Sensibiliser Le Lecteur

champs de son application. Il éclaire ensuite sur les différents procédés qu’elle met en œuvre. Globalement il répond à la question du comment convainc t’on aujourd’hui, et en s’appuyant sur quels mécanismes. En dernière analyse il oriente le lecteur sur ce qui devrait permettre à notre société de s’affranchir de la manipulation. Première partie : L’importance de la parole Pour Philippe Breton, l’être humain est un « être de parole », seul capable de communiquer et de convaincre, à la différence

Dans « A toi ma vie, A toi mon sang », l'emploi de la première personne du singulier « je », mais aussi des adjectifs possessifs « mon » ou « ma » et l'apparition d'un destinataire: « toi », accentue le fait d'une « proximité » entre le poète et le lecteur car celui-ci se confie, c'est une situation d'intimité. Les poètes s'adressent souvent à un être cher, présent par des pronoms personnels( tu , vous ) ou encore par leur propre prénom, ici, le poème est adressé à Louise de Coligny dite « Lou »

phénomènes de société, et ainsi fait partager son opinion au lecteur, aussi engagée soit-elle. L’essai a pour faculté d’offrir une certaine liberté à l'auteur. Celui-ci choisit le sujet sur lequel il veut disserter, il organise son écrit comme il le souhaite au gré de sa pensé, sans contrainte, et il exprime ainsi absolument tout ce qu’il lui est nécessaire d’extérioriser. Dés de début de son écrit, sa thèse est présentée et imposée au lecteur, c’est-à-dire que celui-ci n’a pas de choix d’opinion, il

revendique-t-il la perception générale vis-à-vis des opprimés? Dans un premier lieu, nous pourrons examiner l’image ambigüe de l’araignée et l’ortie pr4oposée par le poète. Puis, nous étudions de quelle façon le poète tente de convertir l’impression du lecteur par rapport aux êtres marginalisés. Premièrement, nous analysons le portrait péjoratif des personnages du poème, qui contraste avec la thèse du poète. Tout d’abord, nous trouvons une description négative de l’araignée tant comme de l’ortie. En effet

placées. Nous pouvons également considérer cette chanson comme un texte littéraire, en effet elle a plusieurs caractéristiques identiques à la poésie engagée comme le fait que Renaud cherche à toucher la sensibilité et l'imagination du lecteur, il vise à sensibiliser un public aussi large que possible. La poésie engagée se lie généralement à un évènement historique, ici Renaud dénonce les guerres. Il utilise un langage clair et explicite, et passe un message mémorisable par le fait que c'est une chanson

ligne AutreUn personnage médiocre peut-il être un héro?Consulter le doc Un personnage de roman peut-il être un héros? - Plan de dissertation CoursUn roman doit-il chercher a faire oublier au lecteur que ses personnages sont fictifs ?Consulter le doc Un roman doit-il chercher a faire oublier au lecteur que ses personnages sont fictifs ? CoursLa tâche du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste qu'à imiter le réel ? Consulter le doc La tâche du romancier, quand il crée des personnages

châtiments, Victor Hugo placent les personnages dans un décor glacial car il est question de la débâcle de l’armée Napoléonienne. 1. Le décor hivernal Tout d’abord, Victor Hugo fait de nombreuses descriptions du paysage ce qui permet au lecteur de se mettre à la place des soldats. Le temps utilisé est donc celui de la description autrement dit l’imparfait comme le verbe « neigeait » que l’on retrouve à de nombreuses reprises (vers 1, 5, 10, 18). Ainsi la saison de l’hiver est représentée

« Nature est un doux guide… », Essais, 1588, Montaigne (1533, 1592) * Biographie : -Montaigne  est un moraliste, inquiéteur, et grand intellectuel du XVI. Cependant il n’est pas un donneur de leçon : il sensibilise les lecteurs à la vie concrète. - il fait notamment réfléchir ses lecteurs sur les grandes questions qui l’obsèdent (altruisme, éducation, voyage…) -C’est également l’une des plus grande figure de l’humanisme de la 2ème parti : il remet tout en cause, dans une période de grands voyages ;

Répétition de toujours « toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids » c) Gradation de comparaison « Une horrible, une sanglante, une implacable idée » II- Un personnage malheureux pour sensibiliser le lecteur 1) Un mal être a) Gradation « toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids » b) Métaphore de la mort « reparait dans mes rêves sous la forme d’un couteau » 2) Un enfermement psychologique

dans les Pensées, amène le lecteur à suivre son raisonnement grâce à une certaine logique et une continuité dans ses propos, qui force le lecteur à être de son avis. Le premier paragraphe est donc rédigé à la première personne du pluriel, pour généraliser le problème, et impliquer le lecteur autant que lui-même, et en faire donc une cause proche de l’homme. « Nous ne nous tenons jamais au temps présent », cette thèse qu’annonce Pascal dès le début du texte, permet au lecteur de se rendre compte qu’il