Sommes Nous Tous Encore Keynésien

de l’ensemble des administrations publiques => rentre dans la partie de PIB de non-marchand. L’Etat => quand évolue ses recettes et dépenses représente 20 % de PIB (marchand et non marchand) Les prélèvements obligatoires => fiscaux et sociaux que tous les acteurs payent (les entreprises, les salariés, les consommateurs) => 42% de PIB => très élevé, ne cesse pas à être augmenté. Qu’est ce qui représente les prélèvements de l’Etat et les collectivités territoriales ? => 20 points, et les prélèvements

marché du travail 6 2.1 Définition 6 2.2 Le Principe 6 3 Le chômage 8 3.1 Définition 8 3.2 Contexte historique 8 3.3 Le chômage selon les courants d’idée 9 3.3.1 Pour les libéraux (Travaillent sur l’offre) 9 3.3.2 Pour les keynésiens (Travaillent sur la demande) 9 3.4 Les différentes formes de chômage 11 4 Les causes du chomage 13 4.1 Les causes économiques 13 4.1.1 Le progrès technique et l’évolution de la productivité : 13 4.1.2 La crise économique et le ralentissement

que d’autres organismes centraux (ministères, universités ou Pôle Emploi par exemple). Ces APU mènent une action à l’échelle nationale. – Les administrations publiques locales (APUL) : les collectivités locales (régions, départements, communes) et tous les organismes publics gérés localement (lycées, collèges et écoles publiques par exemple). – Les administrations de sécurité sociale (ASSO) : ce sont les régimes d’assurance sociale et les organismes qui en dépendent (comme les hôpitaux publics).

sein de la théorie de l'agence, dans les rapports entre mandataires et mandants. Le phénomène de l'anti-sélection, reposant sur une asymétrie d'information, se concrétise, dans le domaine des assurances. On arrive à des situations de blocages, ou encore d'anti-sélection (sélection adverse) : en effet, dans le cas assureur-assuré, il se peut que le premier sélectionne l'individu le plus risqué pour signer un contrat, car l'assuré potentiel peut avoir retenu de l'information sur son passé de conducteur

mécanismes pour décider quels bien seront produit et en quelle quantité, et quels bien seront laissé de côté. Nous dirons donc qu'en raison de la rareté des ressources nous sommes contraints d'effectuer des choix et que pour atteindre certains objectifs nous devons sacrifier d'autre objectif. Toutes les sociétés mais aussi tous les individus sont confrontés à ce problème de choix, de ce qui sera produit, confronté au problème de la répartition entre les individus de la société. Première partie :

britannique John Maynard Keynes. Suivant cette théorie, l'État doit intervenir dans la vie économique pour y injecter les sommes nécessaires afin de relancer l'économie en cas de crise. Par cette doctrine un des principes du libéralisme est assouplit, qui consiste à ne pas faire intervenir l'État dans l'économie. Le président Roosevelt avait déjà mis en œuvre une politique keynesienne dans les années 1930 avec le « New Deal », destiné à faire sortir le pays de la crise. • À Bretton Woods, un nouveau

que d’autres organismes centraux (ministères, universités ou Pôle Emploi par exemple). Ces APU mènent une action à l’échelle nationale. –L  es administrations publiques locales (APUL) : les collectivités locales (régions, départements, communes) et tous les organismes publics gérés localement (lycées, collèges et écoles publiques par exemple). – Les administrations de sécurité sociale (ASSO) : ce sont les régimes d’assurance sociale et les organismes qui en dépendent (comme les hôpitaux publics)

sont payés moins cher → économies pour le patron) ➢ travail très dangereux et mal payé En moins d’un siècle on a fait des progrès immense ce qui causera la surabondance Après la Révolution Industrielle le monde change très vite. ↳ nous sommes dans un système où toutes les technologies sont obsolètes Ainsi la Révolution Industrielle se base sur une production de plus en plus rapide d’objet pour faire acheter les consommateurs car les objets sont devenus obsolètes. La Révolution industrielle

d'opportunité) et en acceptant un certain risque, pour accroître ses revenus futurs. La rentabilité est mesurable selon différentes méthodes qui ne donnent pas tous toujours exactement le même résultat, tout en restant globalement cohérents • le retour sur investissement, qui peut s'exprimer en taux ou en temps, mesure le ratio des sommes rapportées par l'investissement sur le montant investi ; • la valeur actuelle nette : l'investissement rapporte la différence entre son coût et la VAN, qui

ans) et une indemnisation de l’offre de travail par l’Etat au lieu que ce dernier indemnise les chômeurs. Le remède au chômage serait selon lui, la régulation des modalités de travail. Alain Houziaux conclut par une remarque sur le fait que nous ne sommes pas prêts à partager le travail et que, de son côté, l’Etat se disculpe de son devoir envers ses citoyens en leur versant des indemnités de chômage au lieu de leur fournir du travail. II. LE CHOIX DU CHOMAGE ET SON PRIX Selon Alain MINC