n’arrête pas ton désir » Celui qui désire l’impossible est un insensé. Rousseau (1712-1778) Julie ou La Nouvelle Héloïse (1761) est un de ses romans. « Tant qu’on désire, on peut se passer d’être Heureux » « Malheur à qui n’a plus rien à désirer » Gilles Deleuze (1925-1995) «  L’Homme est une machine désirante » « 

CORRIGE: L' Etat est-il l'ennemi de la liberté La question s'est souvent posée, spécialement aux philosophes de savoir pourquoi les hommes s'étaient regroupés en sociétés. Platon y a répondu, en invoquant des raisons essentiellement économiques; Hobbes également ou encore Rousseau dans Du Contrat Social. Mais, outre cet interrogatoire dont la réalisation pratique est certaine ( rares sont en effet les ermites), la question est également de savoir quelles ont pu être les conséquences de ce regroupement

donnée fondamentale et irréductible. Mais il est important de remarquer que ce jugement est très manichéen : ce regard peut nous apporter beaucoup de bien personnel mais celui-ci peut aussi nous être intolérable. Prenons l’exemple de Huis-Clos : SARTRE, qui est, selon moi, le théoricien le plus affirmé dans le domaine des relations avec les autres, affirme que « l’Enfer, c’est les autres ». Chacun est le bourreau de l’autre, qu’il torture en le soumettant constamment à son jugement, en le condamnant

peut être rien d’autre que ce qu’il est. • Selon SARTRE les objets sont « en soi » alors que le sujet conscient est « pour soi ». • Le sujet conscient peut toujours être différent de ce qu’il est, il n’est pas enfermé dans une définition. • Exemple : quelqu’un d’égoïste peut changer alors qu’un couteau coupera toujours. • Penser qu’un égoïste est condamné à l’être, c’est le nier comme sujet, c’est le « chosifier ». • SARTRE dit : parce qu’il est conscient, l’homme est projet