Satire Ironie

besoin ». L'ouvrier doit être docile , exécutant ses gestes stupidement n'ayant rien à comprendre et sous l'ordre d'un supérieur anonyme. → L'écriture de la scène souligne avec ironie l'absurdité du recrutement. Ce passage dénonce également les conditions abrutissantes du travail à la chaîne. II] La satire des conditions de travail déshumanisantes. a) La dépersonnalisation progressive. ● L'écriture passe du « je » au « on » : ce glissement s'explique par la volonté de Bardamu

brillante pour que » l.12D'où recours à la persuasion :Zadig n'a pas réussi à convaincre Sétoc par ses arguments, il met donc en scène une situation absurde : il se met en position de prière (« à genoux ») et prie des bougies (« leur dit »). Il fait la satire de Sétoc (« je fais comme vous » l.16).Il apostrophe les bougies : « Eternelles et brillantes clartés » en reprenant les 2 arguments de Sétoc (sur la brillance et l'éternité).Il ignore délibérément Sétoc (« sans regarder Sétoc » l.15) // « je néglige

se perd dans sa contemplation) - Une dimension universelle : Pas de nom, « le » fleuriste ; un type humain qui permet de critiquer un vice commun à l’espèce humaine. → Portrait très visuel, théâtral, excessif et caricatural qui constitue une satire. II) La dénonciation des mécanismes de la passion A. Une personnalité aliénée · Perdu dans le temps : du lever au coucher du soleil, il revient avec le seul souvenir de ses tulipes mais atteint physiquement de sa perte de repères temporels

vie réelle. Ainsi dans notre analyse de ce second chapitre Voltaire raconte l'enrôlement et l'instruction militaire de Candide par les Bulgares. Cet extrait est l'occasion pour Voltaire de débuter la critique principale de son livre et de faire la satire de l'armée tout en soulignant la naïveté de Candide qui fait de lui une proie facile face au piège des recruteurs. Le second chapitre intitulait (Ce qui devint Candide parmi les Bulgars ) est celui qui met fin a la situation initiale ; en effet

écrivain du XVIIIe siècle. Cette œuvre d’importance a d’abord été publiée anonymement en 1721. Dans cette lettre, un Perse nommé Rica raconte à des corresponds restés au pays l'accueil curieux qu'il a reçu à Paris. C’est une satire appartenant au genre épistolaire. Elle décrit avec ironie et humour le manque de civisme et le comportement superficiel des Parisiens. Nous envisagerons l’étude de ce comportement, qui diffère selon l’habillement du Persan, dans ses 2 formes : soit les Parisiens sont obnubilés

éventuelle L’ironie est-elle une arme efficace pour dénoncer ? Comparaison avec les stratégies argumentatives étudiées dans les autres textes) ----------------------- Mots-clé à retenir Plaidoyer / (réquisitoire) Ironie – antiphrase –absurde – parodie – caricature –satire Pamphlet persuasion (Syllogisme) Lexique Soutenir une thèse, exterminer, défricher, l’essence, policé, sens commun, faire cas

et le traitement des noirs. Hyperbole « les chiens, les singes et les perroquets sont mille fois moins malheureux » (l. 16-17), gradation du plus utiles au moins utiles=l’esclave est inférieur aux animaux domestiques. « Or, vous m’avouerez  […] » ironie et humour noir Voltaire rejoint dans ce texte le combat des philosophes contre l’esclavage en s’exprimant à travers le nègre. Au premier abord, le fait que le point de vue soit externe tend à nous faire penser que le constat est neutre, pourtant

En effet, le texte n’est pas à prendre au premier degré puisqu’il y a cette petite subtilité que l’ironie qui change complètement le sens de l’extrait et lui donne un côté presque satirique : en conséquence, ce passage pourrait être perçu comme une satire sociale. Pour ce faire Gustave Flaubert utilise de nombreux moyens comme les champs lexicaux ou les figures de styles. Plusieurs champs

fait aussi un superlatif de comparaison péjoratif avec « plus étourdi que malin » (l.25) et insère deux notes péjoratives « croit-on » (l.25) et « le pauvre » (l.27). Erasme implique le lecteur en voulant le faire sourire par les illusions et les ironies comme s’il donnait des coups de coudes à un copain en racontant une blague. En effet, Erasme débute son texte par deux fausses questions rhétoriques « Que dire de ceux » (l.1) et « Et de ceux » (l.5) sans mettre de points d’interrogations. De plus

l’attitude des femmes de l'aristocratie de son époque, ainsi que la rancœur des valets qui en ont souffert. I - Une satire sans complaisance A. La revanche d’une esclave : dans cette scène Cléanthis s’émancipe par la parole tonalité cynique Elle ne désigne jamais sa maîtresse par son prénom, mais seulement par le substantif ennobli par la majuscule "Madame" qui rappelle non sans ironie, son ancienne subordination. + emploi du « on » impersonnel ‘Cf citations dans texte avec ce on)= adresse indirecte