Serions Nous Plus Libre Sans Loi

capacité de penser par sois-même en échappant a l’influence d’autrui, est en revanche possible.  Libre-arbitre : la capacité de faire des choix. Vraiment : cet adverbe met en doute l’affirmation, qui parait pourtant évident, selon laquelle nous aimons vraiment la liberté. 2) Arguments OUI : o Il semble évident que nous aimons la liberté, que nous sommes attirés par elle, car être libre consiste à réaliser ses désirs. L’absence de liberté nous en empêche et provoque la frustration. o

des droits égaux aux différentes religions. Ensuite, en 1882, les Lois Jules Ferry instaurent l’Ecole publique gratuite, laïque et obligatoire. En 1905, date majeur de l’encrage de la laïcité en France, est établie une loi de séparation des Eglises et de l’Etat. Enfin en 2004, une loi interdisant le port de signes ostentatoires à l’Ecole est mise en place. Tous ces évènements marquent bien la forte intention de l’Etat Français à appliquer la laïcité, qui peut pratiquement faire partie de la devise

Kojève qui s'inspirait librement d'Hegel. Dans le cas actuel, deux termes s’opposent, « juste » généralement associé au droit, à la justice et la raison et fondé sur la légitimité et «désobéir » que l’on définit par le refus de se soumettre à une loi, des normes ou toutes autres formes de jugement. Ainsi, l’utilisation de ces termes montre l’opposition effectuée entre eux mais également en fonction des mœurs et des coutumes de chaque individu. Apparaît-il légitime de transgresser une autorité telle

l'évidence morale? Proposition de plan : D'après Hobbes, la morale en tant que telle n'existe pas, et seul prévaut partout l'intérêt. La morale n'est que le résultat des lois naturelles. Dans le chapitre XIV du Léviathan il écrit que « Une LOI DE NATURE est un précepte ou une règle générale trouvée par la raison selon laquelle chacun a l'interdiction de faire ce qui détruit sa vie, ou qui le prive des moyens de la préserver, et de négliger de faire ce par quoi il pense qu'elle serait le mieux

contre eux, on devient esclave de ses désirs car il y a soumission, puisqu’on ne parvient pas à agir sur nos pulsions et qu’on les satisfait. Tel que le dit Baruch Spinoza «  l’individu entraîné par une concupiscence personnelle au point de ne plus rien voir ni faire de ce qu’exige son intérêt authentique est soumis au pire des esclavages » : quand quelqu’un suit des désirs qui lui nuisent, il est esclave de ses désirs. Pour Spinoza, être esclave c’est obéir contre son intérêt. Mais le désir

aptitude à s'émouvoir, à éprouver un sentiment. De plus en plus de fictions montrent de héros écoutant leurs cœurs plutôt que les ordres qu'ils ont reçus pour mener leurs actions, bravant la morale de leur propre peuple pour suivre ce qu'ils ressentent. Suivre son intuition, sa sensibilité devient la nouvelle norme sociale, c'est a dire la nouvelle morale. Il nous parait évidement que la véritable moralité se trouve dans l'aide apportée aux plus faibles par le héros plutôt que de suivre aveuglément

formes de déterminisme Populaire ou fatalisme Théologique Métaphysique Scientifique 2). Libre arbitre et responsabilité Conclusion Introduction La liberté… Quel joli mot ! La liberté est un idéal. C'est justement parce qu'il nous plaît tant qu'il faut s'en méfier. LIBERTÉ : c’est un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens ; qui chantent plus qu’ils ne parlent ; qui demandent plus qu’ils ne répondent ; de ces mots qui ont fait tous les métiers, et desquels la mémoire est

à être libre. Ils nous sortent de notre « obscurité » pour nous amener à la lumière. Ils sont le prisonnier libéré, l’initié de la caverne de Platon, libres eux-mêmes mais voulant l’apporté aux autres. Pour eux l’homme est fait pour être libre. Pourtant comme dans l’œuvre de Platon, les hommes refusent cette aide et restent dans leur ignorance. Prenons l’exemple de Socrate qui fut mis à mort pour cette idée de liberté. Certains même se trompent sur l’idée d’être libre et se croient libre. Pouvons-nous

être heureux, car sinon tout le monde s’empêcherait d’être heureux, mais qu’il ne faut pas tomber non plus dans des extrêmes (exemple : gouvernement despotique) … Pour parvenir a cette conclusion l’auteur, Emmanuel Kant procède selon deux parties, d’abord il décrit des principes incontournables, pour qu’aucun individu n’entrave le chemin vers le bonheur d’un autre, et ensuite il approfondie un peu plus ses dires, dans le but de nous démontrer qu’il n’existe aucun principe valable dans ce domaine.

son libre-arbitre, une volonté dénuée de toute contrainte constituant une faculté innée pour chacun de nous. Dans son texte, l’auteur va au-delà de la critique du traditionnel dogme de la volonté cher à de nombreux philosophes depuis l’Antiquité. On retrouve la remise en cause de l’idée même de liberté, l’illusion d’être maître de ses choix et l’impossibilité d’échapper à sa finitude mais la fatalité chère à Nietzsche est ici doublée d’un certain cynisme selon lequel la notion même de libre-arbitre