Schumpeter

la Théorie de l’évolution économique (Schumpeter, 1935). Pour Filion (1997) Dans un travail récent de revue de la littérature, Danjou (2002) distingue trois angles d’approche privilégiés par les chercheurs en entrepreneuriat : l’entrepreneur, l’action et le contexte entrepreneurial. Ces trois niveaux rejoignent, en grande partie, notre triple questionnement. 2 5 6° Congrès international francophone sur la PME - Octobre 2002 - HEC - Montréal Schumpeter peut-être qualifié de père du champ de

1929 • Prise de conscience des problèmes posés par la croissance 6.2 - Les idées : • J.M. KEYNES • LE COURANT MACRO éCONOMIQUE : KALECKI – KALDOR – HARROD – DOMAR – TINBERGEN – SAMUELSON – LEONTIEF… * L’HéTéRODOXIE DE J.A. SCHUMPETER : l’innovation SECTION 7 : LES CONTEMPORAINS –xx° Siècle de 1970 à nos jours  : 7.1 – Les faits : • Les crises pétrolières de 1973 et 1979 • Effondrement du SMI • Usure de la régulation keynésienne • Apparition de la stagflation

Management : Cas Michel & Augustin 1) D'après Schumpeter un entrepreneur est une personne qui prend un risque et qui introduit des innovations, venant ainsi contribuer à la dynamique du capitalisme. Pour Michel de Rovira et Augustin Paluel-Marmont il y a une réelle prise de risque, en effet les deux amis de longue date ont renoncé à des postes dans de grandes entreprises pour pouvoir créer en 2004 une PME « Michel & Augustin » qui fabrique des biscuits ce qui est une toute autre orientation

dynamique d’action qui caractérise l’entrepreneur. Outre les qualités de la personne (prise de risques, initiative, conviction..) il faut ajouter l’aptitude à anticiper les changements.  L’entrepreneur : innovateur : conception, développée par Joseph Schumpeter, considère que l’entrepreneur est un innovateur capable d’identifier et de créer de nouvelles opportunités permettant le développement d’une entreprise. Il a une capacité d’imagination et d’invention forte qu’il met au service de la firme.

l'exclusion des États et des sociétés. Il décrit ainsi son fonctionnement alors qu'il évolue dans une économie mondiale polarisante qu'il appel « économie-monde-capitaliste ». En prenant comme base théorique la théorie des cycles Kondratieff de Schumpeter, Wallerstein nous explique que l'économie-monde se particularise par une concentration des centres de production au profit des États du centre (Amérique du Nord, Europe, Japon), au détriment des États de la périphérie (pays en développement) et

favorable à la vente des produits indigènes ; car nous ne pouvons acheter les marchandises étrangères qu’avec des produits de notre industrie, de nos terres et de nos capitaux, auxquels ce commerce par conséquent procure un débouché. » JOSEPH SCHUMPETER (1883-1950) La destruction créatrice Les équations de Walras décrivent une économie statique en équilibre général. Pourtant, dans la vie réelle, l’économie est un processus en transformation permanente. Elle se caractérise en plus par la présence

Fiche auteur |Auteur |Bibliographie |Point du cours |Théorie abordée dans le référentiel | |Joseph Schumpeter  |« Capitalisme, socialisme et |Thème 1.1 Entreprendre |- Le système capitaliste repose sur l’entrepreneur.  | |(1883-1950) |démocratie », 1942 |et gérer |- Entreprendre est un état d’esprit. | |Economiste libéral né en|

de la croissance. En ce qui concerne, l’effet d’échelle de la théorie de la croissance Jones fait valoir que certaines données factuelles réfutent «  l’effet d’échelle » de la théorie Schumpetérienne. En effet, pour cela il explique que selon Schumpeter, un accroissement de la population aurait pour première conséquence un agrandissement du marché de l’innovation et pour deuxième conséquence un agrandissement du nombre d’innovateurs potentiels. Cependant, appliqué à certains pays cette théorie

humain et financier). Tel est la définition profonde du capitalisme. Mais ce processus d’accumulation est un processus évolutif, marqué par des phases de croissance et des phases de crises (et de "destruction créatrice" pour reprendre l'expression de Schumpeter), bien loin des phénomènes d’équilibre tels qu’ils sont modélisés par la théorie néoclassique.

différentes formes : la création, la reprise, la franchise, l’essaimage. L’essaimage c’est quand le créateur est salarié d’une grande entreprise qui l’aide à créer son entreprise. B- Elément central du dynamisme économique Joseph Schumpeter 5 formes d’innovation : III- La logique managériale : La création d’entreprise est une période transitoire, une étape à franchir qui laisse place à une vision à long terme. Ce long terme est confié au manager qui va devoir assurer