Scolarisation Des Jeunes Filles

assurer cette scolarisation et donc l’avenir de ces enfants est souvent sacrifié. Ce sont le plus souvent des filles qui souffrent en premier de cet isolément, elles sont amenées à garder les chèvres qui font survivre la famille et à interompre très tôt leur scolarité si elles l’ont jamais commencé. Toute forme d’initiative pour amortir cette situation, et offrir une aide est la bien venue. L’idée serait de poursuivre ce projet sur du plus long terme en aidant à la scolarisation définitive de

XXVe CONGRES DE LA POPULATION TOURS (FRANCE), 18-23 JUILLET 2005 Sexualité, fécondité et pratique contraceptive chez les jeunes en Côte d’Ivoire au cameroun, au Togo et au Burkina Faso Djangone-Mian Anne Marie Rachelle Fonds des Nations Unies pour la Population/Côte d’Ivoire Auteurs des rapports pays1 : • Akoto Eliwo Mandjale • Amouzou Agbessi John • Djangone Rachelle • Kassegne Sethson • Ngondo A Pitshandenge • Ntsame O. N. • Tambashe Oleko Basile • Tameko D. T. SEANCE 1401 : 1 SEANCE POSTER

élèves en situation de handicap et parmi eux 4,5% sont déficients auditifs. En ce qui me concerne, j’ai côtoyé pour la première fois de jeunes sourds, âgés de 12 à 16ans lors d’un séjour adapté. Il s’agissait d’une semaine de vacances organisée par l’Association Nationale de l’Animation et de l’Education . Mon rôle était de faire passer des vacances à ces jeunes en préparant tout type d’activité avec les animateurs. J’avais une certaine réticence dans un premier temps puisque je ne m’imaginais pas

inégalités 3.1) Inégalités de formation Même si le taux de scolarisation dans l’enseignement supérieur des jeunes filles a nettement augmenté en 10 ans et ce, proportionnellement de façon plus importante que les garçons (+ 7% pour les filles contre 4,6% pour les garçons sur la tranche d’âge 18-23 ans), le poids du genre se fait sentir dès le choix de la filière post bac. Les choix différents d’orientations des jeunes garçons et filles influent à la fois sur la nature des premiers emplois, les secteurs

suite de la scolarisation de masse et du prolongement des études pour toutes les classes sociales. Ainsi, toutes les classes sociales étant mélangées, les rallyes ont eu pour rôle de garder les jeunes de la haute classe au sein d’une même communauté. Les rallyes ont remplacé les bals organisés par M. André-Pierre Tarbès, personnalité mondaine, dans le cadre du club du Panache situé dans le XVIe arrondissement de Paris, qui avaient rencontré alors un important succès auprès des jeunes aisés. Le terme

donnera son nom à la loi Jules Ferry de 1881 rendant l’école obligatoire. Qu’en est-il de nos jours ? L’obligation de la scolarité s’applique à tous les jeunes de six à seize ans, j’ai bien dit tous et en particulier aux filles comme aux garçons! Regardez la condition de la femme, que d’évolution depuis la fin du 19ème siècle ! Et oui, les filles étudient comme les garçons, comme les garçons elles obtiennent des diplômes qui leur permettent d’entrer dans le monde du travail. Elle semble loin l’image

au cours de cette année scolaire-ci, 51 autres cas de grossesses ont été enregistrés par le service de santé scolaire et universitaire (SSSU) de Gagnoa, rien qu’au premier trimestre. Cette triste situation dont le corollaire est de jeter les jeunes filles hors du système scolaire ivoirien, au moment où il est question plutôt d’encourager leurs parents à les scolariser et à les maintenir à l’école jusqu’en classe de troisième au moins, ne concerne pas que Mlle Oulaï Kessia, ni seulement les 51 autres

On inculquait les principes moraux, les valeurs, les normes, ceci était plus ou moins imposé dans un milieu social déterminé. On cherchait à faire des filles, des femmes accomplies et de bonnes chrétiennes toujours. Mais déjà au XVIIIème, sous l'influence des Lumières, certains étaient contre l'éducation superficielle des filles et revendiquaient l'accès des femmes au même savoir que celui des hommes, sans pour autant négliger les tâches domestiques et les bonnes manières. Certains

d’état etc…) qui vont à chaque fois avoir une représentation de l’instruction du citoyen. Avant c’était les aristocrates qui recevaient l’enseignement, soit religieuse, soit militaire. Il y avait aussi les enfants des familles de la bourgeoise. Les filles apprenaient essentiellement à être de bonnes épouses (c'est-à-dire pouvoir organiser la vie familiale, recevoir, organiser des fêtes, repas etc). Les enfants de l’aristocratie et de la bourgeoisie ne sont ni nourris ni éduqués par leur mère mais

décision force est de constater que des multiples entraves existent. II - Les entraves à la participation des femmes nigériennes au processus de prise de décisions Elles se résument au contexte socio-culturel et religieux (A) et à la sous-scolarisation de la jeune fille et l’analphabétisation. (B) A – Le contexte socio-culturel et religieux Il convient de remarquer qu’en dépit des discours officiels et des textes constitutionnels, conventionnels et législatifs y proclamant l’égalité entre