Sciences citoyennes

Rappel : BIOGRAPHIE PAUL BERT Professeur de physiologie à la Sorbonne, membre de l'Académie des sciences, il a été député républicain,ministre de l'Instruction publique et des Cultes du gouvernement Gambetta de novembre 1881 à janvier 1882, et résident général au Tonkin et en Annam. Les actionspolitiques de Paul Bert portent essentiellement sur trois sujets : l'Instruction publique, son domaine de prédilection, les cultes et les colonies. Il a été avec Jules Ferry le père fondateur de l'école gratuite

quittent l’État de Nature pour entrer dans l’État social par l'entremise d'un contrat : c'est le fameux contrat social. Il repose sur la volonté de chaque citoyen qui accepte de remettre une part de sa liberté entre les mains d'une entité commune afin d'assurer sa sécurité. Cette entité commune, on l'appellera République lorsque tous les citoyens participeront au pouvoir à travers la « volonté générale ». Il faut rappeler l’importance de cette fiction théorique car elle permet de s'extrader des traditions

Géographie Développement durable Citoyenneté Thierry Philippot La géographie aujourd’hui (1) • Longtemps considérée comme une science de la Nature, la géographie est aujourd’hui une science humaine et sociale. • Faire de la géographie pour «décrire et comprendre comment les hommes vivent à la surface de la Terre qu’ils aménagent » (G. Hugonie). La géographie aujourd’hui (2) HOMMES, SOCIÉTÉS besoins pouvoirs moyens décisions ACTIVITES appropriation utilisation gestion aménagements

POLITIQUE Introduction I)Définition Science : De son origine latine, science désigne un savoir, une connaissance. La science peut être considérée comme un discours qui véhicule un mode de connaissance. Ces connaissances sont acquises à l’aide de méthodes (ensemble de principes et de règles qui orientent l’activité des recherches, c’est donc une démarche) et de techniques (outils pour obtenir des données qui seront ensuite traitées et analysées). La science en tant que discours porte sur un objet

régimes démocratiques : conception du citoyen idéal qui est celui d’un individu susceptible de se faire une idée par soi même et de l’exprimer par le vote. Cependant, les sciences sociales apportent un certain nombre de démentis en montrant en quoi le comportement des individus, notamment leur comportement politique n’est pas dénué de détermination sociale échappant à l’individu. Il n’est donc pas tant l’électeur rationnel qu’on voudrait qu’il soit. Ainsi, les sciences sociales sont alors soupçonnées

Faire mouche dès la première souris Une fâcheuse tendance à la généralisation nous incline à parler de la science, comme s'il s'agissait là d'une entité impersonnelle, monolithique, et qui avancerait de son propre mouvement. Ce petit livre de F.Jacob vient donner vie à ce monstre tentaculaire en nous plaçant d'emblée du point de vue de l'expérimentateur et des questions qui se posent à lui. La meilleure manière, peut-être, de se rendre compte de toutes les contingences qui accompagnent la découverte

la société, relativement à l'obligation d'étendre dans le fait, autant qu'il est possible, l'égalité des droits, consiste donc à procurer à chaque homme l'instruction nécessaire pour exercer les fonctions communes d'homme, de père de famille et de citoyen, pour en sentir, pour en connaître tous les devoirs. 3° Pour augmenter dans la société la masse des lumières utiles. -Plus les hommes sont disposés par éducation à raisonner juste… plus aussi une nation qui verrait ainsi les lumières s'accroître

UNIVERSITE MOHAMMED V SOUISSI-RABAT FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES, ECONOMIQUES ET SOCIALES Master Droit Public Français SEMESTRE II SCIENCES ADMINISTRATIVES PR. Mr ALI SEDJARI « ENJEUX ET REFORMES DE L’ADMINISTRATION AU MAROC» FAIT PAR : BAYOUSSEF MERIEME BENHANNI HALIMA Année scolaire : 2008-2009 Plan : ➢ Introduction : ➢ Développement : Première partie : L’administration marocaine entre les défis d’aujourd’hui

dogmatisme - ce qui est discuté ne prend pas valeur de dogme, mais de problème indéfiniment rectifié. Ce privilège accordé à la liberté d’expression n’est pas gratuit. Il n’y a pas de démocratie sans espace public de délibération. Avant de voter, les citoyens sont des personnes qui s’inscrivent dans un débat, qui font valoir leurs arguments. Et l’apprentissage de la citoyenneté, sans exclure d’autres voies, passe par celui du débat argumenté. Sur ce point, c’est Kant qu’il faudrait citer, en particulier

XXème siècle, la modernité correspond à la mondialisation. Cette dernière s’accompagne du réveil de l’identité culturelle et religieuse. 2. Sécularisation. « Les hommes naissent libres et égaux en droits »( Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789). Avant 1789, les inégalités paraissaient légitimes ; l’esclavage en témoigne. L’émancipation de 1789 a comme idée directrice la notion de liberté. La démocratie est libérale à cette époque. La liberté correspond également au détachement de