Solipsisme

Keyne PEKAR – Tle G05 – Philosophie : Dissertation – La conscience de soi suppose-t-elle autrui ?SUJET DE DISSERTATION :« La conscience de soi suppose-t-elle autrui ? » PlanI. La prise de conscience de soi n’engage que l’être que nous incarnons, expression de l’essence, icelle, émanant de l’enveloppe corporelle dont chaque individu est constitué, la définissant subséquemment à un acte de solipsismea. La conscience de soi est un rapport immédiat ou réfléchi qui ne nécessite pas les autres ; ainsi

dans le temps, et surtout partie d’un égoïsme conscient (j’ai pitié de l’autre, car je m’imagine dans la même situation, et c’est cela qui me fait mal.). la pitié est davantage une compassion nourrie par la contagion des consciences, qui déborde le solipsisme, la solitude métaphysique héritée du cogito, pour participer littéralement à la douleur de l’autre. De même la sympathie est cette capacité à reconnaître dans l’autre un semblable qui ressent, qui pense, qui s’émeut tout comme moi. Le respect enfin

ses mains » (l.5) ou encore qu’il « écure ses dents » (l.11). De par cette attitude, La bruyère révèle le véritable défaut de son personnage qui est l’égocentrisme. On peut maintenant évoquer le penchant égoïste de Gnathon qui va même jusqu’au solipsisme. Commençons par l’omniprésence du personnage dans le texte qui débute par : « Gnathon ne vit que pour soi » (l.1). Aussi, chaque phrase est engagée par le pronom personnel « il », le désignant ce qui donne une progression à thème constant sur Gnathon

l’esclave. Si autrui n’a pas été problématisé dans la philosophie classique, c’est parce que la présence des autres était évidente et ne posait pas plus de difficulté que celle des objets. Ainsi, le cogito de Descartes n’est pas l’expérience du solipsisme puisque autrui est contenu sans être explicite (étant donné que la pensée est universelle). l’enjeu d’une rencontre est la reconnaissance de soi pour l’autre. Cette reconnaissance peut prendre des figures ou des formes différentes telles que le

minutie qui pousse à l'interrogation et à la réflexion, là où auparavant ça ne nous serait pas venu à l'esprit (la lutte des 3 classes à travers le temps, par exemple). Mais d'autres encore sont incroyables et perturbants, comme tout ce qui touche au solipsisme (notion que j'ignorais jusqu'alors et pourtant au combien intéressante), et de manière plus générale tout ce qui se rapporte à la perception de la réalité, de l'histoire et à l'exercice de doublepensée. Si 1984 n'aura donc peut-être pas été pour

soi. 3/ on a besoin des autres pour se construire soi-même, notre identité se construit à travers les autres S’interroger sur le rôle de la solitude dans la vie collective, chez un animal politique qui a besoin des autres. Dans la philosophie du solipsisme, on ne peut être soi que par une étape où on ne pèse plus aux autres, on imagine même ne plus exister. Pour Descartes il faut imaginer qu’on n’existe pas pour exister. Il reconstruit la présence des autres. Il applique les idées claires et distinctes

écrite dans un livre sacré, la bible. Les théologiciens vont démontrer les vérités absolues du christianisme. En outre, la théologie se nourrit de la bible qui est des idées, fondée par des dogmes. Descartes Deuxièmement, Descartes est dans le solipsisme, c'est-à-dire qu'il doute de tout. Pour lui, la certitude absolue c'est la connaissance dont il est impossible d'avoir le moindre doute. Pour reconnaitre ce qui est vrai, il utilise la méthode du doute, la première est organisée comme un tami, il

infinie liberté *p233 T16, SPINOZA : C’est par la médiation de la loi qu’on trouve la liberté. La liberté dépend de la raison du pouvoir (si c’est pour mon bien), sinon on devient « esclave » (ex : addiction à la cigarette) Transition : Solipsisme =attitude du sujet pensant pour qui sa conscience propre est l'unique réalité, les autres consciences, le monde extérieur n'étant que des représentations = disfonctionnement de la pensée consistant à croire que l’on est à soi seul et par soi-même

drame. Hoederer représente le pragmatisme matérialiste qui a infiltré le marxisme pur et qui est en train de le déformer. Cependant, Hoederer mène une politique qui est applicable en collectivité, tandis que la phénoménologie d’un Hugo mène à un solipsisme qui isolera l’individu de la possibilité d’agir en responsabilité envers le monde autour de lui. Sartre rejette les deux caractères, ce qu’il souhaite est une solution intermédiaire : une philosophie politique qui unira l’humanisme et le sens de

penser et pour penser il faut exister. Tout ce qui se rapporte à la certitude fait tomber le doute. Cette certitude dépasse le doute, donc devient la vérité. Certitude résiste au doute. Descartes est dans un ensemble et il en est l’élément. Solipsisme : situation qui arrive lorsqu’il est le seul être existant et qu’il ne peut trouver (prouver) d’autres existences que lui. Sens commun= on ne comprendra pas Descartes donc il faut suivre son jeu, comprendre sa pensée, accepter ce qu’il dit puis