Scolastique

Rabelais annonce la curiosité intellectuelle de l’humanisme : l’éducation doit se porter sur une connaissance de l’ensemble du monde. L’autorité ne fait pas loi : toutes les données sont mises à l’épreuve des faits, Rabelais s’oppose à l’éducation scolastique et brise les règles. Plus que tout, c’est la curiosité qui doit être le propre de l’homme. La taille des géants est aussi révélatrice de leur esprit, de la force de leurs idées. S’ils sont pacifiques et apaisés comme nous l’avons vu précédemment

totale qu’exerce Manon sur Des Grieux, l’amour inconditionnel qu’elle suscite chez lui , sa transformation radicale : « Je combattis la cruelle intention de ses parents par toutes les raisons que mon amour naissant et mon éloquence scolastique ( règles rhétoriques apprises à l’école) purent me suggérer ». Le chevalier développe un discours de transgression et de liberté, en se dressant contre la loi, contre les obstacles, que ce soit l’autorité familiale ou l’ensemble de la société :

est sur une économie domestique. Au Moyen Age, on a une morale chrétienne avec intérêt collectif, on observe un enrichissement du clergé au niveau local => CITE IDEALE, c'est le rôle et la circulation de la monnaie. Plus tard, avec le courant scolastique interviendra la notion de propriété privée et publique => rôle du prix. II - Mathématique et politique : MERCANTILISME Mercantilisme (questionnement) : Accroître stock de monnaie, la matière noble, afin de faire plus d'exportations et de s'enrichir

en l’homme : les humanistes ont confiance dans la nature humaine et veulent rendre l’humanité meilleure. Grâce à ses connaissances et à sa curiosité, l’humaniste cherche à acquérir la sagesse.  Une nouvelle pédagogie (remet en cause le système scolastique)  La réflexion politique : les humanistes, qui sont des pacifistes, cherchent à construire une société idéale (l’Utopie de Thomas More et Rabelais)  Les débats religieux (le renouveau spirituel) retour au texte biblique INTRODUCTION : L’humanisme

les Écritures ou la confession de la foi chrétienne. Pour d'autres théologiens, la théologie était le discours sur la divinité en général, voire sur la seule divinité du Christ. Les auteurs occidentaux emploient assez peu le terme avant l'époque scolastique, préférant des expressions avec le mot sacer, telles que doctrina sacra, sacra pagina ou sacra eruditio. Cependant, les théologiens latins ont fini par l'utiliser couramment dans leurs écrits, et le mot « théologie » a alors reçu le sens, qu'il

d'un quasi-monopole dans l'éducation et la diffusion de l'information. Les puissantes universités de Bologne, de Paris, de Salamanque, d'Oxford et de Cambridge, étaient seules habilitées à diffuser le savoir, selon les méthodes éprouvées de la scolastique. Le droit était l'une des principales disciplines dans ces universités. Le savoir était ainsi réservé aux clercs, qui disposaient de l'éducation nécessaire à la compréhension des textes. L'imprimerie permit brusquement d'ouvrir l'accès à la connaissance

stérilité de cette voie scolastique, et les sciences n'ont pris leur essor que lorsqu'on a substitué à l'autorité des livres l'autorité des faits précisés dans la nature à l'aide de moyens d'expérimentation de plus en plus perfectionnés ; le plus grand mérite de Bacon est d'avoir proclamé bien haut cette vérité. Je considère, quant à moi, que reporter aujourd'hui la médecine vers ces commentaires attardés et vieillis de l'antiquité, c'est rétrograder et retourner vers la scolastique, tandis que la diriger

dernier vers reprend la devise, en la modifiant). Les emblèmes contribuent à faire de Délie un livre mystérieux dont l’écriture reste obscure. C’est sans doute son éducation stricte (il a reçu une culture où s’égalisent le souci formel de la scolastique, la connaissance des philosophies antiques et des langues vivantes des grands empires italiens, espagnols et portugais) qui fait que ses contemporains le considèrent comme le véritable Prince de la Renaissance lyonnaise. Homme secret, contemplatif

l'encyclopédie. œuvres : Oedipe(1718), Zaïre(1732), Micromégas(1752), Candide(1759), Mahomet(1742) Conclusion de commentaire du chapitre 23 de Gargantua de Rabelais : Ce texte propose différent programme éducatif pour gargantua car l'éducation scolastique est très néfaste pour le prince. Le roi Grandgousier confie alors son fils à un nouveau précepteur nommé Ponocrates qui lui donnera une nouvelle vision de l'éducation avec un programme éducatif encyclopédique. Dans ce programme il y a beaucoup d'aspects

(Pierre Le Grand en Russie, Charles VI en Autriche qui le fait baron), correspondant des souverains et souveraines - notamment de Sophie-Charlotte de Hanovre - il meurt le 14 novembre 1716. Comme philosophe, il s’est intéressé fort tôt à la scolastique et à la syllogistique. Il a conçu le projet d’une encyclopédie ou « bibliothèque universelle » :