Schéma Actantiel Les Fées

(métaphore) ; « Il est © rue des écoles, 2012 11 conte des parfums frais comme des chairs d’enfants/Doux comme les hautbois, verts comme les prairies » (comparaison) (BAUDELAIRE, « Correspondances », Les Fleurs du mal). conte Du conte de fées au conte fantastique, en passant par le conte philosophique, ce genre se définit par sa forme : c’est un récit bref. Il se distingue de la nouvelle par son contenu : alors que la nouvelle est souvent profondément réaliste, le conte ouvre sur un

et le terme général de schéma narratif. Fiche à compléter : chaque étape est donnée avec sa définition et les élèves doivent imaginer les phrases d’un conte qui correspondent à chaque étape + exercices sur le schéma narratif Travail à faire : terminer la fiche d’exercices sur le schéma narratif Séance 3 : Objectif : comprendre l’emploi des temps du récit au passé et les manipuler En classe : Correction des exercices Activités autour du conte Les Fées de Perrault Elaboration

sorcières à travers les aˆges et à travers le monde. L’objectif de la séquence pédagogique est de susciter l’envie de lire et le plaisir d’écrire. On ne négligera pas l’approche affective des contes au bénéfice d’une démarche « techniciste ». L’étude du schéma narratif ou du rapport des actants ne constitue qu’un outil mis au service de la compréhension et de la production des textes. Dans cet esprit, on redonnera au conte sa dimension orale en privilégiant la lecture à voix haute des textes supports ou

du temps passé, avec des moralités (1697). Ce volume contient les neuf contes suivants : La Belle au bois dormant, Le Petit Chaperon rouge, La Barbe bleue, Le Maître chat ou le Chat botté, Les Fées, Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre, Riquet à la houppe, Le Petit Poucet, Peau d'Âne I. LE SCHEMA NARRATIF - Les étapes du récit sont respectée => Situation initiale « Il était une fois....chaperon rouge », à l'imparfait ensuite élément perturbateur introduit par le passé simple : l’envoie

actions comme en témoigne le schéma narratif : SI : portrait du PCR 1er paragraphe EP : rencontre loup / PCR 2ème paragraphe P : trajet loup/PCR + dévoration de la Mère-grand l.13-32 SF : dévoration du PCR l.32 * Verbes passé simple l.5 « partit » l.18-19 « cria » « tira » « s’ouvrit » montre la rapidité du récit * Verbes d’action l.13 « se mit à courir » « s’en alla » l.19 « se jeta » enchainement rapide actions c) cadre temporel typique des contes de fées * « Il était une fois »

contes populaires sont des récits merveilleux, transmis oralement. Du Moyen-Age à la Renaissance, un nouvel imaginaire s’est constitué qui n’est inspiré ni par la mythologie, ni directement chrétien : un merveilleux peuplé de prince, de princesse, de fées, d’ogres, d’animaux parlants, d’objets magiques, par lequel les société rurales exprimaient symboliquement leurs fantasmes, c’est cet imaginaire que Perrault reprend dans ses contes. La plupart des contes de Perrault ont des sources orales

avec des personnages peu nombreux. A la différence du roman, la nouvelle est courte, d'une narration ramassée. A la différence du conte, la nouvelle met en scène des personnages vraissemblables (et non pas irréels ou merveilleux comme les ogres ou les fées.) Sa forme brève illustre en général un thème précis, ce qui n'exclut pas des messages de portée symbolique. La fin de la nouvelle, souvent tragique, est particulièrement soignée pour surprendre le lecteur et lui donner à penser, à méditer." Structure

d’un mendiant. Ce mendiant, c’est Panégyotis, un jeune homme d’origine bourgeoise qui avait une vie toute tracée. Cependant, âgé de 18 ans, alors qu’il était à la recherche d’un vétérinaire pour soigner ces moutons, il croisa le chemin des Néréides, fées nues et rafraîchissantes mais extrêmement néfastes car quiconque les voit, perd sur le champ la raison, la parole et la vue. Cette première rencontre a été destructrice pour lui mais il sera amené à les revoir. Analyse Qui : Panégyotis, Jean Démétriadis

du conte : -Le conte est un récit dans lequel est présent le merveilleux, c’est-à-dire, selon l’expression de Greimas9 « l’irruption du mystique dans le quotidien. ». En effet, dans les contes, il est question d’éléments sortant du réel, comme les fées, les ogres, les objets les animaux qui parlent et qui guident le héros dans sa quête. -Le conte est un système parfaitement clos et autonome. Il se referme sur luimême, il n’offre au lecteur aucune possibilité de prolongements évènementiels ce qui

littéraire du conte est issu de la tradition orale. Ces récits font l’objet depuis la Renaissance de collectages et réécriture par des écrivains tels que Andersen, les frères Grimm ou encore Charles Perrault dont nous étudierons un conte intitulé « Les Fées », extrait des « Histoires ou Contes du temps passé avec moralités ». Ce recueil fut publié en 1697 ce qui correspond au siècle classique durant lequel le genre du conte pris de l’ampleur et connut un succès qui dure encore de nos jours. Il s’agit