Simmel Les Pauvres

Simmel : Philosophie de l’argent Pourquoi ce titre de Philosophie de l’argent ? 1. L’en-de ça et l’au delà de la science économique  Simmel l’explique dans sa préface : « s’il doit y avoir une philosophie de l’argent, elle sera en-de ça et au delà d’une science économique de celle-ci ». L’intension de Simmel est de montrer que l’argent est un phénomène intellectuel total dont l’analyse ne peut pas être laissée à la science économique seule. Celle-ci l’étudie du point de vu de ses

une date clé : 1834, abrogation du SPEENHAMLAND Act. Le Speenhamland Act s′inscrit dans une série de lois sur les pauvres en Angleterre, mettant en place un revenu minimal pour les pauvres. Le pauvre doit être inscrit, pour bénéficier de ses révenus, sur les registres de sa paroisse. L′abrogation de cette loi, l′une des dernières lois sur les pauvres, est importante car pour les pauvres, le seul moyen de survivre est de se présenter sur le marché du travail, de devenir un prolétaire, un offreur de

intérieure pour les livraisons, des pièces aux étages pour les serviteurs. La pauvreté et l’exclusion sociale Simmel conçoit le rapport aux pauvres à travers le principe de l’assistance, relation entre pauvres et non pauvres. Une approche fondatrice, Georges Simmel. Les pauvres 1908. S’inscrit dans la sociologie traditionnelle allemande. (Configuration sociale) Pauvre : Rapport de tension, déséquilibre dans la société => volonté de maintenir un équilibre social (trop de pauvreté peut

permis l'essor de liberté des individus face aux choses et face aux autres individus : la monnaie permet aux Hommes de satisfaire leurs besoins mais elle permet aussi de les situer socialement. En effet, le besoin de distinction est, comme le souligne Simmel, un des besoins fondamentaux des individus : les consommateurs les plus aisés vont tendre à chercher de nouveaux biens afin de se distinguer des autres, ils seront ensuite "rattrapés" par les autres et ainsi de suite. Il a favorisé également le caractère

chez Simmel dans son œuvre Philosophie de l’argent dans les sections 1-2 du chapitre III et est présente dans L’Avare de Molière de 1668 et L’Argent de Zola de 1891. Il peut être étonnant qu’un objet abstrait puisse diriger notre monde matériel, mais l’on constate qu’il peut posséder une énergie colossale ; énergie qui dépend de l’essence même de l’Argent. Comment peut-on considérer qu’une abstraction peut être toute puissance, régissant les choses et êtres sur Terre ? Selon Simmel, L’argent

ou représente-t-il l’aliénation, un obstacle à la liberté ? En résumé quelle est la place de l’argent dans la société moderne et son lien avec la liberté ? « L’argent libérateur » est sans doute l’un des thèmes les plus importants de l’œuvre de Simmel. L’argent est très souvent associé à l’idée de liberté. Lorsque l’on pense argent on pense souvent à la puissance, la possession, au luxe, un bon niveau de vie,… une multitude de choses que l’on relie à la liberté. Il ne faut cependant pas oublier

au   défaut   du   troc  ;   ce   dernier   était   en   effet   limité,   il   supposait   que   les   échangeurs   veuillent  réciproquement  de  leurs  biens  respectifs.     Simmel   le   définit   ainsi,   «  l’argent   est   tout   simplement   ce   qui   vaut,   et   valoir   en   économie,   cela   veut   dire   «  pouvoir   s’échanger   contre   quelque

dans cette perspective l’argent ne peut que faire le bonheur des pauvres de même que la famille ne peut faire que celui des célibataires, la santé celui des malades. La théorie du manque présent – même étendue à l’idée de manque potentiel – décrit donc incomplètement les conceptions possibles du bonheur et il faudrait sans doute la compléter avec la conception plus antique du bonheur comme absence de trouble ou comme plaisir. Simmel, dans son chapitre intitulé « l’argent dans les séries téléologiques

dans la notation, de la clarté de l’expression et du soin apporté à la présentation. Sujet = La pauvreté est-elle toujours source d'exclusion sociale ? DOCUMENT 1 – Nombre de ménages sous le seuil de pauvreté monétaire en France 1970 Nombre de pauvres en milliers (seuil à 60%) Seuil de pauvreté en €2007 par mois pour une personne Taux de pauvreté de l’ensemble (seuil à 60%) - De retraités - Etudiants de 18 ans et + - Familles monoparentales 8 649 460 17,9 32,0 11,2 ~ 1 1979 7 454 666 14,2

Comment les fumeurs pauvres justifient-ils leur pratique et jugent-ils la prévention » démontre que le tabagisme est inégal selon les classes sociales. Les plus pauvres fumeraient plus que ceux appartenant à des classes sociales moyennes ou hautes, et auraient aussi plus de mal à arrêter de fumer. Patrick Peretti-Watel précise que pour définir ce qu’il faut entendre par « pauvre » dans son étude, il s’est appuyé sur la définition du sociologue Georg Simmel considérant comme pauvres « ceux qui reçoivent