Souffrance Et Désillusion

entre le gant et la manchette. Je me suis dit : » Mais il m’aime… il m’aime. « J’avais peur de m’en assurer, cependant. Votre réserve était si charmante, que j’en jouissais comme d’un hommage involontaire et continu. » Il ne regretta rien. Ses souffrances d’autrefois étaient payées. Quand ils rentrèrent, Mme Arnoux ôta son chapeau. La lampe, posée sur une console, éclaira ses cheveux blancs. Ce fut comme un heurt en pleine poitrine. Comment Flaubert, dans ce premier épilogue, met-il fin à une

plus ou moins passagère ou futile divertissement. A quoi bon se révolter seulement face à la souffrance jouée, celle qui est « pour du semblant » (Un acteur joue…)celle qui donne à trop bon compte bonne conscience ? Le spectateur reste-t-il encore spectateur, et alors passif face à la souffrance réelle ? Il devient à son tour le monstre qu’il a condamné sur scène s’il reste insensible à la souffrance de son semblable, s’il ne devient pas à son tour acteur dans la vraie vie. Car le théâtre ne doit

soutirer par son fils. Les principaux thèmes : Le désenchantement de l'amour : L'amour est bien présent dans le roman mais s'avère être la cause de maintes souffrances. Il y a beaucoup trahisons : celles de Gilberte, de Paul envers sa mère ou encore de la baronne Adélaïde, mais surtout de Julien. Jeanne vit une totale désillusion, lorsqu'elle apprend que son mari l'a trompée, elle réagit intensément. "Et maintenant ! maintenant ! Oh sa vie était cassée, toute joie finie, toute attente impossible

Vous répondrez à cette question dans un développement argumenté en vous appuyant sur les textes qui vous sont proposés, ceux que vous avez étudiés en classe et vos lectures personnelles. Un personnage de roman peut-il se concevoir sans souffrance ni désillusion ? Vous répondrez à cette question dans un développement construit et illustré d’exemples tirés des textes du corpus, de ceux que vous avez étudiés en classe et de vos lectures personnelles. Préférez-vous les romans dont le héros est

ce rictus, toute sa physionomie y aboutissait, comme une roue se concentre Sur }e moyeu' ; toutes ses émOtiOns, quelles qu'elles fussent, augmentaient cette étrange figure de joie, disons mieux, faggravaient. (Jn étonnement qu'il aurait eu, une souffrance qu'il aurait resrS seniie, une colère qui lui serait survenüe, une pitié qu'il aurait éprouvée, n'eussent fait qu'accroître cette hilarité des muscles ; s'il eût pleuré, il eût et, quoi quefft Gwynplaine, quoi qu'il voulût, quoi qu'il pensât, dès

capacité de la garde nationale à anéantir la barricade puissamment : « bouquet » l.12, « grappe » l.10, « falaise écume » l.15. La nature est souvent associée à une force naturelle, un univers permettant de rejoindre Dieu et d’atténuer les souffrances et les désillusions de l’existence. Cela nous rappelle le mouvement littéraire dans lequel Hugo s’identifiait : le romantisme, dont l’une des valeurs fondamentales est l’utilisation de la nature. La manière de poétiser l’affrontement dans ce récit permet

n'aborde donc pas le contexte historique et politique de l'époque. De plus, Maupassant insiste sur l'inaction et l'immobilisme de Jeanne et il présente très précisément, au début du roman, les rêves de la jeune fille pour mieux démontrer le choc de la désillusion. II Un naturalisme du désenchantement Maupassant refuse le mensonge romantique : en jetant à la " maison du berger " où sa femme le trompe avec Julien, le comte de Fourville, dans Une vie, fait sombrer les idéaux de la poésie lyrique

tradition de l’amour courtois. Reprenant le topos du « fou d’amour » médiéval, il va évoquer ses souffrances d’amoureux dédaigné en idéalisant sa dame, avant d’oser lui avouer sa flamme. Nous examinerons d’abord l’expression du sentiment amoureux, puis  la difficulté à l’exprimer par des mots. * madrigal : courte poésie galante I) Le fou d’amour A) Les symptômes du mal d’amour  - Le vocabulaire de la souffrance est omniprésent et appartient au lexique de la maladie : langueur (vers 10), fièvre (vers

anglais, auteur notamment du Chevalier Harold. * Classicisme : caractère des chefs-d’œuvre artistiques ou littéraires de l’antiquité gréco-romaine ou du dix-septième siècle français (recherche de l’harmonie, du naturel, clarté du style). * Désillusion : déception profonde, perte d’une illusion profonde. * Dierx : (1838-1912), poète parnassien français. * Dorval Marie: (1798-1849), actrice française, remarquable interprète du mélodrame et du drame romantique. * Fatalité : fâcheux concours

récurrence du mot amour qui est significatif de son œuvre . Cependant Marot a une vision plutôt biaisé de l'amour . En effet ,on peut voir que Marot rejette l'amour et en particulier l’amour passion qui n'est qu' une cause de souffrance et de désillusion . Cette désillusion , on peut le constater plusieurs fois lors de l’adolescence de Clémentine , par exemple au rondeau IX Du mal content d'amours où il explique que lorsqu'une personne est amoureuse elle est aveuglée et ne peut percevoir les défaut