Sémantique

4.2. L'implicite 4.3. Les connecteurs 4.4. Chaînes d'actes de discours 5. Période et séquences : unités compositionnelles debase 6. Le texte comme unité compositionnelle et configurationnelle 6.1. L'effet de dominante 6.2. Macro-structure sémantique (thème, topic) et micro-actes de discours 7. Le fonctionnement textuel des temps verbaux 8. Analyse textuelle d'un récit de Jorge Luis Borges :"Le Captif" 9. Pour conclure Haut de page Texte intégral PDF 457k Signaler ce document 1. Introduction

: la « sémantique structurale » s’est déployée à partir d’une réflexion sur le lexème. Il lui est apparu que le mot, comme n’importe quel signe, n’était, dans la perspective du sens, qu’un point de rencontre et d’intersection de systèmes sous-jacents complexes (Fabbri, p.). Le mot, condensation de la doxa qui s’y fige, se laisse déplier en réseaux actantiels, en modalités, en valeurs, bref en discours. Et il présente, dès qu’on l’appréhende comme sémème, un réseau de fils sémantiques, ténus

définitoires du proverbe il ne reconnait le proverbe que grâce à quelques propriétés comme la rime, le rythme, le contenu moral et spirituel. A l’inverse, en linguistique, il est étudié grâce à ses caractéristiques, ses modes de fonctionnements d’une part sémantique, syntaxique et argumentatif. Notre objet d’étude qu’est le proverbe doit être appréhendé dans le discours. Le proverbe est un produit collectif, une pratique sociale qui est régi par des normes, c’est à dire des lois du discours proverbial concernant

topos la place. Il s'agit de Séquences linguistiques à dimension inférieure, égale ou supérieure à la phrase. Elle peut être à tout niveaux: Phonologique ( assonances, paronomase, rimes ), morphologiques ( forme des mots: accords, conjugaisons; sémantique, relatif au sens, équivalence définitionnelle, calembour.) C'est donc la stylistique dans l'isotopie qui fait jouer ces différents niveaux. Expl textes 2 et 3, avec le sens du mot toilette et ces deux isotopies différentes. Essai de poètique

l'énergie, des mots d'ailleurs inutiles pour l'intégrité grammaticale. Tous les jours nous entendons dire, ou nous disons nous-mêmes : Je l'ai vu de mes yeux, de mes propres yeux. » De façon semblable, on peut introduire au besoin de la redondance sémantique en ayant recours à des procédés de redoublement ou d'explicationde l'information jugée difficile à comprendre. En voici quelques exemples: — la description « Le koala, petit mammifère australien qui ressemble à un petit ours... » — le synonyme

comme eux le travail de l'écriture. Curieux des moindres créations de la nature, Ponge applique à leur observation le même soin qu'il met à choisir le mot juste, dont les résonances sémantiques seront les plus riches: O ressources infinies de l'épaisseur des choses, rendues par les ressources infinies de l'épaisseur sémantique des mots, s'exclame t-il dans Introduction au galet de Proèmes. Parce que les mots ne peuvent traduire exactement les mouvements de notre subjectivité, il ne faut plus, selon

d’analyse : A partie de l’énoncer (cahier des charges) du problème, la phase d’analyse consiste à élaborer un model conceptuel d’analyse MCA (modèle conceptuel d’analyse) qui décris la solution sous forme d’une suite d’étapes et d’action dans un niveau sémantique trop élevé. Deux méthode sont normalisés : a.1 Méthode ascendante Le concepteur propose la solution a partir d’une boite à outils (algorithme élémentaires) et construit un MCA sous forme d’un arbre hiérarchisé en niveau de difficulté

Le résultat qui est l’information obtenue après opération ou calcul. Les données sont les informations fournies qui permettent d’effectuer les opérations. Les contraintes constituent le domaine de définition ou de validation. La définition sémantique est la façon d’obtenir un résultat. Le formalisme est la construction démonstrative de la résolution du problème en utilisant toutes les connaissances que l’on possède. Le plan d’algorithme est le plan conçu pour réaliser un algorithme. L’Algorithme

dialogues 3.2 Présence de marques de la subjectivité de l'auteur 3.3 Pertinence du recours aux embrayeurs (déictiques, marques spacio-temporelles qui ne se comprennent que par rapport à quelqu'un qui parle (ici et maintenant) 4 - Cohérence sémantique 4.1 Respect du genre (respect des lois du genre littéraire) 4.2 Cohérence du monde représenté et de sa logique : cohérence entre les personnages, les actions, les évènements, le cadre 4.3 Gestion de l'implicite, donne trop ou pas assez

-L'interprétation des résultats : tirer des enseignements et des résultats du corpus étudié. La catégorisation permet de classifier des éléments du corpus en fonction de certain critères. Les critères retenus peuvent être en fonction du contenu ( sémantique ) Unité de signification à coder , elle correspond au segment du contenu et de l'expression à considérer comme unité de base l'unité peut-être Le thème Le mot Un visuel spécifique Un objet Les personnages L'exclusion mutuelle Homogénéité