Sécularisation

chiffres en témoignent. On constate que le taux de reproduction qui était de 1,02 en 1891 passe à 0,96 e, 1910. On explique cette baisse par une transition démographique pus rapide que ses voisins européens. De plus, on assiste en France à une sécularisation de la société, et à un recul de la sphère religieuse (1905, loi de séparation de l’église et de l’état sous le ministère combes). Ce recul de l’influence religieuse, la précocité dans les comportements malthusiens, mais aussi la perte de l’Alsace-

l’industrialisation du travail social. Cette activité est avant tout caractérisée par la recherche d’une « fin », l’amélioration et l’extension des systèmes rationnels. Le progrès technique mène à une rationalisation qui à son tour mène à une « sécularisation » et une « désacralisation » des images du monde qui oriente (ou orientait) le monde ce qui conduit à sa plus grande rationalisation au sein de l’activité sociale. Marcuse prétend que l’extension de la rationalité n’est pas une fin en tant que

royaume que de Dieu et son épée ». Cette doctrine vient approfondir le mouvement d’unification et de centralisation sur le monarque. Mais cette doctrine soulève des contestations sur l’origine de la souveraineté devant aboutir à sa sécularisation. B. La sécularisation des doctrines. C’est au cours du XVIIe siècle que se produit l’évolution majeure de toute l’histoire moderne. 1. L’avènement du droit naturel moderne La pensée occidentale a connu une modernisation progressive du droit

clergé dans le combat pour la patrie en 1914-1918. c. La laïcité confrontée à de nouvelles difficultés • La loi de 1905 a finalement été bénéfique pour l'Église catholique. Globalement, elle lui a permis de se désengager du champ politique. • La sécularisation de la société française a cependant les limites : les fêtes religieuses, souvent fériées, sont encore le reflet de la tradition historique catholique de la France. En outre, le financement public d'une partie de l'enseignement privé fait l'objet

l'a rendu moralement moins justifiable que lorsque l'adversaire communiste lui tenait lieu de faire-valoir ; • Dans le long terme (depuis la Renaissance et le 18e siècle), la mort sociale de Dieu correspond à un processus de laïcisation, de sécularisation, et donc, s'agissant de la France, de déchristianisation, qui pose toutes sortes de problèmes tournant autour de la communauté, qui n'est plus fondée sur une communion religieuse. Il remet en perspective le problème des limites au comportement

– Pluralisme – Politique – Polyarchie – Populisme – Positivisme – Pouvoir – Présidentialisme – Rationalité politique – Réforme (La) – Régimes – Régimes politiques – Religion – Représentation – République – Révolution (s) – Science politique – Sécularisation – Séparation des pouvoirs – Société / Etat – Société civile – Sondages – Souveraineté – Structuro-fonctionnalisme – Symboles – Systèmes – Technocratie – Tiers-Monde – Totalitarismes – Type idéal – Unanimité – Utilitarisme – Volonté générale –

promulguée le 28 mars 1882 par Jules Grévy alors président de la République. Dans son intervention, le député de l’Union Républicaine s’adresse à l’opposition. Il rapporte le projet de loi porté sur l’enseignement primaire obligatoire ainsi que la sécularisation de l’école qui fera notamment l’objet du discours de Jules Ferry le 23 décembre 1880. Ainsi, nous nous demanderons en quoi le discours de Paul Bert devant la Chambre des députés marque les prémices d’une victoire législative républicaine

la France et donnait à Napoléon une position d'arbitre puisque c'est lui qui déciderait de la marche à suivre pour parvenir à cette indemnisation. C'est donc deux ans plus tard, suite au recès de la Diète germanique de 1803, par le biais de la sécularisation des principautés ecclésiastiques et de la médiatisation de presque toutes les villes d'Empire, que les princes furent dédommagés. 112 petites souverainetés disparurent, mettant ainsi à disposition une masse de territoires considérable qu'il fallut

constitue véritablement un fait sociologique nouveau et amène les spécialistes de la sociologie électorale à s’interroger sur les comportements politiques de cette nouvelle frange de la société française. D’autant qu’elle contredit la thèse de sécularisation inexorable des sociétés occidentales qui s’illustraient par le recul de la pratique catholique en France (en 2002, 10% des français se déclaraient catholiques pratiquants, 14% pratiquants irréguliers, 44% non pratiquants et 25% sans religion)

largement aidé par l'Union sacrée, réalisée pour le début de la Première guerre mondiale. La question religieuse passe alors évidemment au second plan. • La loi de 1905 est considérée comme la dernière étape du long processus de laïcisation et de sécularisation engagé à la Révolution. • Détail intéressant : l'Alsace et la Moselle, qui étaient allemandes en 1905, ne sont pas concernées par la loi de séparation de l'Église et de l'État. Elles bénéficient, encore aujourd'hui, d'un statut spécial, héritage