Solipsisme

ne découvre pas autrui en le regardant mais en se sentant regardé par l’autrui. Le regard d’autrui me dépossède de ma liberté en fessant de moi un objet. Pourtant si autrui ne me percevait pas, je serais une conscience enfermée sur elle-même (solipsisme). Je m’apparais à moi-même quand j’apparais à l’autrui et je d »couvre saliberté. La relation avec l’autre est placée sous le signe de la dépossession, de l’aliénation. Je deviens un être-pour-autrui. 3. La dialectique amoureuse. Pour cette

cogito 38) définition de la pension selon D et sa conséquence : l’impossibilité de douter que je pense douter est une forme de penser donc en mettant tout en doute ,D prouve qu’il pense. Si je pense c’est parce que j’existe 39 ) le solipsisme Ayant douter de tout , le sujet pensant a une seule certitude : l’existence & sa pensée. Il est son seul sujet. le pb du rapport entre l’esprit et le corps 39) le dualisme/ le monisme dualisme : l’esprit et le corps sont deux

notre but principal) amour propre nous empêche paradoxalement d’aimer : Les Métamorphoses Ovide  absence du rapport à l’altérité conduit Narcisse à sa perte : il est enfermé dans le solipsisme au point de se noyer en voulant étreindre cet autre qui n'est jamais que lui-même → "l’objet de tes désirs est une chimère"A l’inverse, dans la même œuvre d’Ovide, L’amour que l’on porte aux autres serait le plus haut degré

il. Non content d’avoir un comportement répugnant, Gnathon est parfaitement insensibles aux autres. Sa boulimie n’est pas l’expression d’un manque : elle n’est que la traduction physique de son incapacité à partager. - On atteint à une forme de solipsisme : Gnathon conçoit le monde entier autour de sa personne. Ou plutôt : ce monde n’existe qu’à condition de satisfaire immédiatement ses désirs. - La goinfrerie n’est donc qu’une des conséquences visibles du pourrissement moral d’un individu que l’égocentrisme

folie de Salomé qui se sépare progressivement du monde extérieur. Elle a tué par amour et veut rester seule avec l’objet de son amour. Elle écarte toute complicité, son seul confident est le fou (élément historique et porteur de la notion de solipsisme théorie ne reconnaissant, pour un individu, pas d'autre réalité que lui-même) et se réfugie dans la danse. Le motif de la décapitation est récurrent dans Alcools : Zone, Brasier, Les fiançailles se situent dans la logique mort/renaissance d’où le

elle a parlé/ j’ai dit… » Jamais il ne prend l’initiative d’engager le dialogue ! 2) Par ailleurs, comment ne pas être frappé par l’omniprésence des pronoms personnels, « elle/je » enfermant les personnages dans leur individualité, voire dans leur solipsisme, du latin « solus » signifiant « seul », terme suggérant que chaque personne est renvoyée inexorablement à sa solitude ! A aucun moment ce « elle » et ce « je » ne fusionnent, se rassemblent en un « nous », qui serait celui du couple ! 3) Cette

montre Descartes à travers l’expérience du « je pense donc je suis ». Après avoir douté de tout, une vérité s’impose à moi comme une évidence :ma pensée. Peu importe si ce que je pense est vrai ou faux, je ne peux douter de ma pensée existante. Le solipsisme illustre alors qu’il n’y aurait pas d’autres certitude pour le sujet pensant que lui-même.  « Nous sentons alors son existence et sa continuité » : chacun de nous peut « sentir » son existence en permanence et cette identité est certaine, indubitable

négation, mais comme approfondissement de notre propre singularité Maintenir le cap sur l’identité -je vous en donne l’assurance -, ce n’est ni tourner le dos au monde ni faire sécession au monde, ni bouder l’avenir, ni s’enliser dans une sorte de solipsisme communautaire ou dans le ressentiment Notre engagement n’a de sens que s’il s’agit d’un ré-enracinement certes, mais aussi d’un épanouissement, d’un dépassement et de la conquête d’une nouvelle et plus large fraternité Mes chers amis. Mesdames

monde apporté par ma conscience est réelle? Comment la conscience peut-elle être certaine de la réalité extérieure? Le philosophe Berkeley a du entièrement remettre en cause cette réalité pour en est arrivée à une explication possible tirée du solipsisme, à savoir que la réalité extérieure n'existe pas , que tout vient de nous. On pourrait par exemple aussi se questionner sur la légitimité de nos perceptions. Peut-on faire confiance à nos sensations, nos perceptions? Dans ce cas il faut engager

pas tout à fait différent de nous, un autre « moi » qui nous confirmerait que le « moi » d’origine existe bel et bien. Seul autrui peut alors me garantir que je ne vis pas dans un monde de délire, seul autrui peut m’aider à écarter le risque du solipsisme. Enfin, Le fait d’être conscient de soi même serait en lien avec notre interprétation du « Je » Si il désigne l’être qui est dans chacun d’entre nous mais qui sans le savoir n’est pas tout puissant dans notre personnalité, opinions et