Simmel La Confiance

inspirera de nombreux sociologues dont DURKHEIM qui distinguera 2 types de solidarités : la mécanique et l'organique. SIMMEL part d'une conception de la société qui est différente de celle de DURKHEIM et qui va marquer la tradition allemande. Pour SIMMEL la société existe là ou plusieurs personne entre en action réciproque soit qu'elle collabore soit qu'elle s'oppose; SIMMEL ne s'intéresse pas à l'individu ni à la société mais à un niveau intermédiaire qui résulte de leurs interactions. Celui

surgissement de l’homme dans le monde offrant sa présence concrète. Le philosophe Heidegger théorise le concept de Dasein « être-là », et réserve uniquement à l’être humain la capacité d’exister. Également, la notion de regard est influente car selon Georg Simmel « l’oeil reçoit une fonction sociologique tout à fait unique en son genre » . Cette perception visuelle caractérise l’analyse par laquelle un individu ou un groupe d’individus perçoit son environnement. Le regard définit la vision que nous avons de

de tous les sociologues contemporains, celui qui me paraît connaître le plus à fond les œuvres de nos prédécesseurs, qui ne cesse de s'y référer et de prendre appui sur elles. Ses écrits nous reportent sans arrêt à Montesquieu, Tocqueville, Weber, Simmel, Durkheim, Pareto. Et c'est généralement pour faire un pas de plus, aller un peu plus loin dans la ligne logique de leur pensée. Il y a ainsi chez Raymond Boudon une fidélité créatrice aux « maîtres anciens », pour reprendre le titre du roman de Thomas

l‟objet de recherches importantes en sciences sociales. Georg Simmel, dans son ouvrage intitulé les pauvres 1 publié au début du XXe siècle, est un des premiers à soulever les éléments qui jetteront les bases de réflexions futures sur ce thème. Attaché à décrire les dynamiques sociales qui assignent certains individus au statut de pauvre, Simmel met en avant la difficulté à analyser cet objet en tant que « réalité sociologique 1 SIMMEL Georg, Les Pauvres. (Trad. de l’allemand par Bertrand Chokrane)

d’un lien social. La limitation d'utilisation de ce donc (sous forme de chèque cadeau) est la preuve d'une volonté de contrôler son utilisation (apprendre l'utile par exemple, avec un chèque-livres). 3/Conjurer la violence et inspirer la confiance : est-ce la mission de l’instrument monétaire ? Enfin, la monnaie contribue à la fondation et à la stabilisation d'une société : Marx, dans Le Capital, explique que la monnaie masque les rapports sociaux : c'est par les échanges que s'instaurent

plus grotesques et insupportables seront les styles divers qui feront tour à tour sensation. » [23] III. Distinction Le concept d’imitation dont Gabriel de Tarde avait fait le principe même d’explication de l’évolution générale des sociétés, Georg Simmel le reprend à son compte et, s’il ne lui donne pas une extension aussi large, il l’applique plus particulièrement si ce n’est exclusivement à la mode dans l’essai qu’il consacre à celle-ci en 1895. Il explique tout d’abord qu’« en imitant, nous renvoyons

pouvoirs politiques et totalitaires. Opération visant à discréditer quelqu’un. 2. la mystification « La façon dont tu vois les choses n’est pas correcte, voilà comment tu devrais faire », ce qui porte l’émetteur du message à se demander s’il doit faire confiance à la personne qui lui à répondu ou à ses propres sens. Donc A nie la perception de B et donne son avis (on le retrouve souvent dans la communication quotidienne). Mystification politique : l’individu soit garde son intégrité, soit a une bonne relation

Définition institutionnelle de la monnaie. Institution : règles sociales marquées par une stabilité et une durée relative. Aujourd'hui, la monnaie n'est plus supportée par son support (or, argent...), c'est une institution, c'est à dire qu'on a confiance dans l'état qui est garant de sa valeur (la valeur intrinsèque d'une pièce de 2€ est nulle). Très tôt, l'or et l'argent se sont imposés naturellement comme monnaie du fait d'un certain nombre de caractéristiques physique, la divisibilité (contrairement

travaux concernent donc l’Antiquité greco-romaine, mais Veyne est historien hétérodoxe. En effet, il traite de sujets proche de la religion (christianisation) mais surtout de la philosophie (Les Grecs ont-ils cru à leur mythes ?). Influencé par Weber, Simmel, il écrit ses livres sur des valeurs nietzschéséennes (y comprit le présent livre, qui est son œuvre la plus célèbre). Outre ce dernier, Comment on écrit l’histoire, est également un de ses ouvrages majeurs, avec l’Empire gréco-romain (prix Chateabriand)

provenant de sept pays occidentaux : France, Angleterre, États-Unis, Suède, Italie, Allemagne de l’Ouest et Canada. Les sujets retenues par Boudon portent sur quatre points principaux : attachement à certaines valeurs (famille, fidélité, travail), confiance envers la politique et ses institutions, sens du sacré et du religieux (croyances en une forme de survie après la mort, à l’âme, au divin), respect et tolérance envers la différence (ethnique, sociale, religieuse, comportementale, d’orientation sexuelle)