Schopenhauer Desir

sujet, il semble primordial de définir ce que sont le désir et le bonheur. Le désir qui a pour étymologie le verbe latin : « desiderare » qui dérive avec le verbe « considerare », de « sidus » qui signifie « étoile » nous aide à mieux comprendre l’origine du mot : désir. En effet « considerare » signifie : contempler un astre, alors que « desiderare » signifie : regretter son absence. On en déduit donc que la définition au sens étymologique de désirer est en fait la nostalgie d’une étoile ou encore le

pratique et répondant à un besoin tout aussi pratique. L'utile, c'est aussi ce qui s'accorde avec notre nature ( l'utile propre de Spinoza) et en bien des points l'art s'accorde avec notre nature d'être conscient ( cogito pratique de Hegel), d'être de désir ( recherche de la beauté), être mortel ayant besoin de s'inscrire pour l'éternité dans la,matière et sur cette terre. Ledésir de créer est aussi fort que celui de connaître ( peut-être même plus fort, car nous aimons aussi resté ignorants de certaines

contourner la barrière que fait d'ordinaire la conscience, notamment quand l'on veut aller a un rendez-vous qui nous inquiétait et qu'on loupe son bus pour ne pas y aller. Mais il y a aussi le rêve qui est une satisfaction inconsciente et déguisée d'un désir refoulé, il cache des pulsions qui veulent se manifestées, selon Freud « Le rêve est la voie royale qui mène à l'inconscient ». L'inconscient utilise notre sommeil pour faire parvenir à la conscience des sentiments refoulés qui ne seront au final jamais

de bh sans illusion. A) Le bh comme satisfaction des désirs. Conception commune du bh = joie/plaisir/bien-être à l’occasion de l’obtention de ce que je désire, notamment les biens matériels : la richesse, la gloire, le pouvoir, l’amour. Ce bh repose sur 3 illusions : *** illusion de la valeur des objets du désir ( ce que je veux obtenir ) car désir => 1° déception 2° lassitude 3° vulnérabilité 4° insatisfaction sans fin *** illusion sur la durée de la satisfaction ( sa réalité dans le temps. ) Je

bonheur est considéré comme une satisfaction complètes des plaisirs, il est permanent et continu. Devoir et bonheur peuvent être considérés comme une association contradictoire, le devoir est l’acte moral par excellence, il se veut d’aller contre ses désir et ses sentiments. Quand l’homme entend le mot devoir, il l’associe automatiquement au mot obligation et contrainte, une idée de désagrément qui s’oppose donc au plaisir. En effet l’étymologie de devoir est « debere » en latin, ce qui signifie « avoir

chose permet d'être heureux, autre que le plaisir.Une vie heureuse est celle où nos désirs sont satisfaits. La satisfaction d'un désir est évidemment un plaisir. Le terme de succession est pertinent car tous les désirs ne peuvent être satisfaits en même temps, une hiérarchie est crée. Ils n'arrivent pas ensemble : c'est en fonction de sa maturité que nous avons tel ou tel désir. Aimer faire telle activité né par la pratique de l'activité en elle même. Plus on le fait, et plus on aime, bien entendu dans

la naissance du désir, et particulièrement de l’amour originaire des humains qui cherchent leur moitié pour se compléter, et combler le manque qui habitent ces humains. De la ligne 1 à la ligne 14, nous parlerons de la nature originelle de l’homme, ensuite, de la ligne 15 à la ligne 30, la punition divine et de la ligne 31 à la fin, l’origine de l’amour avec Eros, dieu de l’amour et ses manifestations. Pour Aristophane, le désir, c’est l’amour. Mais peut-on restreindre le désir qu’à l’amour ?

déterminé, un état, statut. Le désir semble faire corps avec l'élan même de la vie qui inlassablement nous entraîne au-delà de nous-mêmes : vers les objets extérieurs pour nous les approprier, les transformer, en créer, ou vers ce que nous voudrions être mais que nous ne sommes pas. Le désir est contradictoire, situé entre une source possible de satisfaction et une souffrance liée au manque. Il caractérise le rapport de l'homme au monde, à lui-même et aux autres. Mais le désir, étant quelque chose d'extremement

A) Le désir Le désir vient du latin desidus qui signifie « l’absence d’un astre ». Le mot désir caractérise donc l’absence, le manque. En l’occurrence, ce serait le manque d’un astre et on peut comprendre l’astre comme une lumière lointaine, un soleil perdu, un absolu que nous regretterions. Si le désir parait être essentiellement un manque, s’agiit-il pour autant du manque d’un absolu ? On peut manquer de beaucoup de chose à savoir de nourriture, de confort, d’ami… Celui qui désir n’est

Le désir I] Analyse de la notion L’étymologie du mot renvoie au latin desiderare, « regretter l'absence de quelqu'un ou de quelque chose ». Désirer (ou dé-sidérer) serait à rapprocher de con-sidérer, de considerare «examiner attentivement (par les yeux, par la pensée) ». On notera la proximité avec le lexique de la sidération, de la captation totale de l’attention. Le désir est une tension du sujet vers un objet, réel ou imaginé, une force puissante qui pousse le sujet à l'action et à la