Seins nus

- Tu es vraiment ravissante. Qu’est-ce que j’ai de la chance, murmure-t-il tandis que ses doigts effleurent mes seins. - Oui, en effet, monsieur Grey. Je lui adresse un regard pudique. - Madame Grey, la pudeur vous va bien. Retourne-toi, je veux te faire le dos. Je m’exécute en souriant. Il détache le haut de mon bikini hors de prix. - Tu dirais quoi, si je me mettais seins nus comme les autres femmes sur la plage ? - Je dirais non, répond-il sans hésiter. Déjà que ça m’ennuie que tu sois

fait à droite dont on ne voit que la moitié du corps (le reste est hors cadre), ganté, en « armure », du rouge sur le front. Au deuxième plan:une femme, centrale et en hauteur sur des bois, en robe retroussée laissant voir sa poitrine nue, pieds nus, tenant de sa main gauche un fusil à baïonnette, de sa main droite un drapeau bleu-blanc-rouge qu’elle brandit. Sa tête est de profil, tournée vers la gauche, regardant en arrière. Les cheveux sont noués et coiffés d’un bonnet rouge. Sa jambe gauche

d’ekphrasis - les femmes : celles qui furent séduites par Dom Juan et le harcèlent . Elles sont impudiques « seins, robes ouvertes, mugissement » > de nouveau renversement des valeurs. Elles sont animales « mugissements ». Pour Dom Juan qui aime « vaincre les résistances » elles sont une punition. On retrouve également le tableau de Delacroix et une iconographie médiévale des corps souffrant et nus - « noir firmament » l’oxymore renvoie directement aux deux tableaux de Delacroix - « long mugissement

« des mois des mois » «  des ans des mois » montre un côté comique grâce à une insistance hyperbolique sur les sentiments de Colin sur le portrait de Chloé. « … » Insiste sur l’idée que Colin ne dit pas tout, le reste du corps est mentionné « des seins nus » fait l’éloge de la beauté corporelle grâce à la succession de blason. « Corps » renvoie au désir, il y a un jeu de sonorité « r » « c » l.29 et le « ou » rend le texte poétique. L’amour de colin est manifesté dans son discours et dans les parties

d'Homère ou d'Horace et de tous les penseurs grecs n'a pas de secret pour ce jeune poète, elles font partie du cursus scolaire de l'époque. Rimbaud regrette cette vie au temps de la Grèce antique, des spartiates, des femmes ou des hommes vivant nus ou quasiment nus été comme hiver pour endurcir leur cors, faisant des exercices dans le palestre (sorte de gymnase), aimant sa famille "Parce qu'il était fort, l'homme était chaste et doux", ou passant leur temps à jouer ou à se divertir dans des banquets où

au nom de leur dignité L'occident véhicule une image de la femme comme marchandise sexuelle tout à fait dénigrante. Les publicités dans le métro étalent des corps féminins à moitié nus, les femmes se promènent dans la rue exhibant leur corps, les hommes n'ont aucun scrupule à regarder les fesses et les seins qui défilent devant eux. Est-il si difficile à comprendre que des femmes puissent rejeter cette image humiliante en se protégeant du regard des hommes? 15. Une loi contre les musulmans

l'encontre d'une sexualité que l'on considérait alors comme « anormale ». Ces femmes furent réprimées pour avoir librement disposé de leurs corps. Pour cette raison, on toucha directement à leur féminité en leur rasant les cheveux et les exposant seins nus sur la place publique.

ses portraits), elles n'en montrent pas moins le grand art du peintre, qui parvient à représenter fleurs, fruits et légumes dans une véritable mise en scène dramatique. Manet effectue aussi des portrait de femmes, (Nana, 1877, Femme blonde avec seins nus, 1878) ou de ses familiers comme le poète Stéphane Mallarmé en 1876 ou Georges Clemenceau en 1879-1880. Il est alors de plus en plus reconnu et reçoit la Légion d'honneur le 1er janvier 1882. Cependant, victime de syphilis et de rhumatismes, il souffre

un gros pull de laine aux motifs incas, la sueur glissait le long de sa colonne. 6 Elle sentait un ruisseau de gouttes s'échapper de son cou pour accélérer vers son bas ventre. Celui-ci était d'autant plus rapide qu'elle avait perdu ses seins là-bas, du côté de cette porte lourde. Elle avait oublié le désir, les mains caressant le corps pour chuter vers la vulve. Elle ressemblait un peu à la lune qui a jeté ses marées, pour ne garder que la dureté du sable. Son jeans lui brûlait la

l’actrice principale des spectateurs, les rideaux tirés de chaque côté comme des rideaux de théâtre et l’arrière-plan renvoie à un tableau. Les sœurs sont éclairées par une vive lumière en provenance de la gauche. Le modelé des deux corps féminins nus, sensuels et d'une grande délicatesse est provoqué par l'éclairage, provenant de la gauche du tableau, dirigé sur les deux jeunes femmes, l'arrière-plan du tableau étant plongé dans la pénombre. Les courbes des gestes accentuent la préciosité maniériste