Sexualité infantile en psychanalyse

des inhibitions, des angoisses. - La pensée d'Anna Freud constitue un modèle de l'adolescence conçu comme une période normale de perturbation psychologique. Pour la psychanalyse, l'effervescence pubertaire entraîne une inévitable réactivation des conflits œdipiens. Chapitre 4 : La puberté et le développement de la sexualité à l’adolescence. Depuis un siècle, on observe une accélération de la croissance chez les enfants et les adolescents ainsi que l'éclosion de plus en plus précoce de la

commun à toutes les perversions, et se distinguerait du fonctionnement psychique de la névrose (conception freudienne de la névrose comme négatif de la perversion) et de la psychose. En psychanalyse, ce terme de « perversion » désigne à la fois des éléments du développement normal de la sexualité infantile, et des conduites pathologiques de l'adulte : - L'enfant est dit pervers polymorphe car il modifie ses pulsions au cour de la maturation, du stades oral (de la tété) au stade génital (de la

entre dans le langage le réel de la nature n’est plus directement accessible. Le sujet doit en passer par le langage pour l’appréhender. Le sujet est donc dénaturé, ce qui implique sa désadaptation de ce qui a été parlé plus haut : le corps, la sexualité. Pour l’humain, tout est problématique : Que signifie « être le langage » ? il n’y a plus d’instinct, les problèmes commencent c’est comme çà qu’on explique la clinique, que les gens soient malheureux, qu’il n’y a pas d’évidence pour l’être

bonne santé… mais certains plus que d’autres Les données statistiques montrent qu’aujourd’hui, en France, les « jeunes », c’est-à-dire globalement les « 15-24 ans », sont en bonne santé. Ils sont en meilleure santé que les moins de 15 ans (maladies infantiles), que les adultes et, cela va sans dire, que les personnes âgées. Enfin, c’est chez les jeunes que la mortalité est la plus faible et les pathologies les moins fréquentes. Les jeunes, eux-mêmes, déclarent dans les enquêtes avoir un bon ou très bon

soin de lui de façon cohérente et continue (« caregiver »[1]). Cette théorie a été formalisée par le psychiatre et psychanalyste John Bowlby après les travaux de Winnicott, Lorenz et Harlow. Au sens de la théorie de l'attachement, le comportement infantile associé à l'attachement est essentiellement la recherche de proximité avec une figure d'attachement lors de la survenue de situations de stress. Les enfants en bas âge s'attachent aux adultes qui se montrent sensibles et attentionnés aux interactions

des attitudes et des sentiments. Désinvestir les objets infantiles (donc les parents) pr investir. A la fois veut se détacher des ses parents et à la fois être rassuré par ses parents. Sur le plan intellectuel, il dépasse le monde des choses pr accéder au monde des lois (du concret à l'abstrait). Valeurs sociales, culturelles, morales, qui deviendront ses propres valeurs. Wallon met l'accent sur la responsabilisation. Freud et la psychanalyse : Pr lui comme pr ttes les théories, le progrès amène

 MALAISE DANS LA CIVILISATION Sigmund FREUD Das Unbehagen in der Kultur, Vienne, 1929 Traduit de l'Allemand par CH. et J. ODIER, Revue française de psychanalyse en 1934. t. VII, n˚ 4, 1934 et t. XXXIV, n˚ 1, 1970. Le texte de cette traduction est libre de droits. La numérisation et la mise en page a été effectuée par Jean-Luc Derrien pour le site http://www.caute.lautre.net/. Merci de conserver cette mention avec toute diffusion du texte. I On ne peut se défendre

par la psychanalyse, a des conséquences philosophiques importantes si on l’accepte : elle suggère que le sujet ne se limite pas, comme le pensait Descartes, au « Je » conscient. En deçà de ce « Je », il y aurait alors une pensée inconsciente, tout aussi fondatrice du sujet, mais dont par définition celui-ci ne serait pas conscient. A] La psychanalyse 1) Freud et sa théorie ● L’hypothèse de l’inconscient est d’abord médicale. C’est en inventant une nouvelle thérapie, la psychanalyse, que Freud

que processus de répétition. Après lui, d’autres psychanalystes rappelleront l’importance du concept de répétition tel que Freud l’a fondé. Ce sera le cas de Lacan, qui fera du phénomène de la répétition, l’un des 4 concepts fondamentaux de la psychanalyse (inconscient, pulsion, transfert, répétition). Le 16 novembre 1956, Lacan rappellera que « la répétition est un élément fondamental dans tout ce qui découvre de la pensée Freudienne ». C’est le point de départ irréductible de la nouveauté Freudienne

psychanalyste français lacanien (1946-1999) du Centre de Formation et de Recherche Psychanalytique (CFRP) autour de Maud Mannoni. Auteur d'une Introduction à la lecture de Lacan et de L'a-scientificité de la psychanalyse, ainsi que d'études sur les discours délirants. Docteur en psychanalyse. Membre du Centre de formation et de recherches psychanalytiques. Enseignant-chercheur à l'Université Paris VII. Directeur de la revue "Esquisses psychanalytiques". Livre 1 : l’inconscient structuré comme