Sartre Situation Iii

plus moi-même ? Que je ne m'appartienne plus ? • La présence, l'influence, le regard des autres. Situations d'aliénation. cf. Texte Kant, Qu'est-ce que les Lumières ? – • L'absence à soi d'Eichmann, la non-pensée (cf. analyses d'Arendt) • L'inconscient Peut-on jamais être soi-même, au sens d'une parfaite présence ou coïncidence avec soi (comme une table est une table : cf. analyses de Sartre : différences en-soi/pour-soi) ? Ne sommes-nous pas toujours inachevés, en projet ? Introduction

idées du siècle des Lumières. - Savoir situer les auteurs majeurs dans le siècle. - Comprendre l'importance du théâtre dans la société du 18ème siècle. Plan de la séance : I - L'histoire du siècle. II - Le 18ème siècle : le siècle des Lumières. III - Situer les auteurs sur la frise chronologique. IV - Les représentations théâtrales au 18ème siècle. I - L'histoire du siècle. Cours dialogué. A l'aide de la première bande de la frise chronologique (succession des régimes politiques), d'un texte

Sujet : Comment le théâtre permet-il une représentation du pouvoir et dans quel but ? Dans la tragédie Richard III qu'il écrit en 1592, William Shakespeare (1564-1616) prête à Richard III, le roi bossu, la volonté d'avoir voulu échanger son royaume pour un cheval afin de prendre la fuite, lors de la bataille de Bosworth où il fut tué. C’est dire que, devant le danger de perdre la vie et le pouvoir, un roi comprend enfin où sont ses priorités ! Mais, tant qu’il est en vie et tout puissant, un homme

nombreux auteur : -Voltaire, écrit Œdipe (1718) -Coctau, La Machine Infernale (1934) -Anouille, Antigone (1944) De plus, au début du XIXème siècle, le père de la psychanalyse, Sigmund Freud, s’est appuyé sur le mythe d’Œdipe pour illustrer la situation conflictuelle vécu par le jeune enfant, ce que l’on appelle le complexe d’Œdipe : l’attachement jaloux pour le parent du sexe opposé et ambivalence de ses sentiments pour le parent du même sexe. Si le conflit Œdipien n’est pas résolu, il entraine

|M. Yourcenar, Mémoires d’Hadrien, 1951 | |Rousseau par lui-même | |J.-P. Sartre, Les mots, 1964 | |Le mythe de la transparence |4 –Livre II : « On la fit venir [...] pire que moi ! » |

l’homme est perfectible. C’est à dire qu’il peut évoluer… | L’homme évolue, change physiquement, biologiquement et évolue culturellement. L’animal non. | Les macaques de KoshimaLes singes médecins | Nous sommes différents des premiers hommes. | | Sartre | Pour lui, il n’y a pas de nature humaine et l’homme n’est pas définissable parce qu’il est libre de se définir lui-même par des choix.En ce sens, c’est un être à part. | Contrairement à l’animal qui subit, qui est totalement dépendant de son instinct

Principes de psychologie. Elle est fondée sur un phénomène de perception physiologique puis cognitivo-affectif. C’est donc elle qui nous donne une identité singulière unique et différente des autres et qui fait que deux sujets appréhendent la même situation de manière différente. Me définir par ma conscience me rend donc maître de mes actes, car je me rend compte des phénomènes du monde et agit en connaissance de cause. Ce que nous venons de voir c’est que le « Je suis » signifie tout d’abord avoir

moi-même ? Que je ne m'appartienne plus ? • La présence, l'influence, le regard des autres. Situations d'aliénation. cf. Texte Kant, Qu'est-ce que les Lumières ? • • – L'absence à soi d'Eichmann, la non-pensée (cf. analyses d'Arendt) L'inconscient Peut-on jamais être soi-même, au sens d'une parfaite présence ou coïncidence avec soi (comme une table est une table : cf. analyses de Sartre : différences en-soi/pour-soi) ? Ne sommes-nous pas toujours inachevés, en projet ? Introduction

métaphore est peinture et créativité alors que la raison privilégie la rigide pensée déductive. Ce fonctionnement des données imaginaires et conceptuelles relève - ROUSSEAU Jean_Jacques, Essai sur l’origine des langues, Œuvres complètes, t.I, II, III, IV, Paris, Gallimard, Collection Pleiade, 1964. 3 - CONDILLAC Abbé Etienne Bonnot de, Essai sur l’origine des connaissances [1746], Coll. Palimpseste, Paris, Galilée, 1973, pp. 227 – 231. 2 4 de l’organisation sensible des idées. Cela est la

Examiner la thèse selon laquelle il existe une nature humaine Thèse défendue souvent par des philosophes qui ont cherché à définir une essence de l’homme. II- Cette thèse peut être critiquée Peut-être n’y a-t-il pas d’essence de l’homme ? III- Synthèse → doit-on oui ou non abandonner l’idée de vouloir définir ce qu’est l’homme ? Trouver un compromis, une solution. Aboutir si cela est possible à un compromis. I- Examiner la thèse selon laquelle il existe une nature humaine Les