Schopenhauer Plaisir

quels sont les désirs naturels et ceux qui ne le sont pas. Dans une premier temps, nous remarquons l'existence d'un désir naturel dit « nécessaire » qui comprend les actions qui visent à se nourrir, dormir, boire... Mais aussi comme la quête du plaisir et des relations charnelles une fois que ces derniers sont satisfaits pour la tranquillité du corps. Épicure écrit même à ce sujet « Parmi les désirs naturels, les uns sont nécessaires pour le bonheur, les autres pour le fait de vivre ». Mais il existe

trouver le bonheur. Schopenhauer parle du vouloir-vivre, c'est-à-dire le fait de vouloir oublier sa peine en reportant tout son désir sur un autre objet. Et oui, le sentiment de peine vient d'un désir forcément décevant car le désir c'est l'illusion d'un bonheur perdu, celui du paradis d'Adam et Ève. Donc lorsqu’on est triste on cherche tout de suite à oublier notre peine en se divertissant ou à chercher un nouvel objet de notre désir pour y trouver notre plaisir.. « Toute idée

le désir est universel. Cependant, comment le fait de désirer peut-il nous faire souffrir ? Nous fait-il obligatoirement souffrir ? INTRO 2 : désirer : Tendre vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. * nécessairement : Obligatoirement, absolument, forcément. * souffrir :Éprouver douloureusement. Éprouver une douleur physique ou morale. Supporter la douleur, la fatigue. A voir la question, il est souligné d'emblée une certaine interdépendance

de ses obligations, rejeter ce qui nous gène et nous entrave. Mais faut-il se libérer de tout, et notamment des désirs ? Le désir étant un ensemble de phénomènes organiques et psychologiques qui nous poussent à posséder un objet en vue d’en tirer plaisir. Objet matériel ou non. Il apparaît normal que les hommes cherchent à se libérer de ce qui les enchaînent et de ce qui représente un obstacle à leur avancée, cependant les désirs correspondent-ils à un obstacle. Dans la « République » et le « Banquet »

contraire, nous jugeons qu'une chose est bonne parce que nous la désirons. » disait Spinoza. Schopenhauer développe une théorie sur le désir vaniteux qui nous pousse à faire des « bêtises ». Selon lui, toute la réalité qui nous entoure est traversée par une force que l’on appelle le vouloir-vivre. C’est une force aveugle habitant les humains, qui nous pousse, à travers nos désirs, à vivre. Schopenhauer pense justement que cette force est absurde et nous pousse à mal agir, il faut donc la faire taire

partie du I, je citerais Schopenhauer dans Le Monde comme volonté et comme représentation. Selon lui, je cite «Tout désir naît d’un manque, d’un état qui ne nous satisfait pas; donc il est souffrance tant qu’il n’est pas satisfait. Or nulle satisfaction n’est de durée; elle n’est que le point de départ d’un désir nouveau (…). Pas de terme dernier à l’effort, donc pas de mesure, pas de terme à la souffrance». On s'aperçoit donc que, selon ces deux philosophes, Platon et Schopenhauer, le désir est toujours

effet le bonheur est individuel puisque nous devons avoir conscience soi-même du bonheur sans autrui pour avoir du bonheur. C’est ainsi qu’on peut penser que dans la solitude quand on est seul avec soi-même on peut trouver le bonheur. Comme le dit Schopenhauer dans l’aphorisme sur la sagesse dans la vie l’homme qui s’isole et qui arrive a moins avoir besoin du monde extérieur alors sa recherche du bonheur sera plus facile a atteindre. En plus, si le bonheur est dans la solitude alors comme le montre

sans relâche d'assouvir ses besoin et de nourrir ses passions. Satisfaire tous ses désirs devient alors un moyen de libération : un homme qui satisfait tous ses désirs n’éprouvera aucune souffrance aucune tristesse, au contraire, il éprouvera du plaisir du bonheur à chaque fois : il cherche à fuir la douleur, et assouvir ses désirs devient une tendance naturelle pour avoir accès au bonheur. Or une bonne règle de vie justement a pour but de procurer du bonheur, de permettre à l’homme d’avoir accès

ous sommes toujours habités par une pluralité, une multiplicité de désirs . Chaque désir est une souffrance puisque chaque désir est une privation, un tourment, un aiguillon. Pour une quantité de plaisir (satisfaction), il y a au moins, dit - il, dix quantités de souffrance ou de peine (de frustration). 2. « de plus, le dési r est long » , mais « la satisfaction est courte » : en termes de temps, là aussi nous sommes perdants : nous attendons toujours plus longtemps q ue nous

nous trouvions très vite un nouvel objet de convoitise que l'on s'imaginait volontiers être une source de satisfaction autrement dit de plaisir. Puisque nous trouvons toujours un nouvel objet de désir, nous pouvons nous demander s'il est possible de combler ses désirs. Et une fois satisfaits nous rendent-ils heureux? En effet nous ressentons un certain plaisir suite à l’atteinte de notre but, cependant nous ne ressentons pas ce bonheur perpétuellement, il est éphémère. De plus il arrive que ce