Serment Du Sacre De Philippe Premier

En 987, réunis à Senlis, l’archevêque de Reims Adalbéron et les grands choisirent comme roi un Robertien, Hugues Capet. Cette élection inaugure l’ère des rois dits de la troisième race : les capétiens. Entre l’avènement d’Hugues Capet et celui de Philippe II dit , Auguste, la monarchie capétienne révèle des caractères d’une royauté féodale. Seigneur parmi les seigneurs, le capétien doit d’accommoder d’une féodalité qu’il lui fait investir pour accroitre ses prérogatives et étendre territorialement

Sénat et une Assemblée (rôle électorale). C’est comme ça que se forme l’urbanisation de la Gaule. CHAPITRE 2 : LA GAULE TERRE BARBARE Section 1 : L’influence du christianisme La religion chrétienne se propage rapidement, pendant les trois premiers siècles l'Église est persécuter mais se diffuse rapidement quand même. Et puis Constantin se convertit et en 313 par l'édit de Milan, Constantin reconnaît l'existence du christianisme. Au sommet de la hiérarchie, l’évêque de Rome. Province ecclésiastique :

étaient les hommes de confiance du roi par un serment de fidélité. Au sommet de ces seigneurs on a le personnage central qui est le maire du palais qui était l’intendant du roi. A la fin de la dynastie mérovingienne les différents maires du palais vont avoir de + en + de pouvoir que les rois mérovingiens les derniers sont appelés rois « fainéants » car celui qui gouverne le pouvoir politique temporel c’est le maire du palais. Le roi lui a le pouvoir sacré il fait le lien spirituel entre dieu et le

· laféodalité s’épanouit aux Xe-XIe siècles > fief (façon de posséder la terre);· atout du roi face aux seigneurs – il est couronné et sacré par un évêque à Reims, ainsi il est reconnu comme roi de droit divin – le sacre religieux assure au roi son prestige, renforce sa supériorité sur les seigneurs; · HC établit, le premier, la capitale à Paris qui se limitait alors à l’Ile de la Cité (avantage : port sur la Seine, donc carrefour des routes marchandes); · autour de l’an mil, le

romanité. Celà est très important pour l’empereur qui peut de ce fait avoir des populations qui lui seront fidèles. Section II: La gaule chretienne Le christianisme est né dans l’empire romain et Jesus est né sous le règne de l’empereur Auguste, premier empereur de Rome et sera crucifié sous le règne du second empereur Tibère, on fixe la crucifixion autour des années 30 ap JC. Le christianisme est né en Orient, c’est à dire dans les provinces orientales de l’empire romain et plus precisement en

Capessan ». En 1316, pour la première fois le problème se pose, le roi Philipe le bel meurt en 1314 en laissant 3 fils : Louis – Philippe et Charles puis une fille Isabelle surnommée la « Louve » qui était l’épouse du roi Edouard II d’Angleterre. L’ainée des 3 fils, Louis, lui succède normalement sous le nom de Louis X le « Hutin » (batailleur). Cependant, il meurt en 1316, en laissant une fille : Jeanne de Navarre issu de son premier mariage avec Marguerite de Bourgogne laquelle avait été dénoncé d’adultère

des carolingiens est la pratique du sacre (initié par Pépin le Bref en 751). Il modifie la nature de l'autorité royale. Ce rite est très prestigieux : le roi carolingien reçoit l'onction des saintes huiles = il est roi par la grâce de dieu. L'autorité royale doit donc être mise au service de la justice et de la paix. Cette théocratie a pour but de faire régner le message chrétien sur un territoire et des populations aussi nombreux que possible. Les deux premiers rois carolingiens y arrivent très bien

Bretagne. Il s’agit d’un recueil coutumier, donc de droit, qui servait aux populations locales pour vivre au quotidien. On y trouve des règles de procédures civiles et criminelles, de droit de la famille et de succession (à l’époque du règne des fils de Philippe le Bel). Mais ce passage n’est qu’une transition d’un principe plus ancien issu du droit romain. Les rédacteurs ont consulté le code de Justinien (rédigé en 534 à Byzance). Les règles que contiennent les codes sont parfois plus anciennes que les

changé toute l’histoire de l’occident, qui est la renaissance du droit romain. Au 13ème siècle, la société parvient à un point d’équilibre et le pouvoir royal va renforcer son action. C’est le retour du roi. Le tournant est le règne fondateur de Philippe Auguste qui a régné de 1180 jusqu’à 1223. La royauté capétienne s’affirme à l’intérieur du royaume et à l’extérieur. Le roi de France va détourner les règles féodales à son profit. Il va réussir à faire surgir les institutions monarchiques de la

pour un droit sans morale. La morale chrétienne qui émerge va influencer les préteurs et un certain nombre de lois va être teinté d’influence chrétienne, au sein même d’un droit laïc. Section 2 : L’héritage du droit romain 1) Le concept de droit Le premier élément que nous a donné le droit romain est le concept de droit extrêmement moderne. Un droit qui doit s’appliquer en pratique, en étroite corrélation avec la justice. Il n’existe pas de droit sans justice. Les romans ont élaboré une science du droit