Sécularisation

linéaire de la scène d’exposition Commentaire composé de la scène 5/acte 2 (scène d’aveu de l’amour coupable de Phèdre) Étude de la scène du dénouement Présentation de Tartuffe de Molière S4M5 : histoire des idées et de l’art (20ème siècle) La sécularisation de la société française : de l’Affaire Dreyfus à la loi de Séparation des Églises et de l’État (1905) Au lendemain de la Grande Guerre : Dadaïsme et Surréalisme Le pacifisme durant l’entre–deux- guerres Apport et portée de la psychanalyse

soumis au pouvoir qu’ils se donnent eux-mêmes. La démocratie est le régime des individus libres et égaux. Elle s’oppose à un pouvoir reposant sur le sacré. Elle suppose la « discussion et l’argumentation dans le pluralisme des opinions » ; - la sécularisation. « Celle-ci signifie que, avec les temps modernes, c’en est fini de la grande intégration entre société et religion, qui domine toutes les sociétés traditionnelles » ; - Les droits de l’homme. « Les démocraties modernes sont des Etats de droit

tous maux !!!, dérapent aussitôt vers des attaques contre l’Islam et les musulmans, insinuant que l’Islam met l’identité ainsi que les institutions du pays en péril. On assiste à une reconversion de l’ennemi juré, il était chrétien jusqu'à la sécularisation et la loi de 1905, redevenu aujourd’hui musulman. Sans oublier, qu’il y’ a bien sûr d’autres facteurs qui entre en jeux ou le tout se confond et se mélange; l’immigration, le conflit au moyen orient, ethnicisassions des banlieues etc..Tout cela

manifestation de l’antichristianisme. *Après 1792, déportation fréquente des réfractaires, exil massif vers pays catholiques d’Europe (25 000 prêtres).Ceux qui restent sont victimes de massacreslaïcisation, baisse de la pratique religieuse, sécularisation. -La déchristianisation de la France (1793-1794) Dès automne de l’an II jusqu’au printemps 1794, destruction de toute la tradition catholique de façon violente. *pillage, vandalisme antichrétien, autodafés, destruction chapelles/ croix

minoritaires, dont le catholicisme, sont brimées. IV) Conclusion Le principe de laïcité n’est donc pas acquis aujourd’hui dans le monde. Les religions tiennent encore une place importante chez de nombreux peuples, et les phénomènes de sécularisation et de laïcisation sont loin d’être homogènes d’un pays à l’autre. Dans certains pays, les plus riches de la planète, les liens entre politique et religion semblent toutefois distendus, héritage d’une histoire humaine (la Révolution Française par

religieux, la question de la séparation des deux ordres : spirituel et réel. Il s’agit en réalité du point de départ de la longue histoire de la laïcité française, même si on ne parle pas encore à ce moment de laïcité mais de sécularisation. Le mouvement du pouvoir royal de sécularisation consiste à faire, dans un Etat qui reste quand même religieux et dominé par une religion d’Etat officielle, tout un effort préalable pour attacher aux institutions de l’Etat toutes les prérogatives permettant au pouvoir

gouvernants en leur donnant une investiture, qui cadre leur pouvoir. Des dizaines d’années plus tard, des politistes ont permis de mettre en relation plusieurs étapes à des progressions économiques, sociales ou culturelles. Cela est marqué par la sécularisation (terme se rapprochant de la laïcisation prise d’autonomie de la loi politique indépendante du pouvoir religieux, le politique n’est plus déterminer par le religieux), complexification (difficilement contestable, c’est-à-dire l’idée de la division

Su,… : rupture de temporalité, et rupture dans la chrétienté (2è). B) Sécularisation L’Ea prend les biens de l’Eglise (sécularisation). Mais aussi a ouvert la voie au désenchantement du monde. Le pasteur n’est pas magicien, lui. Valorisation de l’autonomie : rompre avec une institution. Mais les réformés sont quand même vus comme des hommes pieux, donc l’idée séduit. la réforme a permit la sécularisation. Mais l’Eglise a aussi fait un boulot de rationalisation. C) Confessionnalisation

induisent un phénomène de déchristianisation. En France, les régimes successifs, sans être irréligieux, écartent progressivement l’Eglise du politique et donc de la sphère publique (le Concordat de 1802, le « Roi des barricades » de 1830). La sécularisation est continentale, présente dans toute l’Europe. Parallèlement, les progrès des sciences ont entrainé la première révolution industrielle dès la fin du XVIIIème siècle au Royaume Uni. L’industrialisation gagne ensuite l’ensemble du continent qui

est une notion qui est naît avec la Révolution française de 1789. Cette révolution met fin à la monarchie de droit divin, désormais, l’État n’est plus sous tutelle de la religion. La séparation de l’État et de l’église s’est prolongée avec la sécularisation au 18° siècle qui consiste à transmettre les biens de l‘Église au domaine public. Par la suite, avec la troisième république et les lois de Jules Ferry, l’école devient publique laïque et obligatoire. Cela aboutit sur l’entrée en vigueur de la