Souffrance Et Désillusion

la nature du désir réside dans une tension qui fait plaisir, le plaisir s’opposant à la souffrance. Enfin, nous verrons que derrière la notion de désir se trouve celle de la volonté, qui nous pousse à agir pour donner un sens à son existence et ainsi s’arracher à une souffrance qualifiée de fataliste. *** Dans ce premier temps de la réflexion, voyons en quoi désirer conduit nécessairement à la souffrance. “Le désir est manque” nous affirme Socrate dans Le Banquet écrit par Platon. Qu’implique

les plaisirs sensuels et sexuels. II. Contexte social Le XVIIIe siècle est un siècle marqué par l’ennui, surtout au niveau de l’aristocratie. Les gens se trouvent dans un état de langueur (= affaiblissement physique et/ou moral causé par une souffrance physique ou morale), de lassitude (= état dans lequel on éprouve une fatigue physique ou morale), ce qui entraine une inquiétude profonde de l’être. Cette inquiétude débouchera au XIXe siècle sur le mal-être lié au romantisme. Pour sortir de

Dissertation Utopie I/ la nuisibilité de l’utopie II/la réflexion qu’elle engendre III/ son but « L’utopie est nuisible pour ce qu’elle recède de possibilités de désillusions, pour ce qu’elle confronte à chaque pas la réalité à une fausse image », Aragon. Au départ l’utopie a été défini par Thomas More un écrivain anglais. Il s’agit d’un monde idéal et sans défaut. L’utopie est très utilisée au siècle des lumières par les philosophes. Pour eux l’utopie est un genre littéraire dont ils développent

en justice pour « immoralité » et condamné : plusieurs poèmes sont retirés du recueil  et l'auteur doit payer une amende. Baudelaire est très affecté par cet échec et sombre dans la misère et dans la maladie. Le poids des dettes s'ajoutant aux souffrances morales, Baudelaire est frappé en 1866 d'un malaise qui le rendra paralysé et aphasique. Il meurt en 1867. Dans ses poèmes, il exprime la mélancolie et l'envie d'ailleurs en mêlant la beauté et la laideur, dans ces deux poèmes choisis, il souligne

comme au théâtre qui s’installe puis il y met fin brusquement : « Ce ne fut pas le cas »(L-25). Le narrateur porte donc un regard amusé avec du recul sur la situation qu’il a vécu trente ans plus tôt. Cependant cela est perçu comme une épreuve/une souffrance par l’enfant du passé ce qui en fait un souvenir attendrissant permettant une introspection.Dans l’extrait, Romain Gary revient sur l’épisode traumatisant qu’il a vécu à quatorze ans lui permettant aujourd’hui d' apporter une réflexion sur lui-même

n'est plus possible pour les jeunes de cette époque de s'investir dans cette légende et il semble alors que la notion d'héroïsme soit désormais abolie. L'écrivain romantique a le sentiment d'être floué par l'époque qu'il traverse : une époque de désillusion marquée par les échecs comme celui de la Révolution de 1830. Ainsi, chez l'écrivain romantique, le malaise historique se transforme souvent en angoisse métaphysique. Une angoisse métaphysique: Le "Mal du siècle" se traduit par un ennui

donc dire qu'elle crée un moment d'intimiter imaginaire. Phèdre avoue indirectement son amour pour Hippolyte mais ce-dernier compris rapidement les sentiments que Phèdre éprouve pour lui et va etre choquer (vers 33-34). Phédre va ésseiller de le désillusionner mais en vin. Elle va donc à partir du vers 40,par le passage du "vous" au "tu", déclaré sa flame à Hippolyte. Le discours de Phèdre va être un mélange d'hallucinations et de lucidité car dans un premier temps l'amour que Phèdre ressent pour Hippolyte

chair, tout ! Elle te tient comme un vice, elle te mange. Enfin, elle est ta femme n’est-ce pas? Ce n’est plus moi, c’est elle qui couche avec toi… Ah ! maudite ! Ah ! gueuse ! " Maintenant, Claude l’écoutait, dans l’étonnement de ce grand cri de souffrance, mal réveillé de son rêve exaspéré de créateur, ne comprenant pas bien encore pourquoi elle lui parlait ainsi. Et, devant cet hébètement, ce frissonnement d’homme surpris et dérangé dans sa débauche, elle s’emporta davantage, elle monta sur l’échelle

pleurai lorsque je le/la vis, pris de pitié" ( royaume des morts ) - Paradoxe de la volonté des dieux empathie chez les uns et rancune/haine chez les autres ( athéna+hermes+calypso+Circé?//=//Poséidon+Zeus+Dieu soleil(chant XII) - Paradoxe de la souffrance et de la joie dues aux événements "heureux d'être vivants mais pleurant nos compagnons mort" - Rencontres dangereuses et effrayantes, presque toujours tragiques ( perte de nombreux compagnons ou d'ami cher ). - Prolongation de la narration des

(l. 65-66) - Azora a aussi le droit à des superlatifs (l.91). Il se développe à la fin une sorte de second conte avec l’amour idéal (l.92). Un climat merveilleux mais Zadig doit passer au réel  DEGRADATION II- La désillusion 1) La souffrance de Zadig - L. 84 à 88: souffrance montré hyperboliquement. Zadig a compris que l’amour avec Sémire était une allusion. - Il ouvre les yeux et retourne à la raison (l.86 à 88) - Le dernier paragraphe montre un choix de la raison - « Puisque […] il