Schumpeter

l'héritier. Tous les pays sont devenus des Etats-nations, sur le modèle inventé en Europe: chaque peuple y est empereur en ses propres frontières, furieusement jaloux de celles-ci. L'addiction à la croissance Dans les termes célèbres de Joseph Schumpeter, le capitalisme est un processus de "destruction créatrice révolutionnant incessament de l'intérieur la structure économique, en détruisant ses éléments vieillis et en créant continuellement des éléments neufs"-> sociétés industrielles=sociétés

deux histoires sont racontées, celle de la famille Alès, puis celle de Lorenza Battigello. La logique entrepreneuriale est clairement identifiable dans le Groupe Alès. La création de l’entreprise est la forme la plus pure de l’entreprenariat (Schumpeter). Le groupe est géré depuis 1969 (date de création) par Patrick Alès, en tant que PDG. Il en est alors, et jusqu’en 2008, le seul dirigeant, et surtout le principal actionnaire. Il a alors le pouvoir de direction et de décision. Cela lui permettra

autre point qui montre qu’il est entrepreneur est qu’il a du au début investir son propre argent car en effet il a créé son entreprise par ces propres moyens2 Gilles Martin voyait donc sur du long terme, ce qu’un entrepreneur est selon Joseph Schumpeter B) Montrez que Gilles Martin est un manageur Il est aussi un manageur car, il a du payer ces innovations avec le budget de l entreprise, grâce aux recettes encouru. Comme il est dit dans le titre de l annexe 3 «  La spécialisation d’Eurofins

quantitatif. L’innovation est, elle, l’application industrielle de l’innovation. On peut s’interroger sur l’impact de l’innovation, qui peut être technique (innovation de produit ou procédé) ou organisationnel, sur la croissance. L’économiste Joseph Schumpeter distingue différentes formes d’innovations ; la fabrication de biens nouveaux, les nouvelles méthodes de production, l’apparition de nouveaux débouchés, l’utilisation de nouvelles matières premières, et les nouvelles organisations du travail. Afin

Management Introduction I. La logique entrepreneuriale : un état d'esprit et une démarche A) Entrepreneuriat et logique entrepreneuriale 1) L'entrepreneur selon Joseph Schumpeter Pour lui, un entrepreneur exécute de nouvelles combinaisons de production qui correspondent à de nouveaux objets de consommation, de nouvelles méthodes de production, de nouveaux marchés ou de nouveaux types d'organisation industrielle. Pour réaliser ces nouvelles combinaisons, l'entrepreneur doit

ténacité. Son rôle est décisif car il créé des richesses et des emplois, mais la démarche de création d'entreprise est difficile. L'entrepreneur doit donc être accompagné. De nombreux auteurs ont mis en avant l'importance des entrepreneurs. Selon Schumpeter, l'entrepreneur a une rôle central dans l'économie, dans le processus de la destruction créatrice initié par l'offre de nouveaux biens sur le marché (ex : MP3, téléchargement de musique). Ces innovations sont sources de création de valeurs et

concurrence qui à la fois permet de faire baisser les prix (partage des gains de productivité) et d’autre part afin de proposer des nouveaux produits venant nourrir le cycle de croissance économique selon le principe de destruction créatrice (J.A Schumpeter). Les effets de l’investissement sur la croissance peuvent aussi être abordés selon la théorie de la croissance endogène qui expose que les dépenses en recherche et développement (R&D), en formation ou encore en infrastructures collectives créent

création d’entreprise, un entrepreneur est dynamic, indépendant, perceverant, il est intuitif et a le goût du risque, il se doit d’avoir une grande capacité de travail et d’innovation. Il est également opportuniste et a une compétence spécifique. Schumpeter, définit l’entrepreneur comme un individu doté d’une capacité créatrice capable d’innover. Quelqu’un qui sait prendre des risque. Il voit l’entrepreneur comme le moteur de la croissance. Processus entrepreneuriale : 1er étape l’idée, il faut

propre patron, avec une certaine dose de risque. Il y a la création pure ou la reprise d’entreprise existante ou réactivation. L’entrepreneur est un homme clé pour l’économie. Il crée et innove pour satisfaire ses clients potentiels : Joseph Schumpeter (1883-1950) parle de destruction créatrice. B/ caractéristiques des entrepreneurs Répond à un besoin d’indépendance et de réalisation de soi. A la volonté d’être autonome et de ne pas dépendre d’une hiérarchie. Est capable

déboucheraient sur une crise majeure et la disparition de ce régime. La crise de 1929 a paru répondre à cette prédiction ; ms le capitalisme s’en est sorti par le haut, avec une intervention accrue de l’Etat et la constitution de géants industriels. Pour Schumpeter, c’était cette mutation qui signifiait la fin du capitalisme. L’état limitait les libertés de contracter, le lien entre l’entrepreneur innovant et l’entreprise était rompu par les SA. La période d’après guerre fut marquée par l’avènement de la