Sfumato

strophe basée sur la figure métaphorique, 2ème strophe sur la comparaison « flamboie » = introduction de la notion de lumière juxtaposée à celle de la couleur // aspect pictural de la nature morte. Resserrement de la description sur la tête du hareng. Sfumato // peinture de la Renaissance flamande (Rembrandt, Le Caravage, école flamande) - Bipolarité du vocabulaire descriptif entre ombre et lumière. (flamboie, or, cuivre, illuminent… / noir, bruni, amortissent,…) « casque d’or » = ref. mythologique (casque

Michel-Ange). Ils maîtrisent donc très bien les mathématiques (pour les proportions, l'équilibres...) En peinture, de nouvelle techniques apparaissent comme la peinture sur chevalet, le bois est remplacé par la toile pour des raisons économique, le « Sfumato » est un effet brumeux, pénétration du clair dans le sombre mis au point pour Léonard de Vinci. Dans l'art de la guerre, des évolutions sont remarqués comme l'invention des canons; on en viendra même à fabriquer un canon en réduction : l'arquebuse

propre système de perspective, les contrastes d'échelle par exemple effacent toute impression d’harmonie entre les différents figurants. Enfin, la Renaissance de la peinture s’achève par la Joconde réalisée par Léonard de Vinci avec des effets de sfumato « enfumé ». Ces œuvres picturales incontournables de la Renaissance Italienne, donnent l’impression de ne plus permettre aucune évolution et aucun développement. De plus le savoir apporté par les progrès en médecine et en anatomie est ensuite

techniques à fresque sur murs, plafonds et voûtes, des effets de lumières et d’ombres (clair-obscur, grisaille), etc… Apparition de techniques : émail sur terre cuite, peinture sur chevalet, remplacement du bois par la toile, (plus économique), le sfumato (effet brumeux, pénétration du clair dans le sombre mis au point par le célèbre Léonard De Vinci) et amélioration de la peinture à l'huile. Dans l’art de la guerre : Invention de nouvelles armes à feu individuelles (arbalète, mousquet, fusils

musiciens au sommet du rocher, et l’arrière-plan montrant un paysage vaporeux, constitué d’eau et de rochers. Les éléments principaux du tableau se situent dans la partie gauche, délimitée par le sommet du rocher et le corps de la femme. L’effet de « sfumato » du lointain rappelle le style de Léonard de Vinci, conférant au tableau une atmosphère à la fois douce et irréelle. Le jaune, l’ocre, le vert sombre et différentes nuances de marron dominent, fondant parfois dans l’indistinction personnages et paysage

Nous remarquerons aussi la présence de « caissons » disposés en six rangées de six au plafond, et huit tapisseries décorant les murs. 3. à l’arrière plan L’arrière plan à été réalisé selon la technique du Sfumato, il représente un paysage rocailleux assez flou, ainsi qu’un ciel bleu. 4. en général format est long et panoramique, l’ensemble de l’œuvre est symétrique. La mise en perspective est soignée, tous

l’éducation - la mythologique antique - le bonheur - la beauté du corps humain Sfumato : comme si la peinture était enfumée, floue. L’architecture a développé les coupoles. L’art gothique est plus verticale et l’art roman, l’art de la Renaissance est plutôt horizontal et plus axé dans l’harmonie. François Ier, Roi de France était

était un enfant le place comme apprenti dans l'atelier de Verrocchio, à Florence. À vingt ans, il rentre à la Guilde des peintres, et débute sa carrière par des œuvres importants comme L'Annonciation et au même temps il améliore la technique du sfumato (impression de brume). Après avoir fait La Vierge aux rochers, pour la chapelle San Francesco Grande, et la statue équestre de Francesco Sforza, il trouve la gloire en Italie. De 1495 à 1498 il réalise la Cène pour les Dominicains de Sainte-Marie-des-Grâces

Mona Lisa » Le tableau est connu, en particulier, pour l'insaisissable sourire sur le visage de la femme, dont les experts s'accordent à dire qu'il s'agit de Lisa Gherardini. TECHNIQUE Le flou du tableau, caractéristique de la technique du sfumato (qui signifie « enfumé »)est un effet vaporeux, obtenu par la superposition de plusieurs couches de peinture très délicates qui donne au tableau des contours imprécis. Elle est l'une des quatre méthodes de peinture canonique de la renaissance et

d’un tableau, possède fréquemment des propriétés physiques tout à fait différentes de la couche de peinture. L’image mythique de « La Joconde » a été peinte sur un mince panneau de bois de peuplier selon une technique maîtrisée par l’artiste dite sfumato. Le motif a été dessiné sur plusieurs couches d’enduit avant que ne soit entrepris le travail à l’huile, additionnée d’essence très diluée. Pour affiner le modèle de ce visage au sourire énigmatique et pour jouer avec les subtils effets de lumière