Socratique

sont les valeurs que l'on doit défendre. En d'autres termes: n'être (et se savoir) ni animal ni divin, prendre la mesure de l'humanité moyenne en fuyant l'ubris (démesure ou violence). Le "je" subjectif n'est pas en cause, parce que la conscience socratique est d'abord à portée morale. B. Du "Que?" au "Qui?" Se définir comme homme - et quel que soit le sens que l'on donne à ce terme-, c'est davantage répondre à un "Que suis-je?" qu'à un "Qui suis-je?". Saisir la spécificité du "qui" implique

également écrit une apologie de Socrate. II) Comprendre A. Le sujet traité. Cette œuvre a été écrite par Platon sous la forme d’un véritable discours, celui qu’aurait prononcé Socrate devant le Tribunal. Elle fait partie des dialogues socratiques, œuvres de jeunesse de Platon. Ce texte se déroule en trois parties. Dans la première, Socrate nie être coupable et essaie d’argumenter en sa faveur (17a-35d). Les juges votent pour une condamnation à mort et la seconde partie voit notre accusé

Le banquet : dialogue socratique où l'on retrouve le thème de l'amour sumposion: mot grec pour désigner le banquet ==> réception, fête mondaine avec discours divers Ce banquet : Agathon (jeune auteur de tragédie) a gagné un concours de tragédie, il organise un banquet mais il fini en beuverie --> il ne peut donc faire de discours. Le lendemain il refait une soirée plus intime, chaque convié doit faire un éloge de l'amour. Longue nuit, éloge, discussion, multiple incident.Platon a choisi

réflexion. Il ne s’agit pas d’affirmer et de construire une théorie ou un modèle social, mais de conduire le lecteur à remettre en cause le fonctionnement de la société européenne. Grâce aux dialogues, Diderot retrouve de façon implicite la maïeutique socratique. Le texte du Supplément doit faire débat entre les lecteurs comme entre A et B. C’est la raison pour laquelle la cohérence des discours n’est pas recherchée. Il n’y a pas de système de vérité chez Diderot. Le discours du vieillard et celui d’Orou

devra quitter Vienne suite à l’anschluss en mars 1938 pour Londres ou il mourra un an plus tard d’un cancer à la mâchoire. Freud était un génie de la pensée qui a révolutionné notre façon de nous connaitre. Avec Freud le «  connais-toi toi-même » socratique a pris un nouveau sens . Définition de l’inconscient de Freud : L’interprétation des rêves est un ouvrage analytique qui s’appuie sur ses théories (qui deviendra la métapsychologie= ensembles des concepts théoriques de Freud), et qui fit connaitre

mon maillet et mon ciseau, c’est à dire ma volonté et réflexion intellectuelle, pour découvrir cette Pierre philosophale, qui dans la lumière me mènera à la transformation et l’éveil spirituel. « Connais-toi toi-même » Cette fameuse phrase Socratique, est une invitation à plonger dans les profondeurs de notre intériorité, afin de savoir qui nous sommes, sans crainte de découvrir ce qu’il conviendra de corriger. Mais au-delà, ces quatre mots, hormis l’interprétation que j’en fais restent pour

déjà traversé des crises analogues : - la science de la nature en Grèce, conduite au point de vue de la nature elle-même ; d’où le problème posé par les sophistes de savoir si arts, institutions, vertus conservaient quelque valeur ; protestation socratique - fin du Moyen-âge ; constitution d’une science à laquelle l’homme n’a qu’à se soumettre ; Rabelais, Montaigne « Science sans jugement n’est que ruine de l’esprit » ; avec Descartes, triomphe de la culture consistant dans la culture de la raison

oui mais l’érudit est-il aussi libre que le sens commun veut bien nous laisser croire. De l’érudit ou de l’ignorant lequel est le plus libre ? Qu’elle est cette force qui les pousse à se dépasser ? « Je sais que je ne sais rien » cette parole socratique nous plonge immédiatement dans le cœur du sujet car on ne parle pas de savoir qu'à telle heure on doit faire telle ou telle chose. On évoque le savoir qu’on croit détenir à un niveau plus fondamental. Savoir comment évoluer intérieurement, comment

accusations qu’il estime mensongères et partie intégrante d’un complot dont il sait les rouages bien huilés. Il va essayer de réfuter chaque accusation qu’on lui porte à l’aide d’exemples, de récits, de témoins et de contre exemples et d’un dialogue socratique – le dernier qu’il fera, peut être. C’est assez efficace car souvent, il montre qu’il aurait pu faire ce dont on l’accuse, mais que justement, non. Socrate est également très lucide sur sa position et les chances réelles qu’il a de s’en sortir

Gorgias (Platon) Gorgias est un dialogue écrit par Platon. Il illustre la recherche socratique d'une science du bien : il s'agit de s'interroger sur la rhétorique, « l'art de bien parler » que Gorgias enseigne à ses élèves, et qu'il affirme être le meilleur de tous les arts exercés par l'homme. Seulement, il rencontre et dialogue avec Socrate, qui n'a pour fin que de trouver la vérité et de la partager, tout en visant et en faisant l'éloge d'une vie juste et bonne. Dans ce livre, Socrate dialogue