Satire Limites

du trône et tend à ridiculiser le système tout entier, jusqu’à la personne du roi, présent dans la salle à travers son portrait. Le metteur en scène peut s’appuyer sur les indications des didascalies pour traduire visuellement cette satire sociale : par exemple en choisissant pour le Comte une estrade nettement surélevée et un fauteuil qui soit un véritable petit trône ; en faisant siéger le Comte sous un immense portrait du roi, et en soulignant par contraste son attitude indigne par

étudierons un extrait de Candide ou l’Optimisme, plus particulièrement l’incipit. 1/ La satire de la noblesse : - pédanterie patronyme ridicule : Thunder-ten-tronckh n'admet pas sa pauvreté - l'attachement aux privilèges : chasse, chapelle privée - l'attachement à la hiérarchie : " que 71 quartiers " (au lieu de 72) - l'inégalité et la différence des classes sociales - les femmes sont une satire facile 2/ La caricature de l'optimisme et de Leibniz : Derrière Pangloss se cache

historiques comme « temple », « Salomon » constructeur du premier temple de Jérusalem, « profanes », « sacrés ongles », augustes mânes », « Champs Elyséens », « saints » et « apothéose » ce qui correspond à la divinisation de la reine lionne. III La satire 
 1)La critique des courtisans En premier lieu, La Fontaine critiques les courtisans qu’il caractérise comme une masse anonyme et servile. Il leur reproche une absence d’intelligence, selon lui un esprit (celui du roi lui) anime mille corps (les

==> Arrias ne respecte pas les bienséances contredit le code de l'honnête homme, de la mondanité. La Bruyère se moque de ce « mondain » qui ment par pure vanité. Ce portrait constitue un blâme qui vise un défaut moral et social. II. La satire d'un vaniteux Un vaniteux piégé - Outre l'irrespect des bienséances, Arrias est un menteur. Il se laisse emporté par le désir de briller dans la conversation. Il se pense à l'abri puisque le sujet porte sur « une cour de Nord », « région

ces intentions. Par le biais de la mythologie et de l'allégorie, la fable instruit le lecteur tout en l'amusant. Il s'agit en effet pour les moralistes en général de cerner un problème, d'avertir les lecteurs des dangers qui lui sont liés. Dans la Satire X, Boileau s'adresse à un mari potentiel, pour lui montrer sa future épouse et son évolution. C'est le rôle du futur. Le moraliste est un éveilleur de conscience. Une relation de complicité s'instaure (rôle du tutoiement). Les genres moraux revendiquent

esprit fort ª, cet autre procédé (usage des italiques) met en évidence la situation ironique. Le narrateur rapporte le discours des autres, il cite "ce vice énorme ", relève aussi l'énonciation des condisciples de Julien . Conclusion On a ici une satire virulente du milieu ecclésiastique. La société de 1830 est critiquée parce qu'elle est hypocrite. Ce qui nous montre la dimension critique du roman d'apprentissage par l'intermédiaire du personnage: Le milieu social contraint un 'tre supérieur à avilir

riche bourgeois établi. En quoi ce sonnet de jeunesse participe-t-il déjà de la réaction voulue par Verlaine contre une certaine rigidité, sociale et poétique ? Nous étudierons d’abord le portrait qu’il brosse d’un bourgeois, avant d’en analyser la satire, qui épingle idéologies et stéréotypes. Nous verrons finalement que Verlaine propose ici sa première conception du poète et de la Poésie. I. Un sonnet qui brosse le portrait d’un bourgeois 1) Le sonnet régulier, cadre du portrait

La Parodie Est une imitation satirique d’une oeuvre .Il y a donc une remise en cause des valeurs et une degradations des elements de reference et un effet comique. Victor Hugo a écrit le drame romantique Ruy-Blas qui presente un personnge hors du commun qui vaux mieux dont il est issue. Le film Comique du dermanUry la flie des grandeurs reprends dans les grands traits la situation mais il bannalise les personnages. La reine est simplement amoureuse et le mechant est ridicule. On tombe dans le film

pour sous titre : « comédie judiciaire, zoologique et morale », Montrez en vous appuyant sur le texte qu’il s’agit bien tout d’abord d’une comédie ; puis que cette pièce s’attaque au milieu judiciaire en nous offrant la parodie d’un jugement et la satire d’un tribunal. [3] Le sous-titre Expliquez, en vous appuyant sur l’intrigue de l’œuvre, le sous-titre « l’assassin philanthrope »[1]. Écriture personnelle : Imaginez, le plaidoyer qu’un narrateur, tropi, pourrait prononcer devant les hommes

Roi qui les raille / Les Pauvres à l’église : v.7… bon Dieu, le patron et le sire(hiérarchie) ; v.10 …Dieu les fait souffrir !). Armée et hiérarchie que Rimbaud dénigre aussi dans Le Cœur supplicié ou L’Eclatante Victoire de Sarrebrück qui est une satire du pouvoir et de l’empereur. De ces faits, le poète n’est pas sot, mais porte bien un regard critique sur la société. Deuxièmement, le poète utilise des procédés très complexes comme le palindrome syllabique de Georges Perec : Dos, caddy d’aisselles