Sociologie Leadership

Le leadership entre humanisme et pragmatisme Margot Phaneuf, inf. PhD. Introduction Le personnel des équipes de soins souvent surchargé de travail et dépassé par les exigences du milieu hospitalier ou communautaire se trouve parfois démotivé et pas toujours très enclin à évoluer et à acquérir de nouvelles connaissances ou à développer des comportements plus adaptés aux réalités actuelles du monde médical et professionnel en constante évolution. Les chefs d’équipes, les cadres et toutes les

la disparition. De plus son mode de commandement très directif et centré sur la personne d’un PDG charismatique est difficilement transférable et peu acceptable venant d’une autre personne. Tim Cook, reconnu bon manager et organisateur n’a pas le leadership et le charisme de son ancien patron. Il faudra donc à l’entreprise trouver un nouveau mode de management des ressources humaines sans perdre la culture de qualité et d’innovation de l’entreprise. 6- Proposez des solutions possibles pour Apple

famille, fidèle, bon travaillant, respectueux, patient, sincère, diplomate, empathique, à l’écoute et soucieux de l’environnement. • Défauts : Traditionnel, déteste le changement et les risques, lent, réactif, routinier, manque d’ambition et de leadership, ne s’exprime pas assez et manque de confiance en lui. • Besoins : Famille, sécurité, stabilité, honnêteté et loyauté. LE BLEU (14% de la population) • Qualités : Intelligent, analyste, rationnel, organisé, structuré, ordonné, responsable

Par ailleurs, au sein des entreprises privées, et dans un contexte extrêmement concurrentiel, les stratégies s’apparentent à l’art de la guerre. Des batailles titanesques opposant les grands groupes pour prendre des parts de marché et imposer leur leadership. Les bons leaders apportent une vraie valeur ajoutée à leur organisation, ils constituent une force motrice pour l’ensemble du personnel. Ils décident des buts et de l’avenir de l’entreprise et ils coordonnent les orientations stratégiques des

Leadership et communication Dans cet article et à partir de son expérience professionnelle l’auteur nous parle de l’importance de la communication dans le leadership. Pour lui on ne peut parler de leadership sans qu'il soit question de communication et d'image. Il aborde d’abord le secret de succès d’un leader. Pour lui ce dernier doit être humble, discret, ambitieux et œuvrant non pas pour ses propres intérêts mais plutôt pour le bien de l’entreprise, il doit bien choisir son entourage, bien étudier

exemplaire. LEWIN : Le leadership autoritaire : le chef décide seul, dirige en donnant des ordres et se tient à distance du groupe. Absence de cohésion de groupe et pas non plus de réelle adhésion aux objectifs. Le leadership démocratique : Il fait participer le groupe à la décision des objectifs et aux choix des modalités d’action. Il les encourage, fait preuve de créativité.. Nécessite un temps d’apprentissage pour l’autonomie dans le travail qui est importante. Le leadership laxiste : Il ne s’implique

culture est un facteur clef de succès qui a largement contribué à la réussite des entreprises américaines de la manière suivante : o Une vie sociale informelle au sein de l’institution. Ceci renforce les liens entre les salariés qui favorisent le leadership plutôt que le rapport d’autorité. o Les américain ont tendance à etre « straight forward ». ils vont droit au but et affrontent leurs problèmes d’une manière pragmatique. o Le sens de la compétition. La concurrence est établie tant sur le plan

communication verticale et horizontale et une interaction des rapports de coopération ainsi que des décisions collectives. B. Les 5 styles de leadership de Blake et Mouton Blake et Mouton ont construits une grille managériale qui propose une représentation à 2 dimensions du style de leadership (cf. grille). Il existe donc 5 styles de leadership : le leadership autocrate : ne tient compte que de la production et se désintéresse des personnes le leader social : prête une attention prioritaire aux

• Chaque phase se termine par une crise qui permet une transition vers la phase suivante et par un changement de structure. L’utilité des crises dans les entreprises. • Selon Larry Greiner, les 5 phases sont : • Créativité  Crise de leadership • Direction  Crise d’autonomie • Décentralisation  Crise de contrôle • Coordination  Crise de bureaucratie • Collaboration  Crise de saturation psychologique • Externalisation 2) La gestion du changement organisationnel. Crozier

Document n°5 : 1) Les trois styles de leadership mentionnés sont : * Le style autoritaire : le leader établit toutes les directives mais s’abstient de participer au travail de groupe. Il est directif, autoritaire, distant du groupe, il ne donne que des ordres. * Le style démocratique : il est semi-directif c’est-à-dire que le groupe délibère sur les directives générales. Il y a discussion, échange de suggestions. Le leader tranche, donne des conseils mais ne participe pas trop au travail