Sommes Nous Toujours Libres De Nos Choix

Les dieux sont-ils libres ? A cette question, a priori , la réponse est « oui ». En effet, la liberté, ou pouvoir de ne pas être empêché dans ses actions par un quelconque obstacle, vient, presque par définition, de la quantité de pouvoir d’agir dont on dispose. Or, des dieux, on dit souvent qu’ils sont omnipotents, c’est-à-dire disposant de tout pouvoir. Leur action ne rencontre aucun obstacle. Ils semblent donc être libres. Cependant

entreprises sont-elles vouées à une réussite inexorable par le simple fait que nous les ayons engagées ? En un mot, est-on toujours maître de ce que l’on fait ? Avoir conscience de ce qui est, c’est opérer une distinction entre sujet et objet. Avec la conscience, on se distancie avec ce qui est. On vise, ou pour le dire autrement, d’après Husserl, la conscience est toujours conscience de quelque chose. Il y a de l’intentionnalité pour ce qui est d’avoir conscience, laquelle autorise notamment

« Sommes-nous responsables de nos désirs ? » Le désir peut se définir comme une tendance consciente dirigée vers une fin connue ou imaginée, vers quelque chose que l’on juge agréable. Les désirs peuvent ainsi être constitués de biens matériels, de personnes ou même de choses immatérielles, comme la gloire, la puissance, la richesse, la beauté…etc. D’emblée, ils sont souvent associés aux manques. Ainsi on recherche en quelque sorte la disparition de la privation de leurs objets. A première

participer les dominés à leur domination. Ainsi, le tyran jette des miettes aux courtisans. Si le peuple est contraint d'obéir, les courtisans ne doivent pas se contenter d'obéir mais aussi devancer les désirs du tyran. Aussi, ils sont encore moins libres que le peuple lui-même, et choisissent volontairement la servitude. Ainsi s'instaure une pyramide du pouvoir: le tyran en domine cinq, qui en dominent cent, qui eux-mêmes en dominent mille... Cette pyramide s'effondre dès lors que les courtisans cessent

pièces de monnaie. Des petites pièces qui ont voyagé, traversé des mondes, pour être échangées, données, perdues, et retrouvées. Voici Janus, le dieu à part, le dieu des fins et des commencements, le dieu des passages, le dieu des portes et des choix. Il est doté d’une tête à deux visages opposés, dont les regards ne peuvent jamais se croiser ; une face vers le passé, l'autre vers l'avenir ; une face jeune, l’autre âgée ; une vers la naissance, l’autre vers la mort, une vers le visible, l’autre

venue l’envie de plancher sur ce thème. Parler de la liberté, comme seul concept, me paraissait plus vaste que d’y adjoindre l’égalité et la fraternité. Après un bref historique su la naissance de la devise, j’expliciterai comment les FM que nous sommes faisons vivre cette devise dans notre organisation et nos travaux, selon moi. Je m’appliquerai à analyser l’intensité des trois flammes de ce chandelier, bien de l’Humanité, dans la vie profane. La devise Liberté, Egalité, Fraternité est issue

en-soi, c'est la manière d'être de ce qui « est ce qu'il est », par exemple l'objet inanimé « est » par nature de manière absolue, sans nuance. L'être pour-soi est l'être par lequel le néant vient au monde (de l'en soi). C'est l'être de la conscience, toujours ailleurs que là où on l'attend: c'est précisément cet ailleurs, ce qu'il n'est pas qui constitue son être, qui n'est d'ailleurs rien d'autre que ce non être. L'être pour-autrui est lié au regard d'autrui qui, pour le dire vite, transforme le pour

Cependant, on peut s’interroger sur les limites de la conscience, car notre expérience quotidienne nous indique qu’il nous est difficile de toujours bien analyser nos actes et leurs causes, de prendre les décisions les plus opportunes, et plus généralement de comprendre le monde qui nous entoure. Ainsi on peut se demander si la conscience justifie toujours la confiance que nous plaçons en elle ou si elle ne produit pas des certitudes illusoires, ce qui remettrait en cause la souveraineté que lui

au Luxembourg, mais pas en France. Car en France elle ne possédait pas ce droit. Vous me direz, pourquoi mettre un terme à sa vie ? Pourquoi poser un point final si brutalement ? Et bien Clair n’a pas eu le choix, ou peut-être que si, nous avons toujours le choix après tout. Mais ce choix décisif, elle l’a pris. Car pour elle vivre c’est être libre, libre de marcher, de courir, de sentir les sensations sur son corps, de sentir le frottement de ses vêtements sur sa peau. Tout cela, vous et moi

allègue qu'il a été entraîné par des circonstances, des excitations, etc., il entend rejeter, pour ainsi dire, sa propre conduite hors de lui-même; il se réduit ainsi à l'état d'être non-libre, purement naturel, alors que sa conduite, en vérité, est toujours sienne, non celle d'un autre ni l'effet de quelque chose d'extérieur à lui. Les circonstances ou mobiles n'ont jamais sur l'homme que le pouvoir qu'il leur accorde lui-même. » Introduction Hegel philosophe allemand du XVIII-XIX siècle, dans