Société coopérative et participative

sociale des acteurs impliqués dans le secteur agroalimentaire et dans la lutte contre la faim et la pauvreté au Burundi; 3- Repérer les mécanismes de coopération entre les services publics et les instances internationales ainsi que l’implication de la société civile 4- Connaître les forces et les faiblesses de la population burundaise ainsi que son potentiel pour ensuite faire l’analyse de leur responsabilité avec un regard éthique 5- Développer des aptitudes afin d’accompagner ceux qui feront un stage

partie de ce rapport : consiste à présenter INDH de manière générale, sa définition, Historique d’INDH, Analyse le besoin d’INDH. Nous sommes intéressées dans la deuxième partie : l’inclusion économique des jeunes, sa définition, enjeux de la société sur l’inclusion économique des jeunes et aussi le domain e de développement de l’inclusion économique des jeunes. Dans la troisième partie de ce rapport en va terminer par une discussion et une conclusion générale. Par : Wahiba KAIBOUSS FACULTE

l'autre sur une proposition d'outils de suivi permettant d'observer l'évolution de ces données tout au long du projet. Le projet ayant une vocation pérenne, il faudra inventer des outils de suivi (tableau de bord) ainsi qu’une instance de pilotage participative (comité de pilotage composé de jeunes, de parents, d’élus, de responsables associatifs …). La méthode de recueil Tableau de bord : Outil de recueil de données et de suivi du projet d’action. Cet outil servira d’état des lieux, il sera source

Programme des subventions ROCARE pour la recherche en éducation / ERNWACA Research Grants Programme Edition 2008/ 2008 edition LE ROLE DE LA SOCIETE CIVILE DANS L’EDUCATION A LA CITOYENNETE AU TOGO Chercheurs/Researchers • • • • KOKODOKO Ayélé Yentineko, Doctorante en Anthropologie, Université de Lomé KOSSI Sénamé Dodzi, Doctorant en Sociologie, Université de Lomé SEWAVI KoKuvi Fiomegnon, Doctorant en Sociologie, Université de Lomé TEBIE Pézalowè, Doctorant en Sociologie, Université de Lomé Parrain/Mentor:

cohérente de ces multiples variables organisationnelles au travers d’un modèle que nous proposerons à la fin de notre travail. 4.5) LA DYNAMIQUE DU CHANGEMENT DANS L’ORGANISATION INTEGRANT SAP : Nous avons remarqué qu’il existait, dans la société S A, « un double processus de structuration; le premier se développe lors de temps forts de la vie de l'entreprise » lors de choix stratégiques au niveau du couple produits / marchés, « le second, plus diffus, se manifeste d'une façon continue, sous

sont : – le respect des droits fondamentaux (les droits de l’homme, les libertés publiques) ; – le respect de la liberté du travail ; – l’existence d’une concurrence saine et loyale. 3 Le rôle du droit est d’organiser la vie des hommes en société. Le droit accorde des libertés mais il est nécessaire que chacun respecte le droit des autres. Selon l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme « toute liberté consiste à pouvoir faire ce qui ne nuit pas aux autres ». Ainsi, la liberté

.........17 Les écoles...........................................................................................................18 Les groupes d’influence.....................................................................................18 La société civile..................................................................................................18 Les consommateurs............................................................................................19 III - Des origines au concept

la communication interne misant sur les relations interpersonnelles : 104  Le « réseautage » : 106 4. Conclusion : 111 4.1. La réactualisation de l’idée autogestionnaire dans les nouvelles théories organisationnelles : 111 4.2. La société de l’information, de la communication et de la connaissance comme terrain propice au renouveau de l’idée autogestionnaire : 112 4.3. Le renouveau de la pensée autogestionnaire comme système organisationnel alternatif ? 113 4.4. L’intégration

Politique Nationale de l’Emploi en 1997. Cependant, malgré l’existence de cette politique qui a fait l’objet d’un large consensus entre représentants de l’Administration publique, des syndicats de travailleurs, des organisations d’employeurs et de la société civile et qui constitue le cadre de référence des actions et stratégies en matière d’emploi, force est de constater qu’il n’a pas encore été possible de la mettre réellement en œuvre pour juguler durablement le chômage et le sous-emploi. La situation

et du potentiel qui pourrait être réalisé à travers un développement planifié et une valorisation structurée de l’ensemble des atouts et attraits que recèle cette zone. Ce but pourrait être atteint moyennant la mise en place d’une approche participative permettant la convergence des actions des différents acteurs sur le territoire et la mutualisation de leurs efforts pour réaliser des objectifs précis et concrets. Au delà des limites dues aux faiblesses en matière de planification et de pilotage