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plus sainement, les maladies nutritionnelles affecteraient beaucoup moins de personnes. C’est en montrant cette exemple que les générations futures suivront cette démarche. III) Conclusion : Comment les réduire ? Nos hypothèse était correcte la nutrition est un élément majeur pour être en bonne santé, il ne faut donc pas la négliger ; il est important de surveiller les graisses, le taux de sucre ou de sel qui peuvent causer des maladies comme le diabète ou encore des maladies cardio-vasculaires comme

un surentraînement. Tout d'abord la monotonie de la charge et du type d'entraînement peut le causer, mais si on augmente trop rapidement le volume et/ou l'intensité de l'entraînement on peut aussi arriver à un surentraînement. Ensuite, il y a la nutrition inappropriée (manque d'hydratation, de glucide, carence de micronutriments : fer etc... ou apport énergétique insuffisant). Enfin le surentraînement peut survenir à cause de stress de la vie sociale et professionnelle ou tout autres formes de stress

JEUKENDRUP, Nutrition for endurance sports : Marathon, triathlon, and road cycling, journal of sports sciences,29, 2011, p91-p99 Introduction : Les sports d’endurance sont de plus en plus populaires tels que les triathlons ironman, ultra marathons(…). Afin de réaliser cette méta-analyse, il a été établi qu’un sport d’endurance correspondait au minimum à 30 min d’effort. Cette méta-analyse s’intéressera tout particulièrement au domaine de la nutrition de sport qui a été développé ces 5 dernières

(diabète de type 2, maladies cardiovasculaires, obésité). La consommation régulière de fruits et de légumes est un atout “santé” majeur. Or, dans la population française cette consommation est inférieure aux recommandations du Plan National Nutrition Santé puisque 57 % des adultes consomment moins de 5 fruits et légumes par jour. Ce constat est encore plus vrai chez les personnes de faible statut économique et de faibles revenus qui présentent une moindre consommation ainsi qu’une moindre variété

|Fonctionnement du corps humain et la santé  |Durée : 45 min | |Compétences travaillées |Première approche d’une fonction de nutrition : la digestion |Matériel | | |Démarche d’investigation – Formulation d’hypothèses.

contenant des fibres, du magnésium, du calcium, du phosphore ou encore des produits renforçant les défenses immunitaires. Les entreprises agroalimentaires commencent sérieusement à prendre en compte le vieillissement de la population (exemple: la nutrition médicale de chez Danone.) en alliant alimentation et santé. Les produits les plus mis en avant pour les seniors sont les yaourts (44%) et les céréales (19%), le beurre (19%), le jus de fruit (14%), les eaux (16%), Les seniors sont l’avenir, il faut

aurons une tendance à l’obésité avec tous les pathologies qui en découlent : maladie cardiovasculaire, cholestérol, diabète etc… Il est donc très important d’avoir une alimentation équilibrée assortie d’exercice physique car n’oublions pas que la nutrition fait partie d’une des trois charges du Potentiel Vital Homéostasique. 3) Pourquoi notre organisme a-t-il besoin d’un apport journalier en protéines ? Les protéines apportent des éléments de base indispensables (acides aminés) à la construction

aspects commerciaux de ces produits, en quelques données chiffrées, avant de voir quel est le profil des consommateurs de produits allégés, et le marketing qui les accompagne. Une dernière partie rappelle les grands mécanismes de la physiologie de la nutrition, en particulier en rapport avec l’apparition de l’obésité (régulation du poids, de la prise alimentaire, rôle des aliments), avant de discuter plus particulièrement de l’intérêt possible des produits allégés dans la lutte contre le surpoids. En conclusion

de la mort de 100,000 personnes chaque année en France. Malheureusement, ce phénomène de plus en plus répandu dans notre société, inquiète les pouvoirs publics qui sensibilisent les enfants scolarisés dès leur plus jeune âges au problème de la nutrition en introduisant dans les restaurants scolaires des menus à base de légumes, d'une alimentation plus équilibrée.

p. 4. (4) M. Shields, L'embonpoint et l'obésité chez les enfants et les adolescents au Canada, Rapports sur la santé, 2006, 17 : 3, p. 27-44. (5) C. Lavallée, Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois, Volet nutrition, Institut de la statistique du Québec, 2004. (6) International Diabetes Federation, Diabetes Atlas, Third edition, 2006.