Social-libéralisme

LES SITES http://www.larousse.fr/encyclopedie/nom-commun-nom/bourgeoisie/28294 La bourgeoisie. [En ligne].- Larousse.fr .[consulté le 21/12/2009]. Ce site nous montre que la bourgeoisie est en plein essor au XIXè siècle. Notamment grâce au libéralisme. Elle va plus tard avoir accès au pouvoir politique, consécration après le monopole économique. http://www.docstoc.com/docs/10569815/bourgeoisie---Lib%C3%A9ralisme-et-D%C3%A9finition Adeline Daumard, les bourgeois et la bourgeoisie en France depuis

systèmes politique, social et culturel ancrés dans la société européenne depuis des siècles. Néanmoins, elle marque surtout les esprits par sa radicalité et ses tournures violentes qui ont atteint leur summum pendant la Terreur. La crainte de la diffusion de ce processus, remettant en cause l’ordre chrétien et monarchique, émerge partout en Europe à travers l’affirmation du conservatisme. Etre conservateur implique l’attachement aux valeurs traditionnelles (conservatisme social, moral ou religieux)

que cet ordre naturel est le plus apte à garantir la prospérité nationale. Tel est le fondement du libéralisme l’ordre spontané est bien meilleur pour la nation que les arrangements définis par un souverain ou un état. En conséquence de quoi, l’état se limite à la sécurité, a la justice a l’ordre public, c’est la thèse de l’état gendarme. D’ailleurs la ppté privée est le fondement même du libéralisme. La DDHC votée en 1789 proclame le droit de ppté comme un droit inviolable et sacré. Le code civil

commencer à penser le peuple en tant qu'entité singulière et théoriser sa fonction politique. Certains penseurs comme Rousseau vont remettre en cause cet absolutisme propose de penser le peuple comme base de tout pouvoir par le biais d'un contrat social qui lui permette de vivre en société. A travers l'étude de l'idéologie de quatre penseurs européens, on peut se demander comment l'idée de peuple s'est politisée ? Nous étudierons dans une première partie le peuple en tant que sujet asservit

ces interventions de plus en plus nombreuses, l’Etat passe de protecteur à acteur du processus d’exploitation. Si au premier abord WEBER semble suivre les traces de MARX, pour lui, le capitalisme ne désigne pas directement un système économique et social. Pour lui il faut partir de l’individu. Le terme désigne alors un modèle de comportement économique qui, en se généralisant, conduit à la formation d’une structure économique permettant la recherche rationnelle du profit. C’est un capitalisme sous

Saint-Simonisme (il a rencontré Gustave d'Eichtal à la London Debating Society en 1828). C'est dans ce cadre qu'il noue ses premiers liens avec Auguste Comte. L'insistance mise par tous ces auteurs sur la nécessité d'un pouvoir spirituel créant du lien social, de même que leur prise en compte des dynamiques historiques, lui paraît venir compenser la sécheresse et l'abstraction de la philosophie utilitariste. La rencontre avec Harriet Taylor en 1830 marque le début de la troisième phase: celle d'une synthèse

être matériel ou immatériel (pub, formation, R&D, logiciel) Cotisation sociales = c’est un prélèvement obligatoire payé par les entreprises et les travailleurs, calculé sur les salaires («  les charges »). La part payée par les travailleurs : salaire brut – salaire net (une fois la cotisation enlevée). II. Les courants de pensée économiques Le CAPITALISME = 2 grands courrants de pensée A) Le libéralisme : A partir du XVIIIème siècle. B) le keynésianisme 1) le contexte

Les grands courants de la théorie économique : les fondements du libéralisme. Le libéralisme a 2 principes fondateurs : le respect de l’ordre naturel (l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie) et l’agrégation harmonieuse des comportements individuels. Le concept de l’ordre naturel se retrouve chez tous, que ce soit chez les physiocrates, les classiques ou les néoclassiques. Le second principe veut dire que chaque individu, en cherchant son intérêt personnel œuvre, sans le vouloir

satisfaction du corps et de l’esprit en opposition avec la souffrance, l’inquiétude, le trouble. Le bonheur renvoie bien à une notion d’individu en faisant référence au corps et à l’esprit. Néanmoins, l’individu ne trouve son origine que dans le groupe social auquel il est intégré. Personne ne trouve l’épanouissement sans être lié à une culture, à une appartenance, à une société. Et la société induit l’Etat pour exister. Cependant, l’Etat peut-il être le garant du bonheur de tous s’il ne laisse pas

Dans un contexte où les élus n’arrivent plus à attirer la confiance du peuple, dans un contexte où les gouvernements, tous autant qu’ils sont corrompu, il est possible de sentir un malaise. Un malaise purement social, un malaise qui signifie que nous en pouvons plus. Que le système dans lequel nous vivons a atteint ses limites. Que nous détestons tous cette manipulation que le gouvernement use jour après jour pour nous imposer ses idées. Un ras-le-bol collectif de cette envie de toujours avoir